Face à cet empoisonnement les responsabilités sont clairement établies ! Les responsables sont l'Etat et les groupements professionnels bananiers.
Bien entendu on peut philosopher utilement sur le fait que des noms n'apparaissent pas. Mais ce que cette enquête démontre c'est que l'affaire a été menée par un système mal informé à l'époque. En effet quand on sait que maintenant il suffit de piège et de senteur pour attraper le charançon, on peut être certain que si le niveau de connaissance était tel, toute cette affaire ne serait jamais arrivée.
A moins qu'on puisse considérer que dans le jeu il y a un Machiavel dont le seul objectif serait exclusivement de gagner de l'argent à tout prix quel qu’en soit le prix à payer, y compris en souffrance humaine. Ce Machiavel serait en réalité un diable et c'est l'adresse de l'enfer qu'il faut lui trouver pour lui en ouvrir les portes. La commission d'enquête n'a fait aucun descriptif de ce genre et n'a désigné personne comme tel.
C'est donc des personnalités morales qui sont désignées comme responsable. A commencer par l'Etat et les groupements professionnels bananiers d'autre part. Ces personnes morales ont les moyens d'agir, mais elles doivent si ce n'est par elles et volontairement même, avoir l'injonction de le faire grâce aux structures qui, organisent notre démocratie, à savoir les services de l'état, les finances de l'état, la logistique et l’ingénierie de l'état, la justice du peuple . Comme les groupements professionnels sont aussi mis en cause, il est impératif de savoir quels engagements fermes ils prendront.
L'ouverture de ce temps politique ouvre également le temps du débat entre politiques. Il ouvre surtout celui des procédures dont celle visant à démontrer les effets de causalité et peut être l'opportunité d'un projet d'île durable pour la Martinique.
C'est dans ces méandres que toute la force de l'intention et les opportunités d'une crise peuvent se transformer en utopie. Gageons que cette fois collectivement nous serons à la hauteur du chantier qui nous attend !
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A moins qu'on puisse considérer que dans le jeu il y a un Machiavel dont le seul objectif serait exclusivement de gagner de l'argent à tout prix quel qu’en soit le prix à payer, y compris en souffrance humaine. Ce Machiavel serait en réalité un diable et c'est l'adresse de l'enfer qu'il faut lui trouver pour lui en ouvrir les portes. La commission d'enquête n'a fait aucun descriptif de ce genre et n'a désigné personne comme tel.
C'est donc des personnalités morales qui sont désignées comme responsable. A commencer par l'Etat et les groupements professionnels bananiers d'autre part. Ces personnes morales ont les moyens d'agir, mais elles doivent si ce n'est par elles et volontairement même, avoir l'injonction de le faire grâce aux structures qui, organisent notre démocratie, à savoir les services de l'état, les finances de l'état, la logistique et l’ingénierie de l'état, la justice du peuple . Comme les groupements professionnels sont aussi mis en cause, il est impératif de savoir quels engagements fermes ils prendront.
L'ouverture de ce temps politique ouvre également le temps du débat entre politiques. Il ouvre surtout celui des procédures dont celle visant à démontrer les effets de causalité et peut être l'opportunité d'un projet d'île durable pour la Martinique.
C'est dans ces méandres que toute la force de l'intention et les opportunités d'une crise peuvent se transformer en utopie. Gageons que cette fois collectivement nous serons à la hauteur du chantier qui nous attend !
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