La version des syndicats
1. Les dirigeants ont voulu faire annuler pour la deuxième fois en à peine deux ans les élections professionnelles. Ils sont de mèche avec le syndicat FO qui conteste le droit de la CGTM FSM et de la CDMT de participer aux elections.
Le TGI à débouté FO.
Dommage pour le patron Yann Monplaisir qui espérait par ce biais de se débarrasser de la déléguée syndicale CDMT qui a initié une lutte intersyndicale qui a déjà permis de requalifier une partie des plus de 80 contrats précaires à répétition existant dans l entreprise
2.Parmi les salariés dont les contrats doivent être requalifier se trouve....la déléguée syndicale CDMT celle-là même qui a commis le crime de révéler le problème dans la presse. La CDMT et l’avocat maître Mauzole demandent au tribunal des prudhommes de mettre fin à cette discrimination.
Les mêmes ont saisi les Prudhommes en référé pour obtenir le paiement des salaires de Fabienne Germé depuis..le mois de mai 2015.
Il faut savoir en effet que l’entreprise a refusé de suivre l’inspection du travail qui lui signalait que son avis était obligatoire pour mettre fin au contrat d’une déléguée syndicale.
Le directeur dans le quotidien du 2 février parle d’erreur" . Mais chacun sait comment qualifier une telle persévérance dans l’erreur!
Début mars on aura la décision du tribunal dans ces 2 dernières affaires. D'ores et déjà on ne peut que dénoncer le fait que ces légèreté avec le code du travail de fasse sous l’égide de monsieur. Yann Monplaisir !!
MAKAC LA attend la version des employeurs.
Le TGI à débouté FO.
Dommage pour le patron Yann Monplaisir qui espérait par ce biais de se débarrasser de la déléguée syndicale CDMT qui a initié une lutte intersyndicale qui a déjà permis de requalifier une partie des plus de 80 contrats précaires à répétition existant dans l entreprise
2.Parmi les salariés dont les contrats doivent être requalifier se trouve....la déléguée syndicale CDMT celle-là même qui a commis le crime de révéler le problème dans la presse. La CDMT et l’avocat maître Mauzole demandent au tribunal des prudhommes de mettre fin à cette discrimination.
Les mêmes ont saisi les Prudhommes en référé pour obtenir le paiement des salaires de Fabienne Germé depuis..le mois de mai 2015.
Il faut savoir en effet que l’entreprise a refusé de suivre l’inspection du travail qui lui signalait que son avis était obligatoire pour mettre fin au contrat d’une déléguée syndicale.
Le directeur dans le quotidien du 2 février parle d’erreur" . Mais chacun sait comment qualifier une telle persévérance dans l’erreur!
Début mars on aura la décision du tribunal dans ces 2 dernières affaires. D'ores et déjà on ne peut que dénoncer le fait que ces légèreté avec le code du travail de fasse sous l’égide de monsieur. Yann Monplaisir !!
MAKAC LA attend la version des employeurs.