MAKAC LA ne va pas pour l’instant revenir sur l’affaire d’autant que ce n’est pas une histoire nouvelle. Durant toute la campagne des Municipales 2014, ces dossiers ont fait l’objet de développements sur les tréteaux électoraux. D’autres devraient ressortir dans les prochains jours. Ce qui est particulier, c’est l’exploitation qu’en fait maintenant et après coup, alors que les élections sont terminées l’un des adversaires malheureux, le candidat Samuel TAVERNIER.
Il ne s’agira pour nous de porter un jugement sur cette attitude, mais il est vrai que toute ce ouélélé pose en réalité le problème global de la considération pour les métiers du loisir et du spectacle dans nos pays.
Prenons pour exemple l’arrêt du spectacle de la Grande Scène Antillaise prévue sur le stade de Pierre ALIKER qui dans la dernière semaine a dû être annulé. Est-ce les raisons administratives évoquées par la production, ou les motifs d’organisation motivés par l’administration, à moins que cela ne soit des raisons économiques.
Analysons aussi ce qui se passe au Lamentin pour la construction d’un Zénith en Martinique, personne ne se pose la question de savoir s’il faut agrandir l’hôpital Pierre ZOBDA QUITMAN, ou s’il faut construire un lycée de transition avant un lycée définitif.
Les métiers du loisir nécessitent des investissements structurants et les collectivités locales devraient se retrouver à côté des professionnels du secteur.
Il y a un moment où il faut arrêter d’accuser les autres, cet instant où chacun de nous doit prendre ses responsabilités. Nos artistes ne le prennent pas toujours. Savez-vous qu’il n’existe pas en Martinique un annuaire des professionnels du spectacle et de la musique ?
Au bout du petit matin du tout internet il n’est pas normal que les musiciens eux-mêmes ne soient pas arrivés au moins à faire un book virtuel qui permette de les contacter. Est-il normal que nous ne sachions pas qui représente leur filière professionnelle ? Ne nous attendons pas à ce que ça change ce qui devrait changer c’est notre mentalité. Au moment du rapprochement des nègres et des juifs pour le respect d’un devoir de mémoire nous lisions une interview d’un juif sur le circuit de l’argent entre juifs.
Ce dernier expliquait que quand un juif à un euro son objectif est de faire faire à cet euro sept passages entre d’autres mains juives. Si nous avions cet état d’esprit peut être que Roger LAGIER le signataire de ce document ne se serait jamais permis de demander à Dédé SAINT PRIX de mettre gratuitement le résultat de son travail au service de la collectivité sans contrepartie.
C’est donc de principes qu’il a manqué à ce Martiniquais. D’autres autres martiniquais savent déjà faire cela.
Demandez aux chefs d’entreprises Indiens ce qu’ils pensent de S. LECTCHIMY ? Parfois, l’écoute c’est déjà beaucoup !
Il ne s’agira pour nous de porter un jugement sur cette attitude, mais il est vrai que toute ce ouélélé pose en réalité le problème global de la considération pour les métiers du loisir et du spectacle dans nos pays.
Prenons pour exemple l’arrêt du spectacle de la Grande Scène Antillaise prévue sur le stade de Pierre ALIKER qui dans la dernière semaine a dû être annulé. Est-ce les raisons administratives évoquées par la production, ou les motifs d’organisation motivés par l’administration, à moins que cela ne soit des raisons économiques.
Analysons aussi ce qui se passe au Lamentin pour la construction d’un Zénith en Martinique, personne ne se pose la question de savoir s’il faut agrandir l’hôpital Pierre ZOBDA QUITMAN, ou s’il faut construire un lycée de transition avant un lycée définitif.
Les métiers du loisir nécessitent des investissements structurants et les collectivités locales devraient se retrouver à côté des professionnels du secteur.
Il y a un moment où il faut arrêter d’accuser les autres, cet instant où chacun de nous doit prendre ses responsabilités. Nos artistes ne le prennent pas toujours. Savez-vous qu’il n’existe pas en Martinique un annuaire des professionnels du spectacle et de la musique ?
Au bout du petit matin du tout internet il n’est pas normal que les musiciens eux-mêmes ne soient pas arrivés au moins à faire un book virtuel qui permette de les contacter. Est-il normal que nous ne sachions pas qui représente leur filière professionnelle ? Ne nous attendons pas à ce que ça change ce qui devrait changer c’est notre mentalité. Au moment du rapprochement des nègres et des juifs pour le respect d’un devoir de mémoire nous lisions une interview d’un juif sur le circuit de l’argent entre juifs.
Ce dernier expliquait que quand un juif à un euro son objectif est de faire faire à cet euro sept passages entre d’autres mains juives. Si nous avions cet état d’esprit peut être que Roger LAGIER le signataire de ce document ne se serait jamais permis de demander à Dédé SAINT PRIX de mettre gratuitement le résultat de son travail au service de la collectivité sans contrepartie.
C’est donc de principes qu’il a manqué à ce Martiniquais. D’autres autres martiniquais savent déjà faire cela.
Demandez aux chefs d’entreprises Indiens ce qu’ils pensent de S. LECTCHIMY ? Parfois, l’écoute c’est déjà beaucoup !