Dans le cas du CYCLOTRON, AMJ lui a préféré donner directement à l’hôpital les moyens de réaliser par une subvention unique, histoire de ne pas se retrouver avec la responsabilité de l'exploitation d'une telle machine. Voici donc deux principes qui s'affrontent l'un considérant que la CTM aurait les moyens de tout faire, et l'autre considérant qu'une subvention est suffisante à participer à l’élaboration des projets La vraie solution est forcément une question de niveau de curseur, sauf que le secrétaire actuel du PPM en fait une question de différentiation politique.
Voici un communiqué du PPM intitulé CYCLOTRON
Comme chacun l’a constaté, le CYCLOTRON de la GUADELOUPE dont le dossier a démarré après celui de Martinique, vient d’être inauguré. Celui de Martinique ne connait ni la date de la 1ère pierre et encore moins celle de la dernière.
POURQUOI UN TEL GÂCHIS, UN TEL RETARD ? Parce que le Président du Conseil Exécutif de la CTM a décidé de faire table rase de tout ce qui était entrepris par l’équipe précédente, tout en entamant un autre montage juridique et financier, pour l’obtention du CYCLOTRON…
Le dossier de l’Ex-Région tenait compte de la situation d’insolvabilité du CHUM et aussi de l’urgence pour les malades du cancer. L’opération était entièrement montée et financée en accord avec un industriel-expert agréé par l’autorité de sûreté nucléaire sur la base d’un outil chargé de la conception-réalisation exploitation du matériel. Le TEPS-CYCLOTRON devait ainsi être livré « clef en mains » au CHUM qui en payait les produits à destination des malades.
Le dossier entièrement revu par le Président actuel du Conseil Exécutif de la CTM vise à limiter les charges et l’implication de la CTM aux dépens particulièrement de l’Hôpital en faillite, de l’opérateur industriel et de la Population. Aujourd’hui chacun peut assister à l’immense retard pris dans ce dossier qui était déjà ficelé, la « nouvelle étude » contribuant à prolonger son « enkayage ».
En conséquence, les grands perdants sont les malades Martiniquais. Ceux-ci devant se tourner vers le Cyclotron de Guadeloupe –faudrait-il qu’il y ait de la disponibilité – avec un coût supplémentaire comptant les frais de voyage… Et encore si leur état de santé leur permet ce déplacement… Le Secrétaire Général du PPM
Johnny HAJJAR
Comme chacun l’a constaté, le CYCLOTRON de la GUADELOUPE dont le dossier a démarré après celui de Martinique, vient d’être inauguré. Celui de Martinique ne connait ni la date de la 1ère pierre et encore moins celle de la dernière.
POURQUOI UN TEL GÂCHIS, UN TEL RETARD ? Parce que le Président du Conseil Exécutif de la CTM a décidé de faire table rase de tout ce qui était entrepris par l’équipe précédente, tout en entamant un autre montage juridique et financier, pour l’obtention du CYCLOTRON…
Le dossier de l’Ex-Région tenait compte de la situation d’insolvabilité du CHUM et aussi de l’urgence pour les malades du cancer. L’opération était entièrement montée et financée en accord avec un industriel-expert agréé par l’autorité de sûreté nucléaire sur la base d’un outil chargé de la conception-réalisation exploitation du matériel. Le TEPS-CYCLOTRON devait ainsi être livré « clef en mains » au CHUM qui en payait les produits à destination des malades.
Le dossier entièrement revu par le Président actuel du Conseil Exécutif de la CTM vise à limiter les charges et l’implication de la CTM aux dépens particulièrement de l’Hôpital en faillite, de l’opérateur industriel et de la Population. Aujourd’hui chacun peut assister à l’immense retard pris dans ce dossier qui était déjà ficelé, la « nouvelle étude » contribuant à prolonger son « enkayage ».
En conséquence, les grands perdants sont les malades Martiniquais. Ceux-ci devant se tourner vers le Cyclotron de Guadeloupe –faudrait-il qu’il y ait de la disponibilité – avec un coût supplémentaire comptant les frais de voyage… Et encore si leur état de santé leur permet ce déplacement… Le Secrétaire Général du PPM
Johnny HAJJAR