Qui aurait pu penser il y a 2 mois qu'une "révolution" douce se prépare peut-être pour le secteur du BTP martiniquais : C'est l'interrogation de Jean Yves Bonnaire.
- Les coordonnateurs SPS ne sont plus les "emmerdeurs" de service mais des partenaires utiles à la réalisation des chantiers où travaillent des hommes et des femmes,
- Les CSE reprennent toute leur place, le paritarisme est une force pas une contrainte
- Les Documents Uniques vont connaitre une seconde jeunesse ou carrément une naissance dans certaines entreprises
- La prévention hygiène et sécurité sur les chantiers peut retrouver une nouvelle dynamique et le coût de ces mesures sera sans doute mieux pris en compte dans les études de prix,
- Les Maîtres d'Ouvrages et Maîtres d'Oeuvre réalisent qu'ils ont plus que jamais besoin d'entreprises solides donc d'entreprises qui gagnent de l'argent tout en prenant en compte toutes les problématiques d'hygiène et de sécurité,
Finalement, tous les acteurs réalisent enfin, qu'à vouloir toujours tirer sur la corde et sur les prix vers le bas on finit par avoir un secteur très vulnérable aux chocs. Un chantier ne devrait pas être une foire d'empoigne où chacun essaye de tirer la couverture à lui, mais bien un lieu de co-production ou des intérêts et des expertises convergent, pour réaliser un ouvrage utile à d'autres.
Ce texte est de Jean-Yves Bonnaire
il participe au nom du SEBTPAM aux coté du Président Steve PATOLE au groupe de travail Covid 19 BTP mis en en place par la DIECCTE et piloté par l'ARACT-ITT
- Les CSE reprennent toute leur place, le paritarisme est une force pas une contrainte
- Les Documents Uniques vont connaitre une seconde jeunesse ou carrément une naissance dans certaines entreprises
- La prévention hygiène et sécurité sur les chantiers peut retrouver une nouvelle dynamique et le coût de ces mesures sera sans doute mieux pris en compte dans les études de prix,
- Les Maîtres d'Ouvrages et Maîtres d'Oeuvre réalisent qu'ils ont plus que jamais besoin d'entreprises solides donc d'entreprises qui gagnent de l'argent tout en prenant en compte toutes les problématiques d'hygiène et de sécurité,
Finalement, tous les acteurs réalisent enfin, qu'à vouloir toujours tirer sur la corde et sur les prix vers le bas on finit par avoir un secteur très vulnérable aux chocs. Un chantier ne devrait pas être une foire d'empoigne où chacun essaye de tirer la couverture à lui, mais bien un lieu de co-production ou des intérêts et des expertises convergent, pour réaliser un ouvrage utile à d'autres.
Ce texte est de Jean-Yves Bonnaire
il participe au nom du SEBTPAM aux coté du Président Steve PATOLE au groupe de travail Covid 19 BTP mis en en place par la DIECCTE et piloté par l'ARACT-ITT
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