Ceux qui sont chargés de faire travailler en respectant les mesures de sécurité se sont les coordonateurs sécurité. A cette heure il n'ont pas encore défini les procédures de sécurité relatives au secteur. Et pourtant on veut faire travailler les ouvriers.
Une note interne de la DIECCTE Martinique le confirme l'information que nous portons à votre connaissance. Voici à ce titre un extrait d'un courrier dont l'objectif est d'associer les coordonnateurs sécurité au groupe de travail. Lisez cet extrait je cite :
L'objectif principal de ces groupes de travail est de définir ensemble, partenaires sociaux (organisations d'employeurs, organisations syndicales) et personnes ressources (éventuelle tutelle administrative, donneurs d'ordre, "spécialistes" du secteur,...) un guide des bonnes pratiques et des modes opératoires spécifiques aux activités concernées, ainsi que les messages pouvant être diffusés spécifiquement, notamment au travers des réseaux sociaux.
L’Aract-Itt a animé une première réunion à distance hier, au cours de laquelle il est apparu que la reprise de l’activité des chantiers du BTP en sécurité nécessite que d’autres corps de métiers intervenant dans le processus de travail parmi lesquels les CSPS soient associés aux discussions. Fin de citation
Par conséquent quand on sait que c'est ce même organisme la DIECCTE qui décide de la mise en c homage partielle des entreprises de BTP on peut s'étonner que des demandes de mise en chômage partiel de ce secteur soient refusés au principe qu'il s'agit de secteur économique qui doivent continuer de fonctionner pour ne pas stopper net l'économie.
Nous savons qu'une nouvelle réunion est prévue pour faire participer les CSPS aux travaux. Rappelons que pour mettre en place ces mesures administratives il faudra revoir les documents uniques des entreprises, refaire les inspections communes avec les entreprises. et constater l'application des mesures.
si on tient compte des procédures administratives et du temps nécessaire à cette application des décisions comment admettre que la DIECCTE refuse au moins pour cette période les dossier de mise en chômage partiel .
L'objectif principal de ces groupes de travail est de définir ensemble, partenaires sociaux (organisations d'employeurs, organisations syndicales) et personnes ressources (éventuelle tutelle administrative, donneurs d'ordre, "spécialistes" du secteur,...) un guide des bonnes pratiques et des modes opératoires spécifiques aux activités concernées, ainsi que les messages pouvant être diffusés spécifiquement, notamment au travers des réseaux sociaux.
L’Aract-Itt a animé une première réunion à distance hier, au cours de laquelle il est apparu que la reprise de l’activité des chantiers du BTP en sécurité nécessite que d’autres corps de métiers intervenant dans le processus de travail parmi lesquels les CSPS soient associés aux discussions. Fin de citation
Par conséquent quand on sait que c'est ce même organisme la DIECCTE qui décide de la mise en c homage partielle des entreprises de BTP on peut s'étonner que des demandes de mise en chômage partiel de ce secteur soient refusés au principe qu'il s'agit de secteur économique qui doivent continuer de fonctionner pour ne pas stopper net l'économie.
Nous savons qu'une nouvelle réunion est prévue pour faire participer les CSPS aux travaux. Rappelons que pour mettre en place ces mesures administratives il faudra revoir les documents uniques des entreprises, refaire les inspections communes avec les entreprises. et constater l'application des mesures.
si on tient compte des procédures administratives et du temps nécessaire à cette application des décisions comment admettre que la DIECCTE refuse au moins pour cette période les dossier de mise en chômage partiel .