Il suffirait à ce propos qu’on fasse payer au société de HLM comme le prévoit la législation, les charges sociales impayées des entreprises qui se plantent sur leur chantier pour que assurément elles parviennent à remonter des prix que tout le monde sait en dessous des coups de revient.
Il a demandé à être reçu par Claude Lise, le Président de l’assemblée pour lui présenter le projet de Réorganisation de l'Actionnariat des Sociétés Immobilières d'Outre-Mer (SIDOM).
Cette réorganisation, en cours souhaitée par l'Etat a été confiée au SNI, opérateur public professionnel du logement afin de donner aux SIDOM,plus de moyens techniques et financiers pour mieux répondre aux besoins de chaque territoire.
Cette rencontre s'est tenue en présence de Yann Monplaisir, 1er VP de l'Assemblée, dont on connaît les positions sur les sociétés qui construisent du logement social en Martinique. Pour résumer sa position Yan MONPLAISIR, considère à juste titre que ces sociétés appliquent une politique de prix qui est à l’origine des difficultés des entreprises qui travaillent dans le logement social. Ces Groupes bénéficient en plus de prise de garanties par les collectivités locales et font des marges à deux chiffres sans aucune mesure avec les difficultés du secteur.
Enfin Yan MONPLAISIR estime que malgré tous ses avantages ces sociétés sont incapables de fournir le nombre de logements utiles au besoins de la Martinique.
de M. Alain Mounouchy, directeur général de la SIMAR était aussi présent à cet entretien. On ne sait si il a entendu le message car ces sociétés avec tous leurs avantages se comportent comme un état dans l’état.
Il suffirait à ce propos qu’on leur fasse payer les charges sociales impayées des entreprises qui se plantent sur leur chantier pour que assurément elle parviennent à remonter des prix que tout le monde sait en dessous des coups de revient.
Les échanges ont été très fructueux, dit-on et Claude lise ne manqua pas de rappeler la difficulté pour beaucoup de ménages de trouver un logement décent et l'urgence de produire très rapidement des logements très sociaux, il y a en effet une très forte attente d'une partie de la population pour accéder à des logements à loyers très modérés.
Claude Lise a insisté sur le contexte social de plus en plus difficile, avec une montée de la précarité, sur le problème du logement à la Martinique qui demeure un dossier crucial qui mérite d'être réglé avec le plus grand sérieux, avec le souci de coller à la réalité sociale
Claude Lise a enfin souhaité que le SNI soit un interlocuteur attentif, à l'écoute des spécificités et des besoins de la Martinique.
On ne sait ce qu’a répondu André Yché - Président du Directoire du groupe SNI, mais l’essentiel sera qu’il ait entendu ce que les élus du pays avait à lui dire.
Durant cette visite, on a constaté que le service de communication de Claude Lise était en action pour faire connaître cette rencontre. MAKACLA apprécie qu’à cette occasion que le service de la communication ait pris le temps d’informer sur le contenu de la rencontre.
Même si MAKACLA a ajouté son grain de sel on peut dire que, cette méthode conviendra mieux pour parler des actions des élus.
Cette réorganisation, en cours souhaitée par l'Etat a été confiée au SNI, opérateur public professionnel du logement afin de donner aux SIDOM,plus de moyens techniques et financiers pour mieux répondre aux besoins de chaque territoire.
Cette rencontre s'est tenue en présence de Yann Monplaisir, 1er VP de l'Assemblée, dont on connaît les positions sur les sociétés qui construisent du logement social en Martinique. Pour résumer sa position Yan MONPLAISIR, considère à juste titre que ces sociétés appliquent une politique de prix qui est à l’origine des difficultés des entreprises qui travaillent dans le logement social. Ces Groupes bénéficient en plus de prise de garanties par les collectivités locales et font des marges à deux chiffres sans aucune mesure avec les difficultés du secteur.
Enfin Yan MONPLAISIR estime que malgré tous ses avantages ces sociétés sont incapables de fournir le nombre de logements utiles au besoins de la Martinique.
de M. Alain Mounouchy, directeur général de la SIMAR était aussi présent à cet entretien. On ne sait si il a entendu le message car ces sociétés avec tous leurs avantages se comportent comme un état dans l’état.
Il suffirait à ce propos qu’on leur fasse payer les charges sociales impayées des entreprises qui se plantent sur leur chantier pour que assurément elle parviennent à remonter des prix que tout le monde sait en dessous des coups de revient.
Les échanges ont été très fructueux, dit-on et Claude lise ne manqua pas de rappeler la difficulté pour beaucoup de ménages de trouver un logement décent et l'urgence de produire très rapidement des logements très sociaux, il y a en effet une très forte attente d'une partie de la population pour accéder à des logements à loyers très modérés.
Claude Lise a insisté sur le contexte social de plus en plus difficile, avec une montée de la précarité, sur le problème du logement à la Martinique qui demeure un dossier crucial qui mérite d'être réglé avec le plus grand sérieux, avec le souci de coller à la réalité sociale
Claude Lise a enfin souhaité que le SNI soit un interlocuteur attentif, à l'écoute des spécificités et des besoins de la Martinique.
On ne sait ce qu’a répondu André Yché - Président du Directoire du groupe SNI, mais l’essentiel sera qu’il ait entendu ce que les élus du pays avait à lui dire.
Durant cette visite, on a constaté que le service de communication de Claude Lise était en action pour faire connaître cette rencontre. MAKACLA apprécie qu’à cette occasion que le service de la communication ait pris le temps d’informer sur le contenu de la rencontre.
Même si MAKACLA a ajouté son grain de sel on peut dire que, cette méthode conviendra mieux pour parler des actions des élus.