Qui a changé les serrures des bureaux des professeurs suspendus ?
Une nouvelle étape dans le conflit qui oppose au laboratoire CEREGMIA.
L’affaire de l’UAG et du CEREGMIA semble prendre une tournure étonnante qui interroge.
Après avoir suspendu messieurs CELIMENE et LOGOSSAH sur la foi, affirme la présidente de l’université des Antilles et de la Guyane, des « préconisations » du rapport de l’inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche (IGAENR), une étape supplémentaire a été franchie.
En effet, alors que le directeur et le directeur-adjoint suspendus sont interdits d’accès au campus, et donc à leur laboratoire et à leur bureau, dès le lendemain de la suspension, sur ordre de Mme MENCE-CASTER, le vice-président du pôle universitaire de Martinique et le conseiller aux affaires juridiques de la présidente ont débarqué au CEREGMIA et ont changé les serrures de la porte principale d’entrée du bureau du professeur CELIMENE.
Ils reviendront plus tard pour changer les serrures de la seconde porte du bureau du professeur. Ne disposant pas sur-le-champ du modèle de serrure approprié du bureau du directeur-adjoint, ils ont décidé de procéder au changement dès qu’ils en seront en possession.
Désormais, seuls la présidente de l’UAG et ses partisans ont accès au bureau des professeurs suspendus. Cette nouvelle étape de l’escalade pose question.
En effet, il est connu de tous que les dirigeants suspendus constituent la tête de pont de l’opposition universitaire à la présidente et qu’un conflit d’essence purement universitaire (divergence de vue) oppose les deux parties.
En effet, on peut légitimement s’interroger sur l’opportunité d’une telle mesure prise par la présidente de l’université qui rappelons-le est l’une des parties prenantes dans cette affaire.
Car à ce stade de l’affaire, c’est le principe de présomption d’innocence qui prévaut ou symétriquement c’est celui de la suspicion généralisée, de De telle sorte que chacune des parties en présence peut soupçonner l’autre de vouloir lui nuire. être soupçonnées d’essayer de nuire à l’autre.
L’affaire de l’UAG et du CEREGMIA semble prendre une tournure étonnante qui interroge.
Après avoir suspendu messieurs CELIMENE et LOGOSSAH sur la foi, affirme la présidente de l’université des Antilles et de la Guyane, des « préconisations » du rapport de l’inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche (IGAENR), une étape supplémentaire a été franchie.
En effet, alors que le directeur et le directeur-adjoint suspendus sont interdits d’accès au campus, et donc à leur laboratoire et à leur bureau, dès le lendemain de la suspension, sur ordre de Mme MENCE-CASTER, le vice-président du pôle universitaire de Martinique et le conseiller aux affaires juridiques de la présidente ont débarqué au CEREGMIA et ont changé les serrures de la porte principale d’entrée du bureau du professeur CELIMENE.
Ils reviendront plus tard pour changer les serrures de la seconde porte du bureau du professeur. Ne disposant pas sur-le-champ du modèle de serrure approprié du bureau du directeur-adjoint, ils ont décidé de procéder au changement dès qu’ils en seront en possession.
Désormais, seuls la présidente de l’UAG et ses partisans ont accès au bureau des professeurs suspendus. Cette nouvelle étape de l’escalade pose question.
En effet, il est connu de tous que les dirigeants suspendus constituent la tête de pont de l’opposition universitaire à la présidente et qu’un conflit d’essence purement universitaire (divergence de vue) oppose les deux parties.
En effet, on peut légitimement s’interroger sur l’opportunité d’une telle mesure prise par la présidente de l’université qui rappelons-le est l’une des parties prenantes dans cette affaire.
Car à ce stade de l’affaire, c’est le principe de présomption d’innocence qui prévaut ou symétriquement c’est celui de la suspicion généralisée, de De telle sorte que chacune des parties en présence peut soupçonner l’autre de vouloir lui nuire. être soupçonnées d’essayer de nuire à l’autre.