Coïncidence ou pas, avec l’arrivée d’un Directeur éditorial de la Réunion, un chef « tout puissant » qui devait réformer en bien la télévision publique. Car depuis une dizaine d’années les retransmissions du carnaval sont devenues de plus en plus insipides, pour être imbuvables cette année.
Autre coïncidence avec cette dizaine d’années passées, le départ de certains ténors de la télévision, remplacés à leur poste défavorablement, des ténors dont c’était le métier. En ce temps-là, mieux valait rester devant son poste pour regarder le carnaval, car on ne perdait pas le moindre événement, la moindre image, le moindre commentaire instructif. Le soir après le journal, il y avait le magazine du carnaval « BI A BI », il montrait le carnaval autrement, sous un autre angle, les à-côtés du carnaval sur près de 24 heures chaque jour, et surtout ailleurs que là, où les retransmissions TV se faisaient.
C’était la totale, la référence. Des établissements scolaires s’en servaient !
Ce dimanche gras, jour de sortie de sa Majesté Vaval fut la grosse déception. Grosse déception pour ces milliers de personnes qui attendaient, et n’ont rien vu d’intéressant. Mais ce n'était pas qu'une question de contenu. Visiblement le choix de la Croix Mission pour un nouveau positionnement fut la catastrophe. C'est le lieu le plus laid de la ville qui a été pris comme théâtre des retransmissions. Une hérésie ridiculisée par un tapis aux couleurs du média. Il suffisait de regarder ce qui se passait au même moment en Guadeloupe pour se demander s'il ne s'agissait pas d'un sabotage intentionnel.
,
On peut se demander pour quelle raison le positionnement s’est fait à un bout du Boulevard Général De Gaulle, à la Croix Mission, avec des prises de vues de l’environnement plutôt défavorables. Un cadre qui n’inspirera certainement pas les étrangers, qui se connectent à travers le monde à Martinique la 1ère par Facebook ou internet, à venir voir notre carnaval.
Cela se prépare, cela s’appelle le repérage.
Paradoxalement, le circuit du cortège carnavalesque emprunte le Boulevard Chevalier de Sainte Marthe, avec la superbe baie de Fort de France et surtout le Fort Saint Louis, avant de reprendre le Boulevard Général De Gaulle.
Quant au carnaval du sud, lundi gras aux Anses d’Arlet, ni vu ni connu, pas la peine d’en parler !
Le repérage a conduit les apprentis sorciers de Martinique la 1ère à choisir le site le moins favorable, induisant le plus d’incongruités.
Le téléspectateur s’est perdu dans les mélanges des groupes qui semblaient se télescoper et arriver de nulle part ! Mais ce n'était pas tout :
Les animateurs d’une inculture chronique du carnaval ne savent que dire, sinon de demander aux participants si tout se passe bien, déambulant parmi les participants et faisant leur propre carnaval.
Mais on est allé plus loin dans les investigations pour tenter d’expliquer ce fiasco monumental! Cliquez sur la page 2 pour comprendre
C’était la totale, la référence. Des établissements scolaires s’en servaient !
Ce dimanche gras, jour de sortie de sa Majesté Vaval fut la grosse déception. Grosse déception pour ces milliers de personnes qui attendaient, et n’ont rien vu d’intéressant. Mais ce n'était pas qu'une question de contenu. Visiblement le choix de la Croix Mission pour un nouveau positionnement fut la catastrophe. C'est le lieu le plus laid de la ville qui a été pris comme théâtre des retransmissions. Une hérésie ridiculisée par un tapis aux couleurs du média. Il suffisait de regarder ce qui se passait au même moment en Guadeloupe pour se demander s'il ne s'agissait pas d'un sabotage intentionnel.
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On peut se demander pour quelle raison le positionnement s’est fait à un bout du Boulevard Général De Gaulle, à la Croix Mission, avec des prises de vues de l’environnement plutôt défavorables. Un cadre qui n’inspirera certainement pas les étrangers, qui se connectent à travers le monde à Martinique la 1ère par Facebook ou internet, à venir voir notre carnaval.
Cela se prépare, cela s’appelle le repérage.
Paradoxalement, le circuit du cortège carnavalesque emprunte le Boulevard Chevalier de Sainte Marthe, avec la superbe baie de Fort de France et surtout le Fort Saint Louis, avant de reprendre le Boulevard Général De Gaulle.
Quant au carnaval du sud, lundi gras aux Anses d’Arlet, ni vu ni connu, pas la peine d’en parler !
Le repérage a conduit les apprentis sorciers de Martinique la 1ère à choisir le site le moins favorable, induisant le plus d’incongruités.
Le téléspectateur s’est perdu dans les mélanges des groupes qui semblaient se télescoper et arriver de nulle part ! Mais ce n'était pas tout :
Les animateurs d’une inculture chronique du carnaval ne savent que dire, sinon de demander aux participants si tout se passe bien, déambulant parmi les participants et faisant leur propre carnaval.
Mais on est allé plus loin dans les investigations pour tenter d’expliquer ce fiasco monumental! Cliquez sur la page 2 pour comprendre