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Bravo à Cédric Eustache et bravo à tous les coureurs martiniquais qui l'ont aidé, belle leçon de solidarité, une grosse pensée pour celui qui est revenu quand il tombé. C’est ainsi que commençait un post d’un lecteur Facebook. Voici un tour où la sensation d’un gros progrès saute aux yeux.
Progrès sur la capacité des coureurs martiniquais à résister au talent des invités, et à les dominer.
Progrès sur la médiatisation du tour.
Progrès sur la commercialisation et l’organisation du tour.
Il ressort de toute cette amélioration que ce travail de fond se fait sous l’impulsion du président Alfred DEFONTIS dont on a également noté la fluidité gagné dans l’expression de ses idées. MAKAC LA aime cette Martinique qui gagne.
Progrès sur la capacité des coureurs martiniquais à résister au talent des invités, et à les dominer.
Progrès sur la médiatisation du tour.
Progrès sur la commercialisation et l’organisation du tour.
Il ressort de toute cette amélioration que ce travail de fond se fait sous l’impulsion du président Alfred DEFONTIS dont on a également noté la fluidité gagné dans l’expression de ses idées. MAKAC LA aime cette Martinique qui gagne.
Le Martiniquais Cédric Eustache remporte le 33ème Tour Cycliste International de Martinique !
PHOTO Conseil Régional
Par contre une polémique semble résister. Celle de l’arrivée de coureurs étrangers venant remplacer de manière éphémère les manques de nos équipes martiniquaises.
Quand cela se passe dans des équipes localisées dans des zones où à priori on est plus enclin à défendre une démarche nationaliste, cela fait désordre. Sauf si on considère que c’est aussi là une nouvelle page qui s’ouvre, à moins que ce soit une qui se ferme.
En définitive personne ne critique la double appartenance des coureurs martiniquais en particulier quand il s’agit de jeunes martiniquais qui vont apprendre leur métier de coureur comme on apprend à être médecin.
A chacun sa méthode. Gardons nous de critiquer ces présidents qui mettent en place des stratégies qui permettent de trouver les partenaires pour faire exister leur équipe avec des tous jeunes toute l’année.
Ceux qui n’ont pas les moyens de partir comme notre nouveau champion doivent avoir leur chance également.
Quand cela se passe dans des équipes localisées dans des zones où à priori on est plus enclin à défendre une démarche nationaliste, cela fait désordre. Sauf si on considère que c’est aussi là une nouvelle page qui s’ouvre, à moins que ce soit une qui se ferme.
En définitive personne ne critique la double appartenance des coureurs martiniquais en particulier quand il s’agit de jeunes martiniquais qui vont apprendre leur métier de coureur comme on apprend à être médecin.
A chacun sa méthode. Gardons nous de critiquer ces présidents qui mettent en place des stratégies qui permettent de trouver les partenaires pour faire exister leur équipe avec des tous jeunes toute l’année.
Ceux qui n’ont pas les moyens de partir comme notre nouveau champion doivent avoir leur chance également.
La nouvelle vague est déjà là
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