Nous sommes ici en MARTINIQUE et une plénière de la CTM se déroule.
Alors qu’une certaine presse d’investigation nous avait annoncé que durant une réunion de coordination le clan de la droite, et plus précisément son leader avait , interpellé le groupe majoritaire de la CTM, sur le peu de ressort de la politique menée par la collectivité majeur du pays , rien n’a été dit publiquement, pour incité à une autre politique. C’est la preuve que les choses ne sont pas si tragiques et qu’il n’y a pas de raison de crier anmway, ni de s’alarmer !
Toujours ici en MARTINIQUE, alors que des salariés du PNRM envisageaient, pour alerter l’opinion publique de demander tribune comme beaucoup d’autres syndicats l’ont déjà fait pour la cause qu'ils défendent, ils ont trouvé devant eux , un barrage filtrant. Fait d’un cordon de sécurité payé par la CTM pour éviter que des élus ne soient pris à parti. Exactement comme c’est le cas dans l’affaire PINTO avec la poste. Le barrage a fonctionné et les grévistes sont restés à la porte. La preuve que l'ont sait faire régner l'ordre.
Encore ici en MARTINIQUE, une guerre larvée éclate ! Elle commence par Claude LISE qui traite un membre de son ex-groupe du PPM de petit menteur. C’est insidieux, mais c’est amical, même si les yeux du président sont écarquillés. On se tutoie. La plénière se poursuit. On a pensé que c’était fini. La preuve que l'on peut s’injurier et continuer de travailler ensemble.
Plusieurs points de l’ordre du jour sont abordés. L’argent pour les associations, pour l’agriculture, pour les porteurs de projets, coule à flot. À ce moment-là, il me revient les images de la triste Dominique. Et je me dis que si l’île voisine avait à sa disposition les mêmes sommes du jour que ce serait formidable pour elle pour reconstruire le pays. Mais c’est formidable, il en manque, mais il y en a encore. et 500 000 €, pour un salon de l’agriculture , on ne sait plus combien pour la veille usine bancale.
Alors comment expliquer que : alors que tout va bien, que les portes sont bien gardées, que le dialogue existe, qu’on ne se Pleigne pas, ni du cap, ni de la manière, que l’argent des Martiniquais, de la France et de l’Europe coule à ne rien manquer, que certains élus finissent par devoir partir d’une telle assemblée si prospère.
Il y a des élus que l'on peut ne pas comprendre. Pourquoi se font-ils chier à dire que rien ne va alors que le pays dans son entier affirme jour après jour que tout va bien. Et vous ne pensez vous pas, vous aussi, que tout est parfait ? Alors !
Par contre alors que toute la classe politique sans exception défend l'idée d'égale répartition des quotas de Rhum NE PENSEZ VOUS PAS QUE PLUS DE RHUM c'est moins de canne à sucre pour le Galion ?
Vous voyez... Hic... Nou tout boulé ! Hic... Donc tout va bien !
Toujours ici en MARTINIQUE, alors que des salariés du PNRM envisageaient, pour alerter l’opinion publique de demander tribune comme beaucoup d’autres syndicats l’ont déjà fait pour la cause qu'ils défendent, ils ont trouvé devant eux , un barrage filtrant. Fait d’un cordon de sécurité payé par la CTM pour éviter que des élus ne soient pris à parti. Exactement comme c’est le cas dans l’affaire PINTO avec la poste. Le barrage a fonctionné et les grévistes sont restés à la porte. La preuve que l'ont sait faire régner l'ordre.
Encore ici en MARTINIQUE, une guerre larvée éclate ! Elle commence par Claude LISE qui traite un membre de son ex-groupe du PPM de petit menteur. C’est insidieux, mais c’est amical, même si les yeux du président sont écarquillés. On se tutoie. La plénière se poursuit. On a pensé que c’était fini. La preuve que l'on peut s’injurier et continuer de travailler ensemble.
Plusieurs points de l’ordre du jour sont abordés. L’argent pour les associations, pour l’agriculture, pour les porteurs de projets, coule à flot. À ce moment-là, il me revient les images de la triste Dominique. Et je me dis que si l’île voisine avait à sa disposition les mêmes sommes du jour que ce serait formidable pour elle pour reconstruire le pays. Mais c’est formidable, il en manque, mais il y en a encore. et 500 000 €, pour un salon de l’agriculture , on ne sait plus combien pour la veille usine bancale.
Alors comment expliquer que : alors que tout va bien, que les portes sont bien gardées, que le dialogue existe, qu’on ne se Pleigne pas, ni du cap, ni de la manière, que l’argent des Martiniquais, de la France et de l’Europe coule à ne rien manquer, que certains élus finissent par devoir partir d’une telle assemblée si prospère.
Il y a des élus que l'on peut ne pas comprendre. Pourquoi se font-ils chier à dire que rien ne va alors que le pays dans son entier affirme jour après jour que tout va bien. Et vous ne pensez vous pas, vous aussi, que tout est parfait ? Alors !
Par contre alors que toute la classe politique sans exception défend l'idée d'égale répartition des quotas de Rhum NE PENSEZ VOUS PAS QUE PLUS DE RHUM c'est moins de canne à sucre pour le Galion ?
Vous voyez... Hic... Nou tout boulé ! Hic... Donc tout va bien !