Si depuis l’’émission de Canal Plus, j’ai gardé le silence, ce n’est pas par hasard.
Il m’a simplement fallu tout ce temps pour absorber le choc et le trouble crées en moi.
Quelle blessure pour la communauté martiniquaise dans son ensemble.
Les propos d’Alain Hugues Despointes sont inacceptables et je les condamne totalement.
Depuis les années 1960 avec de nombreux compagnons de route, martiniquais de toutes origines, dans différentes instances, je me suis engagé avec enthousiasme et conviction dans des actions qui avaient pour objectif de rapprocher les différentes communautés de la société martiniquaise.
Aucun d’entre nous n’était le porte-parole officiel de sa communauté, mais chacun d’entre nous était conscient de ses responsabilités.
Plus tard, j’ai crée la Fondation Clément. Ce n’est pas par hasard si cette Fondation entièrement financée par mon groupe d’entreprises ne porte pas mon nom.
A travers cette Fondation, j’ai choisi de perpétuer le nom d’une grande famille de ce pays, symbole d’une belle réussite aussi bien sociale que professionnelle. Clément, un nom dont la Martinique, comme moi-même sommes fiers.
Ce n’est pas non plus un hasard, si l’homme qui symbolise le mieux la conscience martiniquaise, Aimée Césaire, a accepté de venir en compagnie de Camille Darsières planter à l’Habitation Clément l’arbre de la Fraternité.
Quel symbole et quel honneur.
L’homme que je suis, békés certes, mais martiniquais d’abord, a toujours été hautement conscient de l’importance du rôle de chacun dans le dialogue et la compréhension entre nos différentes communauté.
La secousse que nous vivons aujourd’hui est un appel à redoubler d’efforts.
Tous ensemble et moi le premier, nous devons dans un élan de fraternité tout faire pour que notre société martiniquaise devienne en profondeur une société respectueuse de chacun, enrichie de ses différences, confortées dans sa capacité à vivre ensemble. Bernard Hayot.
Il m’a simplement fallu tout ce temps pour absorber le choc et le trouble crées en moi.
Quelle blessure pour la communauté martiniquaise dans son ensemble.
Les propos d’Alain Hugues Despointes sont inacceptables et je les condamne totalement.
Depuis les années 1960 avec de nombreux compagnons de route, martiniquais de toutes origines, dans différentes instances, je me suis engagé avec enthousiasme et conviction dans des actions qui avaient pour objectif de rapprocher les différentes communautés de la société martiniquaise.
Aucun d’entre nous n’était le porte-parole officiel de sa communauté, mais chacun d’entre nous était conscient de ses responsabilités.
Plus tard, j’ai crée la Fondation Clément. Ce n’est pas par hasard si cette Fondation entièrement financée par mon groupe d’entreprises ne porte pas mon nom.
A travers cette Fondation, j’ai choisi de perpétuer le nom d’une grande famille de ce pays, symbole d’une belle réussite aussi bien sociale que professionnelle. Clément, un nom dont la Martinique, comme moi-même sommes fiers.
Ce n’est pas non plus un hasard, si l’homme qui symbolise le mieux la conscience martiniquaise, Aimée Césaire, a accepté de venir en compagnie de Camille Darsières planter à l’Habitation Clément l’arbre de la Fraternité.
Quel symbole et quel honneur.
L’homme que je suis, békés certes, mais martiniquais d’abord, a toujours été hautement conscient de l’importance du rôle de chacun dans le dialogue et la compréhension entre nos différentes communauté.
La secousse que nous vivons aujourd’hui est un appel à redoubler d’efforts.
Tous ensemble et moi le premier, nous devons dans un élan de fraternité tout faire pour que notre société martiniquaise devienne en profondeur une société respectueuse de chacun, enrichie de ses différences, confortées dans sa capacité à vivre ensemble. Bernard Hayot.