Mais au bout de quelques jours tout le monde savait que les débats étaient mal engagés. Il se sera même dit que pour apaiser les relations, une proposition d'embauche de la salariée à la mairie de FDF a été proposée.
On avait vu intervenir un sous-traitant. C'est cette même équipe qui avait bloqué la CFTU pendant plusieurs jours en avril dernier. Mais la première série d'échanges avec le personnel a été stoppée.
Puis ce dimanche c'est la reprise. Une reprise décisive . Nous apprenons que la reprise c'est pour lundi. Une reprise que l'on annonce progressive. Pour l'instant nous enregistrons les différents partenaires et nous reviendrons sur l'affaire dans un éditorial.
Voila ce que nous vous disions le 23
Alors c'est quoi le vrai problème ?
Ne pouvant plus justifier du droit de retrait, c'est une plate-forme de revendication sur l'état du matériel qui a été déposée avec un ultimatum. Réparer tout, tout de suite avant toute reprise. Vous noterez que le motif de base, celui du licenciement de la salariée n'est plus à l'ordre du jour, mais en filigrane. Autrement dit l'objectif du syndicat est d'affaiblir la direction, alors que cette dernière semble elle, se positionner pour une mise en sauvegarde de l'entreprise.
En effet il est clair que les salariés n'ont rien à cirer de la population, ni même de l'entreprise. Car comment imaginer qu'un courrier qui demande à chaque personnel de donner sa position soit perçu comme une menace, ou une annonce de licenciement ? Le vrai problème est de constater qu'il n'y a pas de volonté d'avancer. Comment comprendre que ce syndicat donne comme ultimatum à à la direction de retirer ce courrier pour reprendre le travail ? Pourquoi ne pas imaginer une reprise du transport, avec la poursuite des négociations d'autre part.
En définitive cette affaire de la CTFU, n'est rien d'autre qu'un bras de fer dans lequel des chauffeurs ont pris en otage une population qui à force d'en avoir assez, va elle à son tour, refuser de payer le service.
Puis ce dimanche c'est la reprise. Une reprise décisive . Nous apprenons que la reprise c'est pour lundi. Une reprise que l'on annonce progressive. Pour l'instant nous enregistrons les différents partenaires et nous reviendrons sur l'affaire dans un éditorial.
Voila ce que nous vous disions le 23
Alors c'est quoi le vrai problème ?
Ne pouvant plus justifier du droit de retrait, c'est une plate-forme de revendication sur l'état du matériel qui a été déposée avec un ultimatum. Réparer tout, tout de suite avant toute reprise. Vous noterez que le motif de base, celui du licenciement de la salariée n'est plus à l'ordre du jour, mais en filigrane. Autrement dit l'objectif du syndicat est d'affaiblir la direction, alors que cette dernière semble elle, se positionner pour une mise en sauvegarde de l'entreprise.
En effet il est clair que les salariés n'ont rien à cirer de la population, ni même de l'entreprise. Car comment imaginer qu'un courrier qui demande à chaque personnel de donner sa position soit perçu comme une menace, ou une annonce de licenciement ? Le vrai problème est de constater qu'il n'y a pas de volonté d'avancer. Comment comprendre que ce syndicat donne comme ultimatum à à la direction de retirer ce courrier pour reprendre le travail ? Pourquoi ne pas imaginer une reprise du transport, avec la poursuite des négociations d'autre part.
En définitive cette affaire de la CTFU, n'est rien d'autre qu'un bras de fer dans lequel des chauffeurs ont pris en otage une population qui à force d'en avoir assez, va elle à son tour, refuser de payer le service.