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L’association Contact-Entreprises, prend position dans le conflit de la SME à travers le communiqué qui suit.
« La médiation entre l’intersyndicale et la direction de la SME proposée par le Préfet et mise en œuvre par la DIECCTE ce jour (31 juillet 2014) a échoué.
Contact-Entreprises déplore cette situation. Elle constate que la proposition de la direction de la SME (+2,2% d’augmentation) correspond à plus du double de l’inflation constatée par l’INSEE entre juin 2013 et 2014 (0,9%) et que la revendication de l’intersyndicale (+6%) est équivalente à plus de 6 fois l’inflation annuelle et se situe donc en dehors de toute réalité économique .
L’économie martiniquaise ne peut continuer à faire les frais d’attitudes jusqu’au-boutistes qui mettent clairement en grand danger des entreprises et des emplois, notamment dans le secteur du tourisme. Des fermetures d’hôtel ont déjà eu lieu. La fermeture de l’aéroport devient une hypothèse crédible.
Elle déplore les actions de sabotage constatées chaque jour sur le réseau de distribution d’eau, et n’ose pas imaginer que ces méthodes puissent être cautionnées par l’intersyndicale.
Il devient maintenant urgent de rechercher une issue à ce conflit, en reprenant les discussions sur des bases rationnelles.
Par ailleurs Contact-Entreprises condamne fermement le blocage du véhicule du directeur à l’issue de la séance de négociation par certains syndicalistes. Ces pratiques sont inadmissibles. »
Emmanuel de Reynal, Président de Contact-Entreprises
« La médiation entre l’intersyndicale et la direction de la SME proposée par le Préfet et mise en œuvre par la DIECCTE ce jour (31 juillet 2014) a échoué.
Contact-Entreprises déplore cette situation. Elle constate que la proposition de la direction de la SME (+2,2% d’augmentation) correspond à plus du double de l’inflation constatée par l’INSEE entre juin 2013 et 2014 (0,9%) et que la revendication de l’intersyndicale (+6%) est équivalente à plus de 6 fois l’inflation annuelle et se situe donc en dehors de toute réalité économique .
L’économie martiniquaise ne peut continuer à faire les frais d’attitudes jusqu’au-boutistes qui mettent clairement en grand danger des entreprises et des emplois, notamment dans le secteur du tourisme. Des fermetures d’hôtel ont déjà eu lieu. La fermeture de l’aéroport devient une hypothèse crédible.
Elle déplore les actions de sabotage constatées chaque jour sur le réseau de distribution d’eau, et n’ose pas imaginer que ces méthodes puissent être cautionnées par l’intersyndicale.
Il devient maintenant urgent de rechercher une issue à ce conflit, en reprenant les discussions sur des bases rationnelles.
Par ailleurs Contact-Entreprises condamne fermement le blocage du véhicule du directeur à l’issue de la séance de négociation par certains syndicalistes. Ces pratiques sont inadmissibles. »
Emmanuel de Reynal, Président de Contact-Entreprises
