Et puis, la Révolution bourgeoise de 1789 est venue balayer l’Ancien Régime. Depuis, on a beaucoup parlé du règne de la « raison », de « souveraineté populaire », et du respect des « droits de l’homme ». Bien sur, le pouvoir et la jouissance de privilèges restaient l’apanage des classes dominantes, mais on s’appliquait à le cacher derrière les écrans du formalisme institutionnel. Vive la République criait-on de toute part !
Avec la constitution de 1958, la République Française a pris une forme manifestement monarchique, la rhétorique de la démocratie s’accommodant ouvertement de l’apparat des châteaux de la dite République et des larges privilèges offerts aux gouvernants.
Depuis que le sieur Macron De la Financerie et la Reine Brigitte, ont été installés sur le trône de France, la Monarchie a décidé de se débarrasser des faux-semblants. Opportunistes, nos néo-seigneurs ont saisi le prétexte de la pandémie de Covid 19, pour tenter de ressusciter pleinement la toute-puissance féodale. A défaut de « la peur de l’an mil », celle du coronavirus a été l’occasion de se ré-octroyer le « Droit de vie et de mort » sur leurs « sujets ». Voilà donc que le bon roi et sa cour, seuls habilités à décider de ce qui sied aux habitants de leurs fiefs, indiquent par décrets ce qui est autorisé ou pas et punissent les récalcitrants.
Le retour à l’absolutisme était déjà en cours, favorisé par la multiplication des lois liberticides que les gouvernements « libéraux », depuis le début des années 90, imposent partout dans le monde. Profitant du contexte, l’apprenti monarque a mis les bouchées doubles pour détricoter la démocratie et les avancées sociales. Philippe, Lemaire, Castaner, Lallemand et autre Benalla, ses Fermiers Généraux et ses séides, ont reçu pour consigne de livrer la « roture » au bucher du capitalisme. Rien ne doit empêcher cela et le recours à une police décomplexée est la règle.
Depuis que le sieur Macron De la Financerie et la Reine Brigitte, ont été installés sur le trône de France, la Monarchie a décidé de se débarrasser des faux-semblants. Opportunistes, nos néo-seigneurs ont saisi le prétexte de la pandémie de Covid 19, pour tenter de ressusciter pleinement la toute-puissance féodale. A défaut de « la peur de l’an mil », celle du coronavirus a été l’occasion de se ré-octroyer le « Droit de vie et de mort » sur leurs « sujets ». Voilà donc que le bon roi et sa cour, seuls habilités à décider de ce qui sied aux habitants de leurs fiefs, indiquent par décrets ce qui est autorisé ou pas et punissent les récalcitrants.
Le retour à l’absolutisme était déjà en cours, favorisé par la multiplication des lois liberticides que les gouvernements « libéraux », depuis le début des années 90, imposent partout dans le monde. Profitant du contexte, l’apprenti monarque a mis les bouchées doubles pour détricoter la démocratie et les avancées sociales. Philippe, Lemaire, Castaner, Lallemand et autre Benalla, ses Fermiers Généraux et ses séides, ont reçu pour consigne de livrer la « roture » au bucher du capitalisme. Rien ne doit empêcher cela et le recours à une police décomplexée est la règle.
Ainsi, aveuglés par leur arrogance, sourds au grondement de la tempête qui s’annonce, les seigneurs de la Macronie croient pouvoir mater toute « jacquerie », embastiller tout contestataire et tout « malandrin ». Ces activistes de la Restauration ne réalisent pas que nous sommes en 2020 !
Certes les nouveaux aristocrates ne seront pas pendus à la lanterne et un autre Louis XVI ne sera pas guillotiné, mais… « Ça ira ! Ça ira ! » Les néo-seigneurs se réveilleront dans les poubelles de l’histoire.