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En résumé la question est de savoir comment faire de la MARTINIQUE autre chose qu’un comptoir commercial administré à distance par des Français qui savent si peu des Martiniquais.
Cette affirmation de son indépendantisme est la seule concession faite par Aurélie NELLA dans le cadre de la très bonne émission politique de RCI. Sur la question de sa participation aux élections législatives, la Ministre de l’Éducation supérieure à indiqué qu’à titre personnelle elle n’était pas dans ce chrono, mais que si son parti en décidait autrement qu’elle était prête au combat.
Sur la question de la mairie de Ducos, elle a aussi indiqué que la perspective de 2020 était trop éloignée pour qu’elle l’envisage. Autrement dit Aurélie NELLA considère que ce qu’elle est aujourd’hui est suffisamment extraordinaire pour qu’elle espère pour l’instant plus.
MAKACLA n’est pas naïf, au point d’examiner que si cette femme politique envisage vraiment de faire ce métier, qu’elle ne puisse pas apprendre à le faire dès le début au plus haut niveau.
Mais il est souvent improductif de faire connaître ses intentions et une ambition saine peut être prise pour une arrogance voire une insolence par ceux qui vous observent.
Alors, on peut se demander pourquoi Aurélie NELLA a répondu sans détour à la question des deux journalistes.
C’est qu’elle n’est pas folle la guêpe ! Dire que l’on est indépendantiste, quand on est au MIM est un non-évènement. C’est le contraire qui serait interpellant et qui constituerait le scoop. Pire aux yeux de l’aile dure du parti affirmer que l’on est indépendantiste est un gage de bravoure.
Pour MAKACLA, la question devait être posée. Ce qui est étonnant, c’est l’emballage qui accompagne cette révélation. Nella indique que c’est au rythme du peuple qu’elle envisage ce marquage idéologique en reprenant la fameuse phrase du MIM selon laquelle c’est le peuple à la place du Dieu qui dispose.
Dommage qu’à cette occasion, elle n’ait pas indiqué ce qu’elle envisageait de faire pour faire avancer cette idée et progresser la cause. En réalité si les journalistes n’ont pas demandé comment on a bien compris que Nella n’était pas elle non plus pas plus indépendantiste que vous et moi !
L’avenir nous dira si nous nous étions vraiment trompés.
Cette affirmation de son indépendantisme est la seule concession faite par Aurélie NELLA dans le cadre de la très bonne émission politique de RCI. Sur la question de sa participation aux élections législatives, la Ministre de l’Éducation supérieure à indiqué qu’à titre personnelle elle n’était pas dans ce chrono, mais que si son parti en décidait autrement qu’elle était prête au combat.
Sur la question de la mairie de Ducos, elle a aussi indiqué que la perspective de 2020 était trop éloignée pour qu’elle l’envisage. Autrement dit Aurélie NELLA considère que ce qu’elle est aujourd’hui est suffisamment extraordinaire pour qu’elle espère pour l’instant plus.
MAKACLA n’est pas naïf, au point d’examiner que si cette femme politique envisage vraiment de faire ce métier, qu’elle ne puisse pas apprendre à le faire dès le début au plus haut niveau.
Mais il est souvent improductif de faire connaître ses intentions et une ambition saine peut être prise pour une arrogance voire une insolence par ceux qui vous observent.
Alors, on peut se demander pourquoi Aurélie NELLA a répondu sans détour à la question des deux journalistes.
C’est qu’elle n’est pas folle la guêpe ! Dire que l’on est indépendantiste, quand on est au MIM est un non-évènement. C’est le contraire qui serait interpellant et qui constituerait le scoop. Pire aux yeux de l’aile dure du parti affirmer que l’on est indépendantiste est un gage de bravoure.
Pour MAKACLA, la question devait être posée. Ce qui est étonnant, c’est l’emballage qui accompagne cette révélation. Nella indique que c’est au rythme du peuple qu’elle envisage ce marquage idéologique en reprenant la fameuse phrase du MIM selon laquelle c’est le peuple à la place du Dieu qui dispose.
Dommage qu’à cette occasion, elle n’ait pas indiqué ce qu’elle envisageait de faire pour faire avancer cette idée et progresser la cause. En réalité si les journalistes n’ont pas demandé comment on a bien compris que Nella n’était pas elle non plus pas plus indépendantiste que vous et moi !
L’avenir nous dira si nous nous étions vraiment trompés.
