Et d’autre part le déplacement de Monsieur PROCOLAM qui a créé, et qui continue à entretenir le jardin décoratif sur le site, et qui dans une certaine mesure va gêner les travaux prévus pour le passage du transport en site propre.
On ne peut que se satisfaire de cette démarche bien qu’il soit regrettable de constater que cela arrive tardivement. En effet MAKAC LA qui n’est pas un organe de presse, ni une presse d’opinion mais un blog qui donne son opinion, avait posé des questions par écrit au service communiocation du Conseil Régional sur un certain nombre de points pour avoir reçu une invitation à la présentation du TSCP.
A cette occasion MAKAC LA avait été interpellé par cette pratique de toutes les collectivités locales qui remettent les dossiers de presse le jour des conférences.
EN EFFET COMMENT COMPRENDRE LA FAIBLESSE DE L’OIPINION PUBLIQUE EN MARTINIQUE si ce n’est par la conjugaison des contraintes d’une presse industrielle, qui courent après le scoop et le manque de moyens d’investigation dont disposent les professionnels dans ces mêmes rédactions.
MAKAC LA avait osé poser ses questions par écrit au service communication de la région. En attendant les réponses nous nous étions hâtés à commencer une recherche d’information.
On ne peut que se satisfaire de cette démarche bien qu’il soit regrettable de constater que cela arrive tardivement. En effet MAKAC LA qui n’est pas un organe de presse, ni une presse d’opinion mais un blog qui donne son opinion, avait posé des questions par écrit au service communiocation du Conseil Régional sur un certain nombre de points pour avoir reçu une invitation à la présentation du TSCP.
A cette occasion MAKAC LA avait été interpellé par cette pratique de toutes les collectivités locales qui remettent les dossiers de presse le jour des conférences.
EN EFFET COMMENT COMPRENDRE LA FAIBLESSE DE L’OIPINION PUBLIQUE EN MARTINIQUE si ce n’est par la conjugaison des contraintes d’une presse industrielle, qui courent après le scoop et le manque de moyens d’investigation dont disposent les professionnels dans ces mêmes rédactions.
MAKAC LA avait osé poser ses questions par écrit au service communication de la région. En attendant les réponses nous nous étions hâtés à commencer une recherche d’information.
A ce titre nous avions réalisé une série de clichés et avions rencontré ce vieil homme désespéré qui raconte à qui veut l’entendre, la vraie raison qui le pousse à slalomer dans un tel trafic pour s’occuper de son jardin.
Ce dernier qui promettait de ne rien lâcher, et qui nous confirmait n’avoir jamais reçu de qui que ce soit, pas même une bouteille d’eau, semble inconscient que la réalisation de ce jardin se fait sur une base d’occupation illégale du domaine public.
Il est donc évident que le président qui se tape ce service après-vente s’en serait bien passé, si au moment de la phase conception du projet le coordinateur sécurité avait demandé de prendre des dispositions vis-à-vis de cet homme malade. Il en est de même pour le cabinet qui cordonne ces travaux qui à accepter de lancer la machine alors que toutes les dispositions de protection ne semblent pas être prises pour ce chantier gigantesque, à l’échelle de la Martinique.
Sans vouloir crier au feu ce vieil homme traumatisé par cette destruction à la pelle mécanique du jardin de mémoire consacré à son fils décédé, serait passé par-dessus le pont que la fête aurait ce jeudi un autre gout.
VOICI DONC CES PETITES CHOSES SIMPLES QUE NOUS N’ARRIVONS PAS A REGLER DANS CE PAYS, alors que nous avons les budgets pour le faire, qui ne font douter de notre capacité à réfléchir globalement, y comprend celle de concevoir les vraies solutions que nous devons mettre en œuvre.
En effet et plus ce TCSP avance, plus j’ai le sentiment que l’option choisie fait des mécontents.
Pour la seule libération de l’emprise au sol plusieurs procès semblent en cours. Plus le TCSP avance moins MAKAC LA comprends à quel moment il va laisser chez lui sont mulet.
Plus le TCSP avance, plus MAKAC LA constate que tant ceux qui se sont occupés de la conception que ceux qui s’occupent de la réalisation devraient être mis dos à dos pour réaliser que ce gros machin la, est en train de devenir le nouveau CHAT EN SAC de la petite Martinique.
Notre TCSP aujourd’hui conçu trop tard, et sous dimensionné à l’évidence, pour répondre à une Martinique dont l’état ne s’est que partiellement occupé des infrastructures, ressemble de plus en plus à une farce à quelques millions d’euros. Ce serpent dans la CACEM ressemble à tout sauf à une solution de développement durable.
Quant aux équipements qui le composent, par leur seul look ils ressemblent à un machin glouton en entretien qui risque d’accroitre notre dépendance vis-à-vis des sociétés extérieures.
Comme à tout malheur il faut trouver un avantage, MAKKAC LA se réjouit du travail que cela va tout de même apporter aux sociétés de travaux publics. Que ce soit l’occasion pour moi de rappeler que dans l’abréviation BTP il y a en plus des travaux public le secteur du bâtiment. Ce secteur regarde pousser ce machin la regardant sans trouver le long de la route où il y a un petit job à prendre.
Ainsi vont les travaux du TCSP au moment où la région préserve le travail du paysagiste bénévole.
Afin de prendre en considération son projet, le président du conseil régional lui rendu visite ce jeudi 06 mars à 10h sur le pont de la pointe des sables afin de définir avec l'intéressé le nouvel emplacement de son jardin.
Ce dernier qui promettait de ne rien lâcher, et qui nous confirmait n’avoir jamais reçu de qui que ce soit, pas même une bouteille d’eau, semble inconscient que la réalisation de ce jardin se fait sur une base d’occupation illégale du domaine public.
Il est donc évident que le président qui se tape ce service après-vente s’en serait bien passé, si au moment de la phase conception du projet le coordinateur sécurité avait demandé de prendre des dispositions vis-à-vis de cet homme malade. Il en est de même pour le cabinet qui cordonne ces travaux qui à accepter de lancer la machine alors que toutes les dispositions de protection ne semblent pas être prises pour ce chantier gigantesque, à l’échelle de la Martinique.
Sans vouloir crier au feu ce vieil homme traumatisé par cette destruction à la pelle mécanique du jardin de mémoire consacré à son fils décédé, serait passé par-dessus le pont que la fête aurait ce jeudi un autre gout.
VOICI DONC CES PETITES CHOSES SIMPLES QUE NOUS N’ARRIVONS PAS A REGLER DANS CE PAYS, alors que nous avons les budgets pour le faire, qui ne font douter de notre capacité à réfléchir globalement, y comprend celle de concevoir les vraies solutions que nous devons mettre en œuvre.
En effet et plus ce TCSP avance, plus j’ai le sentiment que l’option choisie fait des mécontents.
Pour la seule libération de l’emprise au sol plusieurs procès semblent en cours. Plus le TCSP avance moins MAKAC LA comprends à quel moment il va laisser chez lui sont mulet.
Plus le TCSP avance, plus MAKAC LA constate que tant ceux qui se sont occupés de la conception que ceux qui s’occupent de la réalisation devraient être mis dos à dos pour réaliser que ce gros machin la, est en train de devenir le nouveau CHAT EN SAC de la petite Martinique.
Notre TCSP aujourd’hui conçu trop tard, et sous dimensionné à l’évidence, pour répondre à une Martinique dont l’état ne s’est que partiellement occupé des infrastructures, ressemble de plus en plus à une farce à quelques millions d’euros. Ce serpent dans la CACEM ressemble à tout sauf à une solution de développement durable.
Quant aux équipements qui le composent, par leur seul look ils ressemblent à un machin glouton en entretien qui risque d’accroitre notre dépendance vis-à-vis des sociétés extérieures.
Comme à tout malheur il faut trouver un avantage, MAKKAC LA se réjouit du travail que cela va tout de même apporter aux sociétés de travaux publics. Que ce soit l’occasion pour moi de rappeler que dans l’abréviation BTP il y a en plus des travaux public le secteur du bâtiment. Ce secteur regarde pousser ce machin la regardant sans trouver le long de la route où il y a un petit job à prendre.
Ainsi vont les travaux du TCSP au moment où la région préserve le travail du paysagiste bénévole.
Afin de prendre en considération son projet, le président du conseil régional lui rendu visite ce jeudi 06 mars à 10h sur le pont de la pointe des sables afin de définir avec l'intéressé le nouvel emplacement de son jardin.
Voici la liste des questions que nous avions posée dont certaines restent encore d’actualité.
Quelles sont les dispositions prisent pour la santé mentale du malade psychiatrique qui cultive au bord de l'autoroute un jardin qu'il dit entretenir pour remplacer son fils décédé.
Avez vous fait des photos du site avant de le défricher afin de gardez pour les archives l
Les arbres coupés avait plus de 20 ans n'était t-il pas possible de les replanter ailleurs.
Quelles sont les dispositions prises relatives à la protection des habitants sur la zone de chantier d'autant que la palisade des habitants semble particulièrement précaire.
merci de ces réponses
Avez vous fait des photos du site avant de le défricher afin de gardez pour les archives l
Les arbres coupés avait plus de 20 ans n'était t-il pas possible de les replanter ailleurs.
Quelles sont les dispositions prises relatives à la protection des habitants sur la zone de chantier d'autant que la palisade des habitants semble particulièrement précaire.
merci de ces réponses