Et même s’il n’y a rien de moins sympathique qu’un chauffeur de camion, il s’agit de Martiniquais, qui veulent défendre leurs entreprises.
Sur la route ils sont rarement courtois, il font peu cas des petites voitures avec ils partagent a la route, et souvent il sont agressifs vis-à-vis de tout ce qui est plus petit qu’eux.
L’opinion publique n’a donc pas une bonne image de ces messieurs les transporteurs d’autant que le bruit a couru qu’ils voulaient faire « souffert » la MARTINIQUE. La revendication posée crée un trouble d’autant que les trois points qui la composent donnent le sentiment que ces chauffeurs veulent se rouler dans l’argent des Martiniquais.
Une détaxe par véhicule, un changement de la règle des marchés, et le départ de 6 transporteurs à la retraite. Sur tous ces points l’opinion publique est défavorable. Et quand AMJ dit non après que LETCHIMY ait dit oui, cette même opinion publique dit non également aux camionneurs.
Il sera donc difficile pour les camionneurs, de renverser cette opinion publique, et de faire valoir leurs arguments.
Et des arguments ils y en a :
Le changement, c’est aussi dans cette profession. Comment comprendre que ces derniers soit les seuls qui ne soient pas accompagnés dans ce changement.
C’est à coups de millions d’euros que la banane se sera restructurée. C’est grâce à AMJ que la mûrisserie qui est devenue la clef de voûte des planteurs se sera mise en place.
Secondo, il existe un projet de restructuration du transport à travers des barges, comment expliquer que la nouvelle structure qui va gérer le transport en MARTINIQUE annonce un déficit prévisionnel de 70 millions ( dixit Louis BOUTRIN) et que pour le transport de marchandises, on ne prévoit pas un copeck.
Enfin et c’est sur la forme, sans doute, le plus important en démocratie, est-il normal que le président de tous les Martiniquais refuse de parler respectueusement à d’autres Martiniquais, en particulier quand ces derniers semblent ne pas partager sa vision du développement ?
Vous voyez dans cette affaire, il s’engage un rapport de forces. C’est dommage que ce soit entre Martiniquais.
L’opinion publique n’a donc pas une bonne image de ces messieurs les transporteurs d’autant que le bruit a couru qu’ils voulaient faire « souffert » la MARTINIQUE. La revendication posée crée un trouble d’autant que les trois points qui la composent donnent le sentiment que ces chauffeurs veulent se rouler dans l’argent des Martiniquais.
Une détaxe par véhicule, un changement de la règle des marchés, et le départ de 6 transporteurs à la retraite. Sur tous ces points l’opinion publique est défavorable. Et quand AMJ dit non après que LETCHIMY ait dit oui, cette même opinion publique dit non également aux camionneurs.
Il sera donc difficile pour les camionneurs, de renverser cette opinion publique, et de faire valoir leurs arguments.
Et des arguments ils y en a :
Le changement, c’est aussi dans cette profession. Comment comprendre que ces derniers soit les seuls qui ne soient pas accompagnés dans ce changement.
C’est à coups de millions d’euros que la banane se sera restructurée. C’est grâce à AMJ que la mûrisserie qui est devenue la clef de voûte des planteurs se sera mise en place.
Secondo, il existe un projet de restructuration du transport à travers des barges, comment expliquer que la nouvelle structure qui va gérer le transport en MARTINIQUE annonce un déficit prévisionnel de 70 millions ( dixit Louis BOUTRIN) et que pour le transport de marchandises, on ne prévoit pas un copeck.
Enfin et c’est sur la forme, sans doute, le plus important en démocratie, est-il normal que le président de tous les Martiniquais refuse de parler respectueusement à d’autres Martiniquais, en particulier quand ces derniers semblent ne pas partager sa vision du développement ?
Vous voyez dans cette affaire, il s’engage un rapport de forces. C’est dommage que ce soit entre Martiniquais.