Mais elle nous fait aussi réaliser soit que nous vieillissons, soit que le temps passe.
Jean BERNABE avait 75 ans et il est mort. Quand on sait la moyenne de l’âge de la mort est progresse, on se rend bien compte que la vie l’aura fauché. Jean Bernabé était malade.
Selon France Antilles : « Le Professeur émérite des Universités, le professeur Jean Bernabé est décédé dans la nuit de mardi à mercredi à son domicile à Fort-de-France.
Nous apprenons par nos confrères qu’il était né en 1942 au lorrain et que Jean Bernabé est mort des suites d'une maladie qui l'immobilisait depuis de nombreux mois.
Doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l'Université des Antilles Guyane, agrégé de grammaire, éminent linguiste, Jean Bernabé était particulièrement reconnu pour ses travaux sur la langue créole.
Il était également le co-fondateur avec Raphaël Confiant et Patrick Chamoiseau du mouvement litteraire de la Créolité autour notamment d'un ouvrage publié en 1989 : « Éloge de la créolité ».
Auteurs de nombreuses publications (Essais, romans, articles…), son dernier ouvrage publié l'année dernière s'intitulait : « La dérive identitariste » publié chez L'Harmattan.
Jean Bernabé est aussi l'un des moteurs de la journée du créole qui a lieu chaque année en Martinique à la date du 28 octobre. Il tient à jour son propre bloc-notes traitant de thèmes créolophones tels que: "la problématique de la graphie des créoles à l'heure de leur institutionnalisation dans le système scolaire" ou "Patriotisme, université et développement de nos pays".
Selon WIKIPEDIA
Aux côtés d'auteurs phares que sont Raphael Confiant et Patrick Chamoiseau dans le paysage créolophone martiniquais, il participe activement à la reconnaissance de la langue comme pour cette lettre adressée au ministère lors de l'annulation du CAPES créole en 2005.
Fort de son implication, il est un acteur majeur de l'émergence du créole dans la culture antillaise, par ailleurs sa présence journalière à l'UAG (Université Antilles-Guyane) de Schœlcher en Martinique lui confère une notoriété et un champ de manœuvre considérable.
Il est aussi plus récemment le fondateur de l'UTL (université du temps libre) visant à conférer des activités intellectuelles et parfois physiques (excursions, randonnées) à des personnes souhaitant s'occuper de manière positive.
Nous vous donnerons plus de détails sur ce décès qui secoue sa famille et le monde des intellectuels, Martiniquais et présentons à sa famille et à tous ses amis nos sincères condoléances..
Jean BERNABE avait 75 ans et il est mort. Quand on sait la moyenne de l’âge de la mort est progresse, on se rend bien compte que la vie l’aura fauché. Jean Bernabé était malade.
Selon France Antilles : « Le Professeur émérite des Universités, le professeur Jean Bernabé est décédé dans la nuit de mardi à mercredi à son domicile à Fort-de-France.
Nous apprenons par nos confrères qu’il était né en 1942 au lorrain et que Jean Bernabé est mort des suites d'une maladie qui l'immobilisait depuis de nombreux mois.
Doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l'Université des Antilles Guyane, agrégé de grammaire, éminent linguiste, Jean Bernabé était particulièrement reconnu pour ses travaux sur la langue créole.
Il était également le co-fondateur avec Raphaël Confiant et Patrick Chamoiseau du mouvement litteraire de la Créolité autour notamment d'un ouvrage publié en 1989 : « Éloge de la créolité ».
Auteurs de nombreuses publications (Essais, romans, articles…), son dernier ouvrage publié l'année dernière s'intitulait : « La dérive identitariste » publié chez L'Harmattan.
Jean Bernabé est aussi l'un des moteurs de la journée du créole qui a lieu chaque année en Martinique à la date du 28 octobre. Il tient à jour son propre bloc-notes traitant de thèmes créolophones tels que: "la problématique de la graphie des créoles à l'heure de leur institutionnalisation dans le système scolaire" ou "Patriotisme, université et développement de nos pays".
Selon WIKIPEDIA
Aux côtés d'auteurs phares que sont Raphael Confiant et Patrick Chamoiseau dans le paysage créolophone martiniquais, il participe activement à la reconnaissance de la langue comme pour cette lettre adressée au ministère lors de l'annulation du CAPES créole en 2005.
Fort de son implication, il est un acteur majeur de l'émergence du créole dans la culture antillaise, par ailleurs sa présence journalière à l'UAG (Université Antilles-Guyane) de Schœlcher en Martinique lui confère une notoriété et un champ de manœuvre considérable.
Il est aussi plus récemment le fondateur de l'UTL (université du temps libre) visant à conférer des activités intellectuelles et parfois physiques (excursions, randonnées) à des personnes souhaitant s'occuper de manière positive.
Nous vous donnerons plus de détails sur ce décès qui secoue sa famille et le monde des intellectuels, Martiniquais et présentons à sa famille et à tous ses amis nos sincères condoléances..