Et pourtant les force de l'ordre occupent le terrain.
Concernant les chiffres, les syndicats de la police affirment que la MARTINIQUE, la GUADELOUPE, la GUYANE, constitueraient le trio de tête des régions, les plus dangereuses. Mais comment croire que la ville de Fort-de-France serait plus dangereuse que MARSEILLE. N’est pas à MARSEILLE que certains cinéastes en quête de ville mythiquement mafieuse, ont préféré tourner certaines scènes de films périlleux.
Alors, la MARTINIQUE serait elle devenue un repère de bandits ? Ce qui caractérise ici les fait de violence, c’est qu’ils sont produits par une bande de petits malfrats, sans grande envergure. Si tous sont des délinquants beaucoup d’entre, eux sont connus pour des affaires de stupéfiants. Certains faisant commerce sous les abris bus aux yeux de tous. Ils n’ont jamais connu le chemin d’une entreprise. Ils fondent des familles par procuration en laissant à des mamies le soin de faire grandir leur progéniture pendant qu’ils croupissent dans les prisons.
Mais tout de même, que se sera-t-il passé pour que d’un coup les choses basculent irrémédiablement. Car les chiffres sont indiscutables. Toutes proportions gardées on a plus de chance de se faire dévaliser en MARTINIQUE, sous les cocotiers. C’est pourtant un pays qui veut faire du tourisme son fondement économique.
Le plus grave arrive, quand la violence gagne les campagnes, et quand on vous vole le fruit de votre travail. Au Saint-Esprit, un vergé planté en citronnier à été dévasté. À Carrère une entreprise à été défoncée plus de 15 000 € de matériel en tous genres se sont volatilisés dans la nature. L’artisan s’est retrouvé incapable d’arracher un clou. A rivière pilote un libre service sera dévalisé au coutelas.
Cela ne peut plus durer. N’est-ce pas le moment de se demander à qui la responsabilité revient, de faire revenir l’ordre en MARTINIQUE ?
Alors, la MARTINIQUE serait elle devenue un repère de bandits ? Ce qui caractérise ici les fait de violence, c’est qu’ils sont produits par une bande de petits malfrats, sans grande envergure. Si tous sont des délinquants beaucoup d’entre, eux sont connus pour des affaires de stupéfiants. Certains faisant commerce sous les abris bus aux yeux de tous. Ils n’ont jamais connu le chemin d’une entreprise. Ils fondent des familles par procuration en laissant à des mamies le soin de faire grandir leur progéniture pendant qu’ils croupissent dans les prisons.
Mais tout de même, que se sera-t-il passé pour que d’un coup les choses basculent irrémédiablement. Car les chiffres sont indiscutables. Toutes proportions gardées on a plus de chance de se faire dévaliser en MARTINIQUE, sous les cocotiers. C’est pourtant un pays qui veut faire du tourisme son fondement économique.
Le plus grave arrive, quand la violence gagne les campagnes, et quand on vous vole le fruit de votre travail. Au Saint-Esprit, un vergé planté en citronnier à été dévasté. À Carrère une entreprise à été défoncée plus de 15 000 € de matériel en tous genres se sont volatilisés dans la nature. L’artisan s’est retrouvé incapable d’arracher un clou. A rivière pilote un libre service sera dévalisé au coutelas.
Cela ne peut plus durer. N’est-ce pas le moment de se demander à qui la responsabilité revient, de faire revenir l’ordre en MARTINIQUE ?