TRIBUNE LIBRE: Camille CHAUVET pleure les transports BONIFACE
A quel jeu dangereux joue la section CSTM qui est impliquée dans le conflit des transports Boniface?
Bertrand Cambusy est-il aux ordres, d'un mouvement décidé à porter un coup à l'économie martiniquaise déjà branlante, pour créer un mécontentement qui ira en s'amplifiant.
Ainsi ce mouvement sortirait comme un diable de sa boite pour jouer les sauveurs.
Question:
Comment des salariés peuvent ils accorder du crédit à un leader syndical qui déclare avoir remporté une victoire, car la condamnation qui lui était promise affecte tout simplement la CSTM, et non le citoyen Cambusy.
Mais alors, ces mêmes salariés savent ils que ces dommages que la CSTM devra payer est de l'argent public qui est versée à la CSTM, comme aux autres syndicats en fonction de leur représentativité et de leur nombre d'adhérents?
En plus clair, la CSTM du fait des actes délictueux de Cambusy dans le conflit des Transports Boniface, devra payer des dommages grâce à l'argent des contribuables.
Je laisse à votre réflexion ce triste épisode d'un conflit qui finira par faire rendre l'âme à une entreprise.......Et alors, Cambusy effectuera un tour de retraite au flambeau en criant haut et fort une victoire sur l'économie de ce département, après avoir terrassé une entreprise.....C'est peut-être cela le vrai syndicalisme..
Bravo Cambusy.......Il est temps de savoir de qui vous êtes le bras armé!.
Mais au fait, quelle est la profession de Bertrand Cambusy?
On serait tenté de répondre: faiseur de grève jusqu'à ce que l'entreprise voit son outil de travail passe de vie à trépas, avec les salariés, et autant de famille!
Roger Tranquille nous fait le coup des "méchants-grévistes-portant -un-coup-fatale-à-notre-économie-martiniquaise-déjà-branlante". C'est un couplet que l'on entend depuis des décennies - voire des siècles - et l'on peut répondre ici qu'avec un tel raisonnement les Martiniquais en seraient toujours à manger du fruit à pain en subissant les jérémiades des propriétaires, des puissants, se plaignant de la "mauvaise volonté" de tous ces "feignants" refusant de travailler pour rien. Car, au fond, Monsieur Tranquille, n'est-ce pas là l'objectif pour faire redémarrer "l'économie martiniquaise" ?: faire travailler les gens le moins cher possible, et même pour rien de préférence. Et en avant la calèche pour une dernière virée dans mes terres....
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