Petite rectification, le quidam Marie-Reine, n'est pas surnommé Tête Cercueil, mais Tèt Serkèz.
Il se tait depuis que madame Josette Manin a quitté la scène au Conseil Général en sa qualité de présidente de la collectivité, tout simplement que le sinistre Tèt Serkèz, qui sait à peine lire et écrire, et comme son compère Cambusy sont les bras armés du MIM, que le syndicat qu'ils représentent n'est autre qu'une filiale de la CSTM, pour Tèt Serkèz et la CSTM pour Bernard Cambusy, que la CSTM elle même est le prolongement du MIM, Daniel Marie-Sainte l'ayant dirigée pendant plusieurs années, avec Marc Pulvar.
Revoyez un peu les défilés du 1er Mai, on voyait en tête de la délégation du MIM, Alfred Marie-Jeanne, Daniel Marie-Sainte et Marc Pulvar.
Tèt Serkèz et Cambusy sont aux ordres du patron du MIM, et comme le patron du MIM n'est autre que le patron de la CTM, TOUT LE MONDE LA FERME.
Devant des journalistes, et hors micro, voici les propos de Bernard Cambusy: "Yo pé di épi fè sa yo lé, mwen koulé antroupiz transpô Bernard la.....iI téka kwè koy tibren tropp"...Super stratégie syndicale, on se demande comment un salarié peut-il confier ses intérêts à un tel personnage, mais c'est la ligne de conduite des dirigeants politico- syndicaux de la CSTM/MIM, faire peur, et pression., la stratégie des gourous.
Triste échantillon des syndicalistes du pays Martinique.
Heureusement que tous ne sont pas du même calibre.