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Notre raison d'être : informer, analyser, révéler, expliquer pour anticiper un réel immédiat et le futur ...

Prospective pour les prochaines législatives à la Martinique Par Xavier SOLINSKY

 moua
Mercredi 29 Février 2012

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Eux aussi vont encore essayer de nous vendre la prospérité pour tous et la mondialisation.....comme leur frere de loge avant eux...


’’Les fondements de la politique coloniale’’
Discours de Jules Ferry prononcé à la Chambre des députés le 28 juillet 1885

Source : assemblee-nationale.fr



12345 19 votes M. Jules Ferry : Messieurs, je suis confus de faire un appel aussi prolongé à l’attention bienveillante de la Chambre, mais je ne crois pas remplir à cette tribune une tâche inutile.

Elle est laborieuse pour moi comme pour vous, mais il y a, je crois, quelque intérêt à résumer et à condenser, sous forme d’arguments, les principes, les mobiles, les intérêts divers qui justifient la politique d’expansion coloniale, bien entendu, sage, modérée et ne perdant jamais de vue les grands intérêts continentaux qui sont les premiers intérêts de ce pays.

Je disais, pour appuyer cette proposition, à savoir qu’en fait, comme on le dit, la politique d’expansion coloniale est un système politique et économique, je disais qu’on pouvait rattacher ce système à trois ordres d’idées ; à des idées économiques, à des idées de civilisation de la plus haute portée et à des idées d’ordre politique et patriotique.

Sur le terrain économique, je me suis permis de placer devant vous, en les appuyant de quelques chiffres, les considérations qui justifient la politique d’expansion coloniale au point de vue de ce besoin de plus en plus impérieusement senti par les populations industrielles de l’Europe et particulièrement de notre riche et laborieux pays de France, le besoin de débouchés.

Est-ce que c’est quelque chose de chimérique ? Est-ce que c’est une vue d’avenir, ou bien n’est-ce pas un besoin pressant, et on peut dire le cri de notre population industrielle ? Je ne fais que formuler d’une manière générale ce que chacun de vous, dans les différentes parties de la France, est en situation de constater.

Oui, ce qui manque à notre grande industrie, que les traités de 1860 ont irrévocablement dirigé dans la voie de l’exportation, ce qui lui manque de plus en plus ce sont les débouchés. Pourquoi ?

Parce qu’à côté d’elle l’Allemagne se couvre de barrières, parce que au-delà de l’océan les États-Unis d’Amérique sont devenus protectionnistes et protectionnistes à outrance ; parce que non seulement ces grands marchés, je ne dis pas se ferment, mais se rétrécissent, deviennent de plus en plus difficiles à atteindre par nos produits industriels parce que ces grands États commencent à verser sur nos propres marchés des produits qu’on n’y voyait pas autrefois.

Ce n’est pas une vérité seulement pour l’agriculture, qui a été si cruellement éprouvée et pour laquelle la concurrence n’est plus limitée à ce cercle des grands États européens pour lesquels avaient été édifiées les anciennes théories économiques ; aujourd’hui, vous ne l’ignorez pas, la concurrence, la loi de l’offre et de la demande, la liberté des échanges, l’influence des spéculations, tout cela rayonne dans un cercle qui s’étend jusqu’aux extrémités du monde. (Très bien ! Très bien !)

C’est là une grande complication, une grande difficulté économique.

[…]

C’est là un problème extrêmement grave.

Il est si grave, messieurs, si palpitant, que les gens moins avisés sont condamnés à déjà entrevoir, à prévoir et se pourvoir pour l’époque où ce grand marché de l’Amérique du Sud, qui nous appartenait de temps en quelque sorte immémorial, nous sera disputé et peut-être enlevé par les produits de l’Amérique du Nord. Il n’y a rien de plus sérieux, il n’y a pas de problème social plus grave ; or, ce programme est intimement lié à la politique coloniale.

[…]

Messieurs, il y a un second point, un second ordre d’idées que je dois également aborder, le plus rapidement possible, croyez-le bien : c’est le côté humanitaire et civilisateur de la question.

Sur ce point, l’honorable M. Camille Pelletan raille beaucoup, avec l’esprit et la finesse qui lui sont propres ; il raille, il condamne, et il dit : Qu’est ce que c’est que cette civilisation qu’on impose à coups de canon ? Qu’est-ce sinon une autre forme de la barbarie ? Est-ce que ces populations de race inférieure n’ont pas autant de droits que vous ? Est-ce qu’elles ne sont pas maîtresses chez elles ? Est-ce qu’elles vous appellent ? Vous allez chez elles contre leur gré ; vous les violentez, mais vous ne les civilisez pas.

Voilà, messieurs, la thèse ; je n’hésite pas à dire que ce n’est pas de la politique, cela, ni de l’histoire : c’est de la métaphysique politique... (Ah ! ah ! à l’extrême gauche.)

Voix à gauche. Parfaitement !

M. Jules Ferry.... et je vous défie – permettez-moi de vous porter ce défi, mon honorable collègue, monsieur Pelletan –, de soutenir jusqu’au bout votre thèse, qui repose sur l’égalité, la liberté, l’indépendance des races inférieures. Vous ne la soutiendrez pas jusqu’au bout, car vous êtes, comme votre honorable collègue et ami M. Georges Perin, le partisan de l’expansion coloniale qui se fait par voie de trafic et de commerce.

[…]

Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures... (Rumeurs sur plusieurs bancs à l’extrême gauche.)

LA VERITE ET INSUBMERSIBLE ET TETUE......

what else ??? .......



 profane des iles
Jeudi 1 Mars 2012

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a quoi ca ressemble un FRERE PWOFYTASSIONNEUR ????

Larcher, ex-président du Sénat, atterrit au château de Chambord
François Krug | Journaliste

L'article a été mis à jour après la confirmation de la nomination de Gérard Larcher comme président du Domaine public de Chambord en conseil des ministres. A la suite de commentaires à ce sujet, des précisions ont été ajoutées sur les avantages du poste (pas de rémunération, mais un remboursement des frais).


Gérard Larcher à Matignon, le 26 janvier 2006 (Charles Platiau/Reuters)

Gérard Larcher avait perdu la présidence du Sénat avec la victoire de la gauche, en septembre. Le gouvernement vient de lui offrir un lot de consolation, en le nommant au château de Chambord. Il y remplacera Pierre Charon, le dissident qui avait justement ridiculisé l'UMP lors des sénatoriales.

Selon un arrêté paru au Journal officiel, Gérard Larcher a été nommé mardi membre du conseil d'administration du Domaine national de Chambord. Dans la foulée, au conseil des ministres de ce mercredi, il a été immédiatement promu président de ce conseil.

L'établissement public du Domaine de Chambord gère à la fois le château et sa forêt, un terrain de chasse réservé à des VIP invités par l'Etat. Ça tombe bien, le sénateur-maire de Rambouillet est lui-même chasseur.

Le règlement modifié pour Gérard Larcher
Pour lui offrir ce fauteuil de président, le gouvernement a discrètement modifié la semaine dernière les règles d'admission au conseil d'administration. Un décret paru le 22 février a créé un poste d'administrateur supplémentaire, réservé à un « titulaire d'un mandat électoral local ou national ».

C'est ainsi que Gérard Larcher a obtenu un siège dans la catégorie des personnalités « choisies en raison de leur compétence », aux côtés de :

•Patrick Ouart, ancien conseiller justice de Nicolas Sarkozy, qui a trouvé refuge chez LVMH ;
•Renaud Donnedieu de Vabres, ancien ministre de la Culture ;
•Christian de Longevialle, ancien banquier, président de la Fondation de la Maison de la chasse et de la nature.
Autre modification discrète du règlement : le président de Chambord sera toujours nommé par décret de l'Elysée, mais il sera uniquement « choisi parmi [ces] membres du conseil d'administration ».

Là aussi, ça tombait bien : la place de président était libre depuis plusieurs mois, et parmi ces quatre personnalités compétentes, Gérard Larcher semblait le plus qualifié pour l'occuper

pas de contrat aidé , ou d emploi formation pour celui là ??????

POUARCK POUARCK ET REPOUARCK.....
 TOTO
Dimanche 4 Mars 2012

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aux apprentis journalistes...en formation continue

Voila du vrai travail de journaliste de notre RIPOUBLIK...

Edith Bouvier et William Daniels
Dans l’inversement des valeurs, on aura pas fait mieux avec le cas syrien et les éboueurs de la vérité. La falsification, les voltiges mensongères, le bruit et la fureur ont émaillé et émaillent toujours sans retenue aucune les médias mensonges. L’oligarchie médiatique, plus audible par les pouvoirs d’argent, triture le trait à outrance, jusqu’à phagocyter la vérité. Coluche avait dit ceci: “On ne peut pas dire la vérité à la télévision, il y a trop de gens qui regardent”.
Ainsi donc, d’entendre les récits tarabiscotés et bidonnés des journalistes Edith Bouvier et William Daniels son compagnon, sortis du diable vauvert selon leurs salmigondis, on comprend que la propagande de l’OTAN a de beaux jours devant elle. Personne ne s’est réellement penché sur le parcours, l’employeur ou l’idéologie de ces “deux héros” que sont Edith Bouvier et William Daniels selon la nouvelle formule consacrée, la nouvelle donne journalistico-mystique.

Le droit de l’hommiste dont font preuve les médias et les politiques occidentaux qui veulent “sauver” la Syrie, disent-ils, du “brasier allumé par le boucher de Damas Bachar al-Assad” ne s’est pas exprimé étrangement en Libye où les Nations unies fuient leur responsabilité sur l’assassinat de Mouammar Kadhafi en des termes lapidaires : ”La Commission est dans l’incapacité de confirmer que la mort de Mouammar Kadhafi est un assassinat illégal et réclame un complément d’enquête”. L’ONU ne cherche même pas à condamner le génocide de l’OTAN en Libye avec plusde 70 000 morts, encore moins la situation à Bahreïn.

Edith Bouvier et William Daniels ont été envoyés en Syrie sous l’impulsion des services secrets français, avec la bénédiction de leur employeur Le Figaro et vendeur d’armes. Faut-il, ici, rappeler les accouintances de ce journal avec le pouvoir français actuel ? C’est le journal qui reste son soutien indéfectible, malgré sa descente dans les abîmes.

A Homs, ils étaient protégés par une myriade de soldats étrangers, et non par les locaux de l’Armée syrienne libre (ASL) comme veut le laisser penser Edith Bouvier. Elle dit avoir passé “les meilleurs jours” de sa vie sur place. Elle jouissait en communion avec les terroristes sans doute lorsque, de retour de leurs opérations (assassinats de militaires syriens, enlèvements de civils, attentats criminels) illégales dans un Etat de droit. Les armes saisies à Baba Amr révèlent que ces journalistes ou soldats de l’apocalypse au même titre que ceux qui tiennent des armes à la main, sont simplement, aussi, des terroristes.

 MOUA
Mercredi 7 Mars 2012

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Même si ça remonte à longtemps, l'information est amusante : Nicolas Sarkozy et François Hollande, les deux favoris d'une campagne présidentielle peu fraternelle, sont cousins !

Leur ancêtre commun, Claude Labully-Burty, était un « modeste paysan » savoyard qui a vécu à la fin du XVIe et au début du XVIIe siècle, nous apprend le généalogiste Jean-Louis Beaucarnot dans la nouvelle édition de son livre « Le Tout politique », qui explore les pedigrees des politiciens français.



Couverture du « Tout-politique », de Jean-Louis Beaucarnot (DR)
On y découvre encore, notamment, que Jean-Louis Borloo et Marine Le Pen cousinent aussi, que NKM descend des terribles Borgia ou que DSK compte un bagnard parmi ses ancêtres.

Celui de Sarkozy et Hollande, qui était donc paysan dans le village de Saint-Maurice-de-Rotherens, a eu parmi ses autres descendants un pâtissier installé dans la commune proche de Saint-Genix-sur-Guiers.

Vers 1880, cet oncle des deux candidats à la présidentielle, nommé Pierre Labully, a inventé une brioche en forme de sein à laquelle il a laissé son nom : c'est le gâteau Labully, ou
 INFO GENERALE
Vendredi 9 Mars 2012

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uammar Kadhafi : Tué pour l’empêcher de concrétiser le rêve de millions d’Africains dès 2014



L’éliminer avant de perdre le contrôle total de l’Afrique à partir de 2014 voici toute la raison qui guida la France, les États-Unis, la Grande Bretagne et leurs alliés dans leur campagne contre Kadhafi.

Monnaie, fond monétaire africain, banque centrale africaine, télécommunications, transports, États-Unis d’Afrique… Muammar Kadhafi avait ingénieusement tout planifié, se fixant comme délai l’année 2014 pour la création de la banque centrale, le fond monétaire et bien d’autres encore pour affranchir le continent noir après un demi-siècle d’indépendance aux allures de parole suivie d’aucun acte ou de « gouverner sans régner ».

Après avoir émis l’idée en 2000 lors du sommet de l’Organisation de l’Unité Africaine(OUA) à Lomé de concrétiser le rêve de Kwame Nkrumah et de Cheikh Anta Diop, et obtenu la création de l’Union Africaine (UA) quelques années plus tard, le guide libyen pousse le bouchon plus loin.

Satellite africain et Afriqiya : Deux idées concrètes pour l’unité

Mouammar Kadhafi pousse ses pairs à acheter un satellite africain pour que l’Afrique ait son indépendance en matière de communication. Il préfinance cet achat avec plusieurs centaines de millions de dollars américains.

« Il sait dépenser sans compter(…) ainsi pour acheter le satellite africain, il a mis trois cent millions de dollars sur la table » témoigne Moustapha Cissé, ancien ambassadeur du Sénégal en Libye et ex-conseiller spécial de l’ex-président sénégalais Abdiou Diouf en charge du monde arabo-islamique.

Le Guide de la Jamahiriya Libyenne offrit ainsi RASCOM-QAF1, le premier satellite de télécommunications entièrement dédié au continent africain et ses îles. Il a été mis en orbite le 20 décembre 2007 ! Cela a été le premier lancement de l’histoire pour tous les pays africains.

Kadhafi lance également la compagnie de transport aérien, Afriqiyah Airawyas, qui assure la liaison entre les capitales africaines et régions du continent.

La compagnie offrait 4 vols réguliers entre Tripoli et Dakar, Abidjan et le Caire…etc. « Beaucoup de gens utilisaient la ligne Afriqiyah pour aller à Paris. Parce qu’on pouvait faire Dakar,Tripoli, Paris, et retour à 400 mille FCFA (615 Euros) » ajoute le diplomate sénégalais.

« Alors Tripoli était devenue une plateforme de communication entre l’Afrique, le monde arabe et l’Europe ».

La monnaie et la banque centrale africaine en 2014

Khadafi avait proposé la mise en place d’une union monétaire africaine (UMA). Il avait dégagé 30 milliards (dollars) pour la création de l’UMA qui devrait avoir Yaoundé (Cameroun) pour siège. Il avait également prévue la création d’une banque centrale africaine (BCA), qui devrait installer son quartier général à Abuja, la capitale fédérale du Nigeria. Il était question que cette banque africaine commence à émettre une monnaie africaine à partir de 2014.

« Ce qui ne plaît pas aux occidentaux parce que ça nous permettrait de nous passer du CFA et des autres monnaies qui ne font que briser nos économies » s’indigne M.Cissé

Un investisseur africain en Afrique

Khadafi avait une politique africaine très dynamique. Du Sénégal au Tchad, en passant par le la Guinée, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Libéria, le Bénin, le Togo, le Nigéria, le Niger, le Mali, etc. Le guide Libyen a investi des milliards de dollars dans les secteurs agricoles, hydrocarbures, hôtellerie et tourisme, et dans l’équipement.

Au Mali, le plus petit investissement libyen est chiffré à 50 milliards (FCFA) dans l’industrie hôtelière. « Ces investissements libyens dans l’hôtellerie sont estimés à plus de 50 milliards de francs CFA », a déclaré Oumar Balla Touré, directeur général de l’Office malien du tourisme.

Plusieurs autres centaines de milliards ont été investis dans le secteur agricole. Pour les maliens Khadafi est « un homme qui s’est engagé pour la cause africaine » Le Conseil nationale de transition (CNT) est considéré au Mali comme un organe rebelle soutenu par la communauté internationale. Dès le début de la révolte à Benghazi, et l’entrée de l’aviation étrangère, des associations musulmanes et des partis politiques avaient organisé à Bamako des manifestations de soutien à Khadafi, dénonçant une « invasion occidentale « .

Le guide libyen a, par railleurs, dégagé plusieurs milliards de dollars pour la création de banques sahélo-sahariennes au Sénégal, Mali, Niger, Mauritanie, Tchad, etc, et le rachat de plusieurs compagnies occidentales en Afrique pour réduire leur emprise sur les économies du continent.

C’est par exemple le cas de Mobile Oil, du groupe américain Exxon Mobile, qui est devenu Oil Libya dans la majeure partie de la sous-région Ouest africaine. La Guinée-Conakry doit sa toute première chaîne de télévision à Mouammar Khadafi ; il la lui a offerte au nom du peuple Libyen comme présent au « peuple frère » de la Guinée en 1979. Il a également équipé l’armée guinéenne, de l’armement lourde aux uniformes des soldats pendant plusieurs décennies. Sans compter un appui financier gigantesque.

« Et maintenant certains financiers disent que les investissements libyens dans la sous-région dépassent les investissements » fait remarquer l’ambassadeur Moustapha Cissé.

La vie des libyens de l’ère Khadafi :

•1- La Libye est le dernier pays sur la liste des pays endettés ! La dette à 3,3% du PIB ! En France, elle est à 84,5% ! Aux USA à 88,9% ! Au Japon à 225,8% !
•2- L’électricité à usage domestique était gratuite !
•3- L’eau à usage domestique était gratuite !
•4- Le prix d’un litre d’essence était de 0,08 Euros !
•5- Les banques libyennes accordent des prêts sans intérêts !
•6- Les citoyens n’ont pas d’impôts à payer, et la TVA n’existe pas !
•7- Chaque famille libyenne, sur présentation du livret de famille, reçoit une aide de 300 Euros par mois !
•8- Pour chaque étudiant voulant faire ses études à l’étranger, le « gouvernement » attribue une bourse de 1 627,11 Euros par mois !
 TOTO
Jeudi 15 Mars 2012

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Vue pour vous sur internet......

La presse française revient largement sur le possible financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, en 2007, par Mouammar el-Kadhafi.

Cette affaire avait été rendue publique par Saif el-Islam el-Kadhafi, mais son père s’était opposé à la divulgation d’éléments supplémentaires, convaincu qu’il pouvait négocier la paix avec Nicolas Sarkozy et qu’il ne devait donc pas se fâcher définitivement avec le président français.

Cependant, dans les cinq semaines qui précédèrent la chute de Tripoli, le gouvernement libyen décida de réunir des éléments matériels relatifs à cette affaire et à plusieurs autres (la vente d’un avion par Michèle Alliot-Marie en Tunisie, les vacances de collaborateurs de François Fillon en Égypte, le détournement de 400 millions d’euros au profit de Cécilia Sarkozy lors de la libération des infirmières bulgares, et le programme d’expérimentation médicale du docteur François Sarkozy au Tchad et au Soudan).

Concernant le financement de la campagne électorale de 2007, il n’existe pas de preuve écrite reliant les versements à leur destinataire, mais principalement des enregistrements audio réalisés systématiquement lors de chaque réunion.

Selon les protagonistes interrogés par le Réseau Voltaire, le financement de la campagne de 2007 ne se limitait pas à aider Nicolas Sarkozy, mais comportait également un volet destiné à Ségolène Royal. En échange, les deux candidats s’étaient engagés à obtenir un non lieu ou à décréter une amnistie pour Abdallah Senoussi, chef des services de renseignement et beau-frère du « Guide » libyen, condamné en France par contumace dans l’affaire du DC-10 d’UTA.

Les différents éléments collectés par le gouvernement libyen ont été conservés par le très habile Bashir Saleh Bashir, chef de cabinet de Mouammar el-Kadhafi. Arrêté par les Français lors de la prise de Tripoli, il a rapidement été libéré et s’est provisoirement installé dans un grand hôtel parisien. En décembre 2011, il a quitté la France, puis a été nommé conseiller spécial du président du Niger, Mahamadou Issoufou. Il bénéficie désormais d’un statut diplomatique qui lui interdit de répondre à un juge d’instruction français.