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ICIMARTINIQUE.COM
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Notre raison d'être : informer, analyser, révéler, expliquer pour anticiper un réel immédiat et le futur ...
 kiwi97
Lundi 13 Février 2012

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je rajouterais meme avec Arnaud un ex fonctionnaire de l'education nationale Pierre charles payé par l'etat Francais sur lequel il crache ( comme la plupart ) en train de vociferer des conneries au porte voix ... quand aux pseudo historiens qui refont l'histoire sur le nazisme , je me demande ce qu'ils en connaissent , a part avoir lu ca dans des bouquins et venir faire un copier coller sur ce site
 MOUA
Mardi 14 Février 2012

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Maintenant c est particumlièrement claire...le DEPUTE LETCHIMY n est ni repris ni sanctionner....

DONC IL AVAIT PARFAITEMENT RAISON...contre tous les hexagonaux...y compris celui de répudier le ministre de l intérieur et des dom...
Les martiniquais vont encore mieux comprendre maintenant...ca sera particulièrement claire...

Si ca ....c est pas un travail d équipe ...dtes mois ce que c est...un hasard peut être...

arf arf arf......
 fausse épublik
Jeudi 16 Février 2012

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Apparence de dualité et fausse opposition...suite...les faux syndicats d opposition théoriques démasqués...

PARIS (Reuters) - Le rapport Perruchot sur les finances des syndicats reproche aux organisations patronales de puiser dans les fonds des organismes paritaires et aux centrales syndicales de trop vivre aux crochets de l'Etat, selon Le Point.

Le rapport Perruchot du nom du député Nouveau Centre rapporteur de la commission d'enquête, a été enterré en novembre 2011 par les élus, sans autre forme de procès, à quelques mois de l'élection présidentielle.

Mais Le Point a décidé jeudi de le mettre intégralement en ligne.

Selon l'hebdomadaire, le rapport Perruchot "dresse, entre les lignes, un rapport consternant de la vie syndicale en France. A base de combines et de faux-semblants".

Les syndicats patronaux, Medef, CGPME et UPA sont visés pour la part importante des sommes liées à la gestion des organismes paritaires dans leurs ressources.

"Force est de constater que ces financements représentent une part très importante des ressources de certaines organisations d'employeurs, en particulier des confédérations représentatives au niveau national", dit le texte.

Ces financements sont "en principe affectés à des objectifs spécifiques", mais "ils peuvent aussi couvrir des dépenses sans rapport évident", et servir au fonctionnement courant et à la promotion des organisations patronales, ajoute le texte.

Outre les syndicat patronaux et ouvriers, il épingle le syndicat agricole dominant, la FNSEA, qui aurait un art éprouvé pour confondre fonds publics et militantisme.

Le document rappelle que la France compte seulement 8% de syndiqués et huit "grands" syndicats.

c est donc le modèle francais...
 profane des iles
Vendredi 17 Février 2012

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Réécriture de l’histoire, manipulation mémorielle, propagande idéologique... » Philippe Pichot, historien, chef de projet développement du château de Joux dans le Jura (lieu d’incarcération de Toussaint Louverture), et membre du CPMHE (1) ,n’a pas aimé les libertés que le réalisateur Philippe Niang a prises avec la réalité historique dans son téléfilm, Toussaint Louverture.

« Mettre en scène un tel personnage qui, dans l’histoire universelle, surgit comme le déclencheur de la première abolition de l’esclavage, l’initiateur de la première indépendance d’une colonie indigène (Haïti) et la première figure du pouvoir noir, méritait un minimum de sérieux. »

La productrice du film, France Zobda, assure du contraire : « Nous nous sommes adressés à trois historiens, un Haïtien, un Américain et un Français, afin de comparer, recouper et corroborer le fruit des différents travaux de recherche car, nous voulions que notre film soit le plus proche de la réalité. »

Alain Foix, coscénariste et auteur de la biographie Toussaint Louverture chez Folio-biographies, se souvient de la bagarre menée avec la chaîne et les autres scénaristes pour que la réalité soit respectée.

« Oui, admet-il, Philippe Pichot a raison sur tout. Mais il vaut mieux un mauvais téléfilm sur Toussaint Louverture que pas de téléfilm du tout. »

Philippe Niang justifie son parti pris par la nécessité d’édifier des héros historiques : « Toussaint Louverture fait partie de ces icônes, quitte à tordre le cou à la vérité historique, au nom de la vraisemblance idéologique... C’est pourquoi j’ai mis en scène des épisodes qui pour n’être pas tangibles n’en sont pas moins crédibles comme l’assassinat par noyade du père de Toussaint. »

En fait, le père de Toussaint Louverture est mort presque centenaire vers 1804...

Le film montre encore Toussaint et sa famille enchaînés, marchant en plein hiver dans la neige, frappés par des soldats alors qu’ils vont au Fort de Joux.

« La séparation de la famille a eu lieu en juin à Saint-Domingue » , s’étouffe presque Philippe Pichot.

À un autre moment du film, le médecin qui vient visiter Toussaint dans sa geôle est présenté comme un simple maréchal ferrant.

« Seuls l’officier de santé de l’armée ou le médecin local était autorisé à voir Toussaint dans sa cellule ! » , poursuit l’historien qui tient une liste longue comme le bras des contre-vérités dans le film.

« J’aurais à déplorer, note Alain Foix, l’absence de personnages comme l’abbé Grégoire, du club des « Amis des noirs » , qui auraient complètement raccordé cette fiction à la grande histoire de France plutôt que d’en faire une histoire d’Haïti contre la France et parfois même, des Blancs contre les Noirs.

Je me suis longtemps battu pour qu’on ne fasse pas dire à Toussaint s’adressant à Napoléon ce qu’il n’a jamais dit : « Du premier des Noirs au premier des Blancs » . C’est une citation malheureuse de Lamartine. Toussaint n’a jamais opposé les Noirs aux Blancs. C’est hélas ce qui restera. »

Faire un film sur un homme décrit comme un précurseur par Aimé Césaire, un modèle des luttes pour les indépendances et contre l’apartheid ou pour les droits civiques était une nécessité parce que l’image de Toussaint Louverture et son histoire sont totalement absentes dans notre mémoire collective.

« Mais, regrette Alain Foix, la puissance de la télévision imprime les imaginaires et ce qui reste d’une histoire fausse devient le vrai. En cela, je partage l’inquiétude de Philippe Pichot » , même s’il trouve le film utile et plaisant.

 toto
Lundi 20 Février 2012

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Le maitre et frère COLLARD se l^^ache sur le plateau de C'POLITIQUE ....en public et devant la stupeur de son interwiouveuse......IL EXPLIQUE APPARTENIR AU "SYSTEME "MACONNIQUE POLITIQUE Français.....et plus tard d affirmer...tout en étant maçon ...croire en dieu (quel con ! ! !l un excluant lautre....mauvais maçon ou mauvais croyant ???? humanum genus oblige..)

LA MERDASSE POLITIQUE TRUCQUEE FRANCAISE est donc bien une constructition non-libre,opaque, maffieuse et cooptée maçonnique....

IL N Y A DONC BEIN ,come je le précise ici et ailleurs depuis fort longtemps, AUCUN LIBRE CHOIX CONSETIS PAR LE PEUPLE....juste un apparat de droit et de liberté...on comprend mieux les choix à la con et le non droit qui nous entoure en tous domaine......ces lois qui marchent sur la tête ou qui ne sont pas applicables a certains....

DONT ACTE POUR LES POPULATIONS...vous pourrez pas dire je savais pas...

 profane des iles
Mercredi 22 Février 2012

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Et pendant que certains font diversion....

Vers la 3ème guerre mondiale
Entretien accordé par Alain Soral, le 17 février 2012 pour l’hebdomadaire allemand ’’Nazional-Zeitung’’
Publié le : mardi 21 février
Auteur(s) : Alain Soral

Pour Alain Soral, Assad doit être renversé parce qu’il n’accepte pas de se soumettre au Nouvel Ordre Mondial.

National-Zeitung : Monsieur Soral, quelle est votre opinion sur ce qu’il se passe actuellement en Syrie ?

A. Soral : Je me suis rendu en Syrie à 2 reprises et ce que je suis à même de vous dire, c’est ce que répondent à cette question tous les observateurs indépendants qui sont allés sur place pour se faire une opinion personnelle : ce dont nous sommes témoins actuellement en Syrie, c’est d’une tentative de renverser un régime qui ne s’est pas encore soumis au Nouvel Ordre Mondial.

Cette tentative de renversement est avant tout le fait d’agents étrangers – membres d’Al Qaïda armés et dirigés par des turcs et des qataris et encadrés par des commandos d’élite anglais et français, en conjonction avec certains opposants de l’intérieur, qui existent naturellement, avant tout des musulmans sunnites du Nord du pays.

Cette opération de déstabilisation s’inscrit dans le cadre d’un plan concerté visant à réorganiser de façon brutale l’ensemble du monde arabo-musulman selon le modèle libyen. Et si, jusqu’à ce jour, cela ne s’est pas passé comme en Lybie, c’est grâce aux positionnement de la Russie et la Chine sur la question, malgré les pressions qui s’exercent à leur encontre.

« La version occidentale officielle n’est que pure propagande »

National-Zeitung : Si on en croit les grands médias internationaux, les victimes des événements syriens se trouvent uniquement parmi les opposants au régime et seules les forces de sécurité portent la responsabilité dans cette affaire ?

A. Soral : Cette version occidentale officielle n’est rien d’autre que de la propagande de guerre et ne correspond en rien à la réalité puisque, dans les faits, ce sont les groupes armés depuis l’étranger, des mercenaires rémunérés, qui tuent et terrorisent une population majoritairement pro Assad, pour entraîner ce pays relativement calme et florissant dans la guerre civile et pour en faire un nouvel Irak…

National-Zeitung : Les intellectuels et journalistes qui parlent de conspiration contre la Syrie ont donc raison de le faire, même s’ils sont très peu présents dans les médias ?

A. Soral : Demandez-vous plutôt pourquoi les témoins et les observateurs honnêtes sont si peu présents dans nos médias. Cela renvoie à la question : A qui appartiennent presque tous les médias occidentaux et donc à qui obéissent-ils ?

National-Zeitung : Veut-on abattre le régime syrien car il est lié à la Russie et à l’Iran ?

A. Soral : La chute du régime syrien et l’occupation militaire, sans oublier la mise sous contrôle des banques du pays, qui échappent encore à la tutelle du Nouvel Ordre Mondial, tout cela constitue, en effet, une condition préalable de l’attaque de l’Empire contre l’Iran. En dehors des intérêts immédiats d’Israël, la chute de l’Iran participe également du projet américain d’encerclement de la Russie relevée par Poutine tout en servant à freiner la montée en puissance de la Chine par le contrôle les ressources mondiales d’alimentation en énergie

« Les russes et les chinois résistent »

National-Zeitung : Pourquoi cette fois, la Chine et la Russie s’opposent-elles à une intervention ?

A. Soral : Russes et chinois voient très clairement ce que recherchent les Etats-Unis à travers cette réorganisation du Proche-Orient. En protégeant la Syrie, et l’Iran par voie de conséquence, ils ne font rien d’autre que d’opposer une résistance au règne sans partage des Etats-Unis sur le monde.

National-Zeitung : Que peut-on faire pour contribuer au retour de la paix en Syrie ?

A. Soral : Tout d’abord informer les populations occidentales de la réalité de la situation, comme j’essaie de le faire. L’Empire du vol et du mensonge organisés est au bord de la banqueroute financière, économique et morale. Dans une tentative de survivre et de triompher malgré tout, il nous entraine chaque jour un peu plus vers la 3ème guerre mondiale.

 toto
Jeudi 23 Février 2012

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Tien CAMILLE je t ai trouvé un petit article instructif...mais je ne sais si ca vaut...ce sont des historiens qui s expriment...juste animé par le savoir et l histoire retranscrite sincèrement.

L’histoire oubliée des Blancs réduits en esclavage
Les Blancs ont oublié ce dont les Noirs se souviennent
Publié le : jeudi 23 février
)
Source : pvr-zone.ca



Les historiens américains ont étudié tous les aspects de l’esclavage des Africains par les Blancs, mais ont largement ignoré l’esclavage des Blancs par les Nord-Africains.

Christian Slaves, Muslim Masters (Esclaves chrétiens, maîtres musulmans) est un récit soigneusement documenté et clairement écrit de ce que le Prof Davis nomme « l’autre esclavage », qui s’épanouit durant approximativement la même période que le trafic transatlantique, et qui dévasta des centaines de communautés côtières européennes.

Dans la pensée des Blancs d’aujourd’hui, l’esclavage ne joue pas du tout le rôle central qu’il joue chez les Noirs, mais pas parce qu’il fut un problème de courte durée ou sans importance. L’histoire de l’esclavage méditerranéen est, en fait, aussi sombre que les descriptions les plus tendancieuses de l’esclavage américain.

Un commerce en gros

La côte barbaresque, qui s’étend du Maroc à la Libye moderne, fut le foyer d’une industrie florissante de rapt d’êtres humains depuis 1500 jusqu’à 1800 environs. Les grandes capitales esclavagistes étaient Salé au Maroc, Tunis, Alger et Tripoli, et pendant la plus grande partie de cette période les marines européennes étaient trop faibles pour opposer plus qu’une résistance symbolique.

Le trafic transatlantique des Noirs était strictement commercial, mais pour les Arabes, les souvenirs des Croisades et la fureur d’avoir été expulsés d’Espagne en 1492 semblent avoir motivé une campagne de rapt de chrétiens, ressemblant presque à un djihad.

« Ce fut peut-être cet aiguillon de la vengeance, opposé aux marchandages affables de la place du marché, qui rendit les esclavagistes islamiques tellement plus agressifs et initialement (pourrait-on dire) plus prospères dans leur travail que leurs homologues chrétiens », écrit le Prof. Davis.
 ONONDELHISTOIRE
Jeudi 23 Février 2012

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DE L HISTOIRE RIEN QUE DE L HISTOIRE QUE DE L HISTOIRE...mes frères...

TOUSSAIN LOUVERTURE FRANC MACON OU PAS ?????

C'est un sujet passionnant et sensible, qui recoupe une partie importante de l'histoire de la franc-maçonnerie de l'époque : histoire du rite écossais ancien et accepté, de son évolution et de ses pérégrinations - histoire du rapport entre franc-maçonnerie et esclavage - histoire de la franc-maçonnerie noire américaine de Prince Hall. Tous ces sujets illustrent, autour de l'épopée haïtienne et de Louverture, les paradoxes de la maçonnerie de l'époque : Une maçonnerie de classe largement acquise à la cause de l'esclavage avec, durant l'insurrection, selon Georges Odo - “La franc-maçonnerie dans les colonies: 1738-1960” (Editions Maçonniques de France, 2001, p.35)- des temples maçonniques qui furent incendiés en tant qu' “un des symboles de la domination des Grands Blancs”. Et une maçonnerie abolitionniste qui s'opère en Europe derrière les activistes de la société des amis des Noirs de l'Abbé Grégoire (qui n'était pas quant à lui franc-maçon semble-t-il) et qui émerge aux USA lors de la création de la maçonnerie de Prince Hall. Les premiers leaders de la Prince Hall Masonry furent de grands exégètes de Toussaint Louverture et admirateur de la première république haïtienne, appelant de leurs voeux une prise de conscience similaire aux USA. Peut être pouvons nous y voir les racines de la polémique sur l'appartenance de Toussaint Louverture à la maçonnerie : la maçonnerie de Prince Hall, dans une perspective de légitimité historique et militante, a toujours gratifié de nombreuses grandes figures de la cause abolitionniste ou des droits civiques d'un titre honorifique plus ou moins officiel de "Mason at sigth", parfois du vivant des intéressés (WEB DuBois, Booker T. Washington, Paul Robeson) mais aussi post-mortem comme dans le cas de Martin Luther King, qui fait souvent partie improprement des grandes personnalités maçonniques dans les listes de FM célèbres, à cause de cette pratique. N'y a t'il pas un phénomène similaire pour Toussaint Louverture? même si il est exact que toute personnalité importante des Antilles coloniales de l'époque ne pouvait échapper à la présence et l'influence maçonnique sur ce territoire, Jacques de Cauna a parfaitement raison sur ce sujet.