Seconde partie de l'article :VACABONAGERIE : Que deviennent les actifs incorporels de l’AFPA les dessous d’un scandale d’État , ou personne ne dit yac ! Article 1/2
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Vous voyez, nous avions l’assurance, des patrons voyous et bien maintenant nous savons que les politiques sont capables des mêmes types de vagabonderies.
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MAKACLA vous en dira plus pour l’heure, nous cherchons toujours à comprendre pourquoi l’administrateur judiciaire, pourtant un super expert, honnête, n’a pas remis en cause le fameux transfert des actifs immobiliers de l’AFPA à la région MARIE JEANNE devenue CTM donc récupérant pour rien plusieurs millions de patrimoine. Il a sans doute préféré éviter un scandale d’État.
Ce point est important car si la coquille n’avait pas été vidée un vrai plan de restructuration aurait été mis en place et le personnel n’aurait pas été traité par-dessous la jambe les stagiaires aussi auraient bénéficié de plus d’égard...
En fait la réponse, nous la connaissons, elle est simple. Bef béké en can béké, mai mi vacabonagerie ! Yo ka mété moun lajol pou moins ki sa !
Le pauvre président de l’AFPA ne semble toujours pas comprendre ce qui lui est arrivé, il continue de parler la langue de bois au risque lui de devoir porter à jamais cette liquidation judiciaire dans son passif alors qu’il n’y est pas pour grande chose.
Cela lui fera une expérience pour la prochaine fois, il arrêtera de croire dans les gens qui font de la politique.
Lisez son ITW sur France Antilles, on a envie de pleurer pour lui !
Son ITW
Peut-on dire que ces « faiblesses » sont la suite de responsabilités politiques partagées ?
Si je dois faire un diagnostic, je parlerai de l'environnement économique, fragile et très limité de la Martinique due à notre insularité. J'évoquerais aussi la question de la gouvernance des organismes paritaires comme l'AFPA dirigée par des sensibilités économiques, politiques ou sociales différentes. Dès lors, cet établissement doit se donner les moyens avec beaucoup de visibilité de pouvoir anticiper sur les nouveaux modes de management et l'anticipation sur les décisions. Ce qui n'a pas été fait depuis très longtemps.
Un exemple, il a fallu que j'arrive à la présidence de l'AFPA pour la doter d'un outil indispensable : le contrôle de gestion. Cette entité est d'autant plus importante qu'elle permettait le suivi de l'environnement de la formation.
L'autre faiblesse c'est qu'il y avait une lourdeur dans la prise des décisions, alors que nous vivons dans un monde où il faut anticiper très vite.
Elle manquait d'argent aussi depuis quelques années ?
C'est pour cela que l'AFPA a dû aller sur le secteur marchand pour pouvoir compléter le financement de ses offres de formations. Car ses 90% de ses subventions provenaient de l'ex-Conseil régional. Il se trouve que la rémunération des formateurs et le personnel administratif représentaient 80% de son budget. L'AFPA avait donc besoin de 14 millions d'euros environ pour pouvoir fonctionner normalement avec un excédent.
Il se trouve que pour l'exercice 2015, elle n'avait reçu que 6 millions qui ne couvraient pas sa masse salariale estimée à 9 millions d'euros. C'est l'origine de la liquidation judiciaire.
Vous voyez, nous avions l’assurance, des patrons voyous et bien maintenant nous savons que les politiques sont capables des mêmes types de vagabonderies.
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MAKACLA vous en dira plus pour l’heure, nous cherchons toujours à comprendre pourquoi l’administrateur judiciaire, pourtant un super expert, honnête, n’a pas remis en cause le fameux transfert des actifs immobiliers de l’AFPA à la région MARIE JEANNE devenue CTM donc récupérant pour rien plusieurs millions de patrimoine. Il a sans doute préféré éviter un scandale d’État.
Ce point est important car si la coquille n’avait pas été vidée un vrai plan de restructuration aurait été mis en place et le personnel n’aurait pas été traité par-dessous la jambe les stagiaires aussi auraient bénéficié de plus d’égard...
En fait la réponse, nous la connaissons, elle est simple. Bef béké en can béké, mai mi vacabonagerie ! Yo ka mété moun lajol pou moins ki sa !
Le pauvre président de l’AFPA ne semble toujours pas comprendre ce qui lui est arrivé, il continue de parler la langue de bois au risque lui de devoir porter à jamais cette liquidation judiciaire dans son passif alors qu’il n’y est pas pour grande chose.
Cela lui fera une expérience pour la prochaine fois, il arrêtera de croire dans les gens qui font de la politique.
Lisez son ITW sur France Antilles, on a envie de pleurer pour lui !
Son ITW
Peut-on dire que ces « faiblesses » sont la suite de responsabilités politiques partagées ?
Si je dois faire un diagnostic, je parlerai de l'environnement économique, fragile et très limité de la Martinique due à notre insularité. J'évoquerais aussi la question de la gouvernance des organismes paritaires comme l'AFPA dirigée par des sensibilités économiques, politiques ou sociales différentes. Dès lors, cet établissement doit se donner les moyens avec beaucoup de visibilité de pouvoir anticiper sur les nouveaux modes de management et l'anticipation sur les décisions. Ce qui n'a pas été fait depuis très longtemps.
Un exemple, il a fallu que j'arrive à la présidence de l'AFPA pour la doter d'un outil indispensable : le contrôle de gestion. Cette entité est d'autant plus importante qu'elle permettait le suivi de l'environnement de la formation.
L'autre faiblesse c'est qu'il y avait une lourdeur dans la prise des décisions, alors que nous vivons dans un monde où il faut anticiper très vite.
Elle manquait d'argent aussi depuis quelques années ?
C'est pour cela que l'AFPA a dû aller sur le secteur marchand pour pouvoir compléter le financement de ses offres de formations. Car ses 90% de ses subventions provenaient de l'ex-Conseil régional. Il se trouve que la rémunération des formateurs et le personnel administratif représentaient 80% de son budget. L'AFPA avait donc besoin de 14 millions d'euros environ pour pouvoir fonctionner normalement avec un excédent.
Il se trouve que pour l'exercice 2015, elle n'avait reçu que 6 millions qui ne couvraient pas sa masse salariale estimée à 9 millions d'euros. C'est l'origine de la liquidation judiciaire.