Certes ! C’est l’usage dans toute administration publique de sanctionner toutes dérives et turpitudes reconnues et condamnées par les tribunaux, mais encore faut-il avoir le courage de l’appliquer, surtout quand on risque de subir les criailleries d’une opposition hargneuse et systématique dans un jeu politique douteux ; celles non moins stridentes de la bien- pensante petite- bourgeoisie..Et vous l’avez fait et c’est très bien ainsi.
Que les Enlisés et enkayés du RDMIM, embourbés dans les sables mouvants, tentent de monter aux créneaux, grenouillent en chœur, se mettent à croasser à tue-tête, à vous déchirer le tympan en dénonçant une prétendue « chasse aux sorcières » ( l’étrange abus des mots qui verse une louche de plus sur le cas de Frédérique FANON ), rien de nouveau sous notre soleil « vénérien », rien qui surprenne le citoyen avisé qui connaît ces petits esprits et leur capacité à se rapetisser encore pour mieux pénétrer dans la sphère vitale de la personne autour de laquelle ils gravitent.
Mais que Claude LISE ait accédé à la présidence du Conseil Général amenant dans ses bagages Mme Fanon, que Alfred MARIE-JEANNE arrivé au Conseil Régional se soit passé des services du Directeur Général Monsieur Christian VITALIEN et bien d’autres simplement coupables d’avoir été les collaborateurs du précédent Président, Camille DARSIERES ; qui s’est élevé ? Qui a protesté ? Qui s’est indigné ? Personne ! Ils ont accepté, encaissé sans broncher, ils ont bassement toléré.
Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui hurlent à la mort, qui se regroupent en meute autour de leur mâle dominant, dans le vil espoir de voir de son facies trituré, torturé « naître un sourire enfin qui ne soit pas sinistre ».
Les sénatoriales de septembre prochain obligent. « Vous hommes de bonne conscience qui n’avez jamais assassiné personne, qui n’avez jamais fait de mauvais coup dont les nuits ne sont hantées de nul fantôme, inutile de durcir sur notre passage vos faces de tréponème pâle. Inutile d’apitoyer sur nous l’indécence de vos sourires de kystes suppurants. Fiers petits hypocrites filant doux esclaves et fils d’esclaves
Condamnés à vivre en tête à tête avec la stupidité empuantie et sans autre chose qui vous tienne chaud au sang, que de regarder ciller jusqu’à mi-verre votre rhum antillais. Ames de morue ! Accommodez-vous de moi, je m’accommode pas de vous » aurait dit Aimé CESAIRE (Et les chiens se taisaient).« Les chants désespérés sont les chants les plus beaux » a dit le poète. Ici, c’est éructations, râles et hoquets de la désespérance qui dominent en signes avant-coureurs de la fin d’un système pourrissant, vermoulu qui s’effrite et dégringole à vue-œil, lentement mais sûrement ». Dimen, pli ta, pli tris, la pli bel anba la baye.
Que les Enlisés et enkayés du RDMIM, embourbés dans les sables mouvants, tentent de monter aux créneaux, grenouillent en chœur, se mettent à croasser à tue-tête, à vous déchirer le tympan en dénonçant une prétendue « chasse aux sorcières » ( l’étrange abus des mots qui verse une louche de plus sur le cas de Frédérique FANON ), rien de nouveau sous notre soleil « vénérien », rien qui surprenne le citoyen avisé qui connaît ces petits esprits et leur capacité à se rapetisser encore pour mieux pénétrer dans la sphère vitale de la personne autour de laquelle ils gravitent.
Mais que Claude LISE ait accédé à la présidence du Conseil Général amenant dans ses bagages Mme Fanon, que Alfred MARIE-JEANNE arrivé au Conseil Régional se soit passé des services du Directeur Général Monsieur Christian VITALIEN et bien d’autres simplement coupables d’avoir été les collaborateurs du précédent Président, Camille DARSIERES ; qui s’est élevé ? Qui a protesté ? Qui s’est indigné ? Personne ! Ils ont accepté, encaissé sans broncher, ils ont bassement toléré.
Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui hurlent à la mort, qui se regroupent en meute autour de leur mâle dominant, dans le vil espoir de voir de son facies trituré, torturé « naître un sourire enfin qui ne soit pas sinistre ».
Les sénatoriales de septembre prochain obligent. « Vous hommes de bonne conscience qui n’avez jamais assassiné personne, qui n’avez jamais fait de mauvais coup dont les nuits ne sont hantées de nul fantôme, inutile de durcir sur notre passage vos faces de tréponème pâle. Inutile d’apitoyer sur nous l’indécence de vos sourires de kystes suppurants. Fiers petits hypocrites filant doux esclaves et fils d’esclaves
Condamnés à vivre en tête à tête avec la stupidité empuantie et sans autre chose qui vous tienne chaud au sang, que de regarder ciller jusqu’à mi-verre votre rhum antillais. Ames de morue ! Accommodez-vous de moi, je m’accommode pas de vous » aurait dit Aimé CESAIRE (Et les chiens se taisaient).« Les chants désespérés sont les chants les plus beaux » a dit le poète. Ici, c’est éructations, râles et hoquets de la désespérance qui dominent en signes avant-coureurs de la fin d’un système pourrissant, vermoulu qui s’effrite et dégringole à vue-œil, lentement mais sûrement ». Dimen, pli ta, pli tris, la pli bel anba la baye.