Mais loin d’adhérer aux thèmes alors à la mode des paroles vulgaires ou de l’appel à la violence, il reste fidèle aux préceptes que lui ont enseignés ses parents. Il pratique le chant et préfère se tourner vers des sujets plus culturels.
Sizzla fit ses premières armes en tant que deejay au sein du sound-system Caveman Hi-Fi. C’est en 1995 que sa carrière va véritablement commencer après sa rencontre avec Bobby Digital. Ce dernier le fait poser sur une série de riddims qui vont permettre à l’artiste de se faire connaître. Parallèlement, il rejoint l’ordre rasta des bobo-dreads.
La deuxième rencontre qui va faire de Sizzla l’artiste numéro 1 en Jamaique est incontestablement celle qu’il fait avec Fatis Burrel. Le patron d’Xterminator va travailler en symbiose totale avec Sizzla et va produire les 2 premiers albums « Burnin Up » et « Praise Ye Jah ». Suivra "Black Woman & Child" qui reste comme un des albums incontournables dans l’histoire du reggae & du dancehall. Nommé aux Mobo Awards en 1998, il ne s’arrête plus de sortir des titres et des albums parmi lesquels « Kalonji » ou « Royal Son of Ethiopia ».
Si ses tournées sont de véritables succès, elles sont bien courtes et rares. De plus l’artiste entretien de très mauvais rapport avec l’industrie du disque et les médias. Les plus folles rumeurs naîtront de sa quasi-absence d’interviews et de reportages.
Si certains de ses propos ont été perçus comme racistes, Sizzla est revenu dessus et a tenté de préciser ses pensées. Quoi qu'il en soit, l’artiste continue à travailler et sort environ 4 ou 5 albums par an.
Citons « Bobo Asanthi », « Taking Over » ou encore « Da Real Thing » où il retrouve Bobby Digital et signe des tubes d’anthologie comme « Solid As A Rock », « Just One Of Those Days » et « Thank U Mama ».
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Sizzla fit ses premières armes en tant que deejay au sein du sound-system Caveman Hi-Fi. C’est en 1995 que sa carrière va véritablement commencer après sa rencontre avec Bobby Digital. Ce dernier le fait poser sur une série de riddims qui vont permettre à l’artiste de se faire connaître. Parallèlement, il rejoint l’ordre rasta des bobo-dreads.
La deuxième rencontre qui va faire de Sizzla l’artiste numéro 1 en Jamaique est incontestablement celle qu’il fait avec Fatis Burrel. Le patron d’Xterminator va travailler en symbiose totale avec Sizzla et va produire les 2 premiers albums « Burnin Up » et « Praise Ye Jah ». Suivra "Black Woman & Child" qui reste comme un des albums incontournables dans l’histoire du reggae & du dancehall. Nommé aux Mobo Awards en 1998, il ne s’arrête plus de sortir des titres et des albums parmi lesquels « Kalonji » ou « Royal Son of Ethiopia ».
Si ses tournées sont de véritables succès, elles sont bien courtes et rares. De plus l’artiste entretien de très mauvais rapport avec l’industrie du disque et les médias. Les plus folles rumeurs naîtront de sa quasi-absence d’interviews et de reportages.
Si certains de ses propos ont été perçus comme racistes, Sizzla est revenu dessus et a tenté de préciser ses pensées. Quoi qu'il en soit, l’artiste continue à travailler et sort environ 4 ou 5 albums par an.
Citons « Bobo Asanthi », « Taking Over » ou encore « Da Real Thing » où il retrouve Bobby Digital et signe des tubes d’anthologie comme « Solid As A Rock », « Just One Of Those Days » et « Thank U Mama ».
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