Le nouveau mode de scrutin retenu par Nicolas Sarkozy a retenu pour la réforme des collectivités locales, qui déclenche les foudres de la gauche tout en inquiétant ceux qui, à droite, ne veulent pas entendre parler de proportionnelle, est présentée ce mercredi en Conseil des ministres.
Le président Nicolas Sarkozy a défendu mardi les principes de sa des collectivités territoriales, qui va de la création des conseillers territoriaux à la suppression de la taxe professionnelle, face à la méfiance voire l'hostilité des élus locaux de droite comme de gauche.
Le PS a aussitôt réagi en demandant, par la voix de l'ancien Premier ministre Laurent Fabius, que ce projet soit soumis à référendum, dénonçant un texte reposant sur des bases "inacceptables".
Dans son discours, prononcé à Saint-Dizier (Haute-Marne), le chef de l'Etat a défendu la décentralisation qui, "comme la démocratie est devenue un bien commun", mais a longuement justifié la nécessité d'en changer le visage pour des raisons de simplification et d'économies, à l'heure où les déficits publics explosent.
"Nos collectivités territoriales traversent une crise de croissance (...) On a laissé se créer un écheveau de complexités qu'il est aujourd'hui très difficile de dénouer", a plaidé Nicolas Sarkozy.
Et surtout, il a jugé que les collectivités locales ne pouvaient plus "continuer à créer plus d'emplois que l'Etat n'en supprime", dénonçant ainsi la création de 36.000 emplois de fonctionnaires locaux en 2008
Le Ouélélé politique va donc commencer et la chasse aux mandats politiques ouvertes.
Le président Nicolas Sarkozy a défendu mardi les principes de sa des collectivités territoriales, qui va de la création des conseillers territoriaux à la suppression de la taxe professionnelle, face à la méfiance voire l'hostilité des élus locaux de droite comme de gauche.
Le PS a aussitôt réagi en demandant, par la voix de l'ancien Premier ministre Laurent Fabius, que ce projet soit soumis à référendum, dénonçant un texte reposant sur des bases "inacceptables".
Dans son discours, prononcé à Saint-Dizier (Haute-Marne), le chef de l'Etat a défendu la décentralisation qui, "comme la démocratie est devenue un bien commun", mais a longuement justifié la nécessité d'en changer le visage pour des raisons de simplification et d'économies, à l'heure où les déficits publics explosent.
"Nos collectivités territoriales traversent une crise de croissance (...) On a laissé se créer un écheveau de complexités qu'il est aujourd'hui très difficile de dénouer", a plaidé Nicolas Sarkozy.
Et surtout, il a jugé que les collectivités locales ne pouvaient plus "continuer à créer plus d'emplois que l'Etat n'en supprime", dénonçant ainsi la création de 36.000 emplois de fonctionnaires locaux en 2008
Le Ouélélé politique va donc commencer et la chasse aux mandats politiques ouvertes.