La Martinique ne pose pas pas de problème selon le président de la République.
Rien de très spécial, compte tenu de sa déclaration chez au Lamentin, le 25 juin dernier.
Le petit magyar avait, à haute et intelligible voix dit : "Je suis venu vous annoncer clairement que j'ai l'intention de consulter les Martiniquais sur l'évolution institutionnelle de leur territoire comme la Constitution m'y autorise", et bien évidemment, le ptit coq game ajoutait : "Les Martiniquais seront libres de choisir en leur âme et conscience le chemin qu'ils souhaitent emprunter," mais en bon maître du domaine colonial , il lançait un avertissement à Alfred Marie-Jeanne "tant que je serai président de la République la question de l'indépendance de la Martinique, c'est à dire de sa séparation d'avec la France ne sera pas posée", a-t-il toutefois dit.
Autre dit, sur la question de l’indépendance la seule négociation c’est la guerre.
Ceux qui étaient présents à cette rencontre, tirent une dramatique conclusion en retenant que le président et son entourage ne font pas confiance au néo- autonomiste qu’est devenu Alfred Marie-Jeanne,alors que les derniers contacts paraissaient marqués du sceau de la confiance.
La stratégie et la tactique du MIM font l’objet de nombreux rapports des RG, et aussi de notes du Préfet Ange Mancini, sans pour autant rassurer la cellule de Matignon et encore moins le secrétariat général de la présidence.
La grosse interrogation est ce que veut vraiment le président du Conseil Régional, que l’on perçoit –et c’est vrai – comme un véritable stratège, capable de demander un report de l’élection régionale, pour mieux mobiliser son électorat.
Car un refus de report apparaissant comme une sanction contre lui le principal demandeur.
Le report est un véritable casse-tête pour les conseillers du président.
Sur la question de la consultation, la décision oscille entre le 13 décembre ou la mi-juin 2010 et avant d’arrêter la question les élus lourds seront consultés. Il s’agirait des Parlementaires, et des présidents de communautés de communes.
Et tout cela orchestré par l’annonce de Sarkozy :"Le débat dont nous parlons n'est pas celui de l'indépendance (...) le débat qui est ouvert est celui du juste degré d'autonomie, celui de la responsabilité, celui de l'équation unité-singularité".
En marge de ses manoeuvres la fifille de Lucette consulte en douce,car elle ne va pas se laisser faire et se contenter d'être une poupée noire de plus aux mains de Sarko.
Nous échappons tranquillement aux cyclones, mais la Tornade Sarkozy et une rentrée sociale mouvementée est la prévision météo la plus sûre pour les jours qui viennent.
D’ailleurs, tous les partis politiques, mouvements politiques et organisations syndicales se mettent en tenue de combat…
Nous sommes donc bien parti pour un septembre rouge.
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Rien de très spécial, compte tenu de sa déclaration chez au Lamentin, le 25 juin dernier.
Le petit magyar avait, à haute et intelligible voix dit : "Je suis venu vous annoncer clairement que j'ai l'intention de consulter les Martiniquais sur l'évolution institutionnelle de leur territoire comme la Constitution m'y autorise", et bien évidemment, le ptit coq game ajoutait : "Les Martiniquais seront libres de choisir en leur âme et conscience le chemin qu'ils souhaitent emprunter," mais en bon maître du domaine colonial , il lançait un avertissement à Alfred Marie-Jeanne "tant que je serai président de la République la question de l'indépendance de la Martinique, c'est à dire de sa séparation d'avec la France ne sera pas posée", a-t-il toutefois dit.
Autre dit, sur la question de l’indépendance la seule négociation c’est la guerre.
Ceux qui étaient présents à cette rencontre, tirent une dramatique conclusion en retenant que le président et son entourage ne font pas confiance au néo- autonomiste qu’est devenu Alfred Marie-Jeanne,alors que les derniers contacts paraissaient marqués du sceau de la confiance.
La stratégie et la tactique du MIM font l’objet de nombreux rapports des RG, et aussi de notes du Préfet Ange Mancini, sans pour autant rassurer la cellule de Matignon et encore moins le secrétariat général de la présidence.
La grosse interrogation est ce que veut vraiment le président du Conseil Régional, que l’on perçoit –et c’est vrai – comme un véritable stratège, capable de demander un report de l’élection régionale, pour mieux mobiliser son électorat.
Car un refus de report apparaissant comme une sanction contre lui le principal demandeur.
Le report est un véritable casse-tête pour les conseillers du président.
Sur la question de la consultation, la décision oscille entre le 13 décembre ou la mi-juin 2010 et avant d’arrêter la question les élus lourds seront consultés. Il s’agirait des Parlementaires, et des présidents de communautés de communes.
Et tout cela orchestré par l’annonce de Sarkozy :"Le débat dont nous parlons n'est pas celui de l'indépendance (...) le débat qui est ouvert est celui du juste degré d'autonomie, celui de la responsabilité, celui de l'équation unité-singularité".
En marge de ses manoeuvres la fifille de Lucette consulte en douce,car elle ne va pas se laisser faire et se contenter d'être une poupée noire de plus aux mains de Sarko.
Nous échappons tranquillement aux cyclones, mais la Tornade Sarkozy et une rentrée sociale mouvementée est la prévision météo la plus sûre pour les jours qui viennent.
D’ailleurs, tous les partis politiques, mouvements politiques et organisations syndicales se mettent en tenue de combat…
Nous sommes donc bien parti pour un septembre rouge.
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