Seule la charge « d’entretenir et d’aménager « la rivière, sous le contrôle de l’Etat, a été transférée à la CTM, à titre expérimental, pendant une période de 6 ans (du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2020).
A cette occasion, j’ai pu rétablir la vérité sur l’action menée par la CTM, depuis le 6 janvier 2018, suite à la catastrophe naturelle qui frappe leur commune.
J’ai prouvé, pièces à l’appui, qu’on leur avait menti en prétendant qu’il n’y avait pas eu de réponse aux lettres que le maire avait adressées au Président du Conseil Exécutif de la CTM (Voir copie du courrier ci-dessous).
Contrairement, à ce qu’a affirmé le Maire sur les ondes de RCI, le dimanche 25 février dernier, j’ai prouvé qu’il n’y a jamais eu de transfert de propriété de la rivière à la CTM.
Les termes de la Convention, signée le préfet et l’ex-président de région, en janvier 2015, précisent que la rivière reste la propriété de l’Etat !
Seule la charge « d’entretenir et d’aménager « la rivière, sous le contrôle de l’Etat, a été transférer à la CTM, à titre expérimental, pendant une période de 6 ans (du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2020).
Nous avons entendu, sur les ondes que le Maire réclame, à cors et cris, la réunion d’un comité de pilotage qui aurait été créé par convention signée entre l’ex-président de région et lui, le 19 décembre 2014 !
Ce Comité était censé coordonner les interventions des deux « partenaires » concernant la rivière !
Au cours de la rencontre, de ce jour, il nous a, même, appris qu’il existait un document conventionnel qui le désignait pour présider ce comité de pilotage !
Il a été incapable de nous expliquer pourquoi plus de 26 mois après sa création, il n’avait jamais convoqué une réunion de ce dit comite, ni en 2014, ni en 2015, ni en 2016, ni en 2017 !!!
Le comble aujourd’hui, devant les média, il tente de rendre le Président du Conseil Exécutif, responsable du non fonctionnement de ce dit comité de pilotage !
Au cours de la rencontre qui a duré plus de 3 heures, rapports à l’appui, j’ai pu répondre aux questions et exposer à la délégation toutes les actions entreprises par la CTM, pour participer à la mise en sécurité de la population préchotine face à la catastrophe naturelle qui la menace, de façon récurrente, depuis le début de janvier 2018.
A titre d’exemple :
- L’achèvement et la livraison du nouveau pont, inauguré, le 21 décembre dernier
- Les travaux de curage menés, depuis le 9 janvier 2018, dans le lit de la rivière, par 3 entreprises martiniquaises, pour un coût évalué à ce jour à 143.000 €.
J’ai souligné que le dédommagement, prévu par l’Etat depuis 2015 mais non versé à ce jour, ne s’élève qu’à 14.073 € par an !
Enfin, j’ai fait savoir à la délégation que les travaux de curage avaient repris avec un renfort d’engins depuis ce matin, alors qu’elle était en route pour venir à l’hôtel de la CTM ! (*)
*(à l’aide de photos et vidéos que j’ai reçues pendant la tenue de l’entretien),
Le 2 mars 2018
Daniel MARIE-SAINTE
Conseiller Exécutif de la CTM
En charge des infrastructures
J’ai prouvé, pièces à l’appui, qu’on leur avait menti en prétendant qu’il n’y avait pas eu de réponse aux lettres que le maire avait adressées au Président du Conseil Exécutif de la CTM (Voir copie du courrier ci-dessous).
Contrairement, à ce qu’a affirmé le Maire sur les ondes de RCI, le dimanche 25 février dernier, j’ai prouvé qu’il n’y a jamais eu de transfert de propriété de la rivière à la CTM.
Les termes de la Convention, signée le préfet et l’ex-président de région, en janvier 2015, précisent que la rivière reste la propriété de l’Etat !
Seule la charge « d’entretenir et d’aménager « la rivière, sous le contrôle de l’Etat, a été transférer à la CTM, à titre expérimental, pendant une période de 6 ans (du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2020).
Nous avons entendu, sur les ondes que le Maire réclame, à cors et cris, la réunion d’un comité de pilotage qui aurait été créé par convention signée entre l’ex-président de région et lui, le 19 décembre 2014 !
Ce Comité était censé coordonner les interventions des deux « partenaires » concernant la rivière !
Au cours de la rencontre, de ce jour, il nous a, même, appris qu’il existait un document conventionnel qui le désignait pour présider ce comité de pilotage !
Il a été incapable de nous expliquer pourquoi plus de 26 mois après sa création, il n’avait jamais convoqué une réunion de ce dit comite, ni en 2014, ni en 2015, ni en 2016, ni en 2017 !!!
Le comble aujourd’hui, devant les média, il tente de rendre le Président du Conseil Exécutif, responsable du non fonctionnement de ce dit comité de pilotage !
Au cours de la rencontre qui a duré plus de 3 heures, rapports à l’appui, j’ai pu répondre aux questions et exposer à la délégation toutes les actions entreprises par la CTM, pour participer à la mise en sécurité de la population préchotine face à la catastrophe naturelle qui la menace, de façon récurrente, depuis le début de janvier 2018.
A titre d’exemple :
- L’achèvement et la livraison du nouveau pont, inauguré, le 21 décembre dernier
- Les travaux de curage menés, depuis le 9 janvier 2018, dans le lit de la rivière, par 3 entreprises martiniquaises, pour un coût évalué à ce jour à 143.000 €.
J’ai souligné que le dédommagement, prévu par l’Etat depuis 2015 mais non versé à ce jour, ne s’élève qu’à 14.073 € par an !
Enfin, j’ai fait savoir à la délégation que les travaux de curage avaient repris avec un renfort d’engins depuis ce matin, alors qu’elle était en route pour venir à l’hôtel de la CTM ! (*)
*(à l’aide de photos et vidéos que j’ai reçues pendant la tenue de l’entretien),
Le 2 mars 2018
Daniel MARIE-SAINTE
Conseiller Exécutif de la CTM
En charge des infrastructures