QUE 2022 SOIT MEILLEURE POUR LE PLUS GRAND NOMBRE !
Au-delà des chiffres manipulés dans tous les sens, 2021 a vu la mort d'êtres qui nous étaient chers, à titre personnel, familial ou amical et aussi de facon plus collective lorsqu'il s'est agi de combattants et de combattantes de la cause du peuple, avec leurs défauts et leurs grandes qualités d'altruisme, de solidarité, de dévouement.
Nous vivons un moment difficile qui commande un effort réel de lucidité, de courage, de détermination et en même temps d'humilité, d'empathie, d'ouverture à l'autre qui pense autrement. Il y aura toujours une limite à la tolérance. Nous n'aurons jamais de complaisance pour le fascisme, l’extrême-droite. Notre rejet restera instinctif pour tout ce qui sort de cette sphère, qui a produit et continue de produire tant de crimes contre l'humanité.
Il nous parait normal, et à vrai dire inévitable, de commencer l'année nouvelle par une pensée pour celles et ceux que nous pensions précieux et que nous ne verrons plus, et dont on mesure bien déjà de façon très concrète le poids de l'absence.
Un ami nous écrit : pourquoi refuser la mort puisque c'est le dernier acte de la vie. Qu'il vive longtemps, lui-même, sera notre première réponse. Nous préférons tous les actes à ce dernier, et ne voudrons jamais ressembler à ces fascistes espagnols allant au combat contre les républicains avec ce slogan sinistre « vive la mort ». Il en est un qui vient de clore ses « voeux aux Français de l'hexagone comme des outremers » en se déclarant « du côté de la vie ». Ce n'est qu'un hommage du vice à la vertu, c'est-à-dire une hypocrisie de plus dans sa bouche. Pendant qu'il parle, il ferme des lits d’hôpitaux. Il veut jeter à la rue des milliers de salarié-e-s qui ne croient pas a ses solutions. Il soutient un système qui produit et reproduit la misère à un pôle de la société et conduit la race humaine chaque jour plus près de la catastrophe.
On a dit, on redit et on répète : bonne année ! bonne santé ! Ces mots, d'une grande mais évidente banalité prennent en 2022 un relief singulier. Ce n'est plus un vœu. C'est un slogan ! Une bannière ! Tâchons de lui être fidèle, ce qui est le contraire de la passivité, de l'indifférence aux malheurs de la majorité
Battons-nous pour une année meilleure que celle que nous avons traversée. Mettons-y l'énergie nécessaire ! Ajoutons-y le maximum possible de joie et de dignité humaine.
De notre petit territoire colonisé défendons le droit à la vie, quoiqu'il en coûte
Nous vivons un moment difficile qui commande un effort réel de lucidité, de courage, de détermination et en même temps d'humilité, d'empathie, d'ouverture à l'autre qui pense autrement. Il y aura toujours une limite à la tolérance. Nous n'aurons jamais de complaisance pour le fascisme, l’extrême-droite. Notre rejet restera instinctif pour tout ce qui sort de cette sphère, qui a produit et continue de produire tant de crimes contre l'humanité.
Il nous parait normal, et à vrai dire inévitable, de commencer l'année nouvelle par une pensée pour celles et ceux que nous pensions précieux et que nous ne verrons plus, et dont on mesure bien déjà de façon très concrète le poids de l'absence.
Un ami nous écrit : pourquoi refuser la mort puisque c'est le dernier acte de la vie. Qu'il vive longtemps, lui-même, sera notre première réponse. Nous préférons tous les actes à ce dernier, et ne voudrons jamais ressembler à ces fascistes espagnols allant au combat contre les républicains avec ce slogan sinistre « vive la mort ». Il en est un qui vient de clore ses « voeux aux Français de l'hexagone comme des outremers » en se déclarant « du côté de la vie ». Ce n'est qu'un hommage du vice à la vertu, c'est-à-dire une hypocrisie de plus dans sa bouche. Pendant qu'il parle, il ferme des lits d’hôpitaux. Il veut jeter à la rue des milliers de salarié-e-s qui ne croient pas a ses solutions. Il soutient un système qui produit et reproduit la misère à un pôle de la société et conduit la race humaine chaque jour plus près de la catastrophe.
On a dit, on redit et on répète : bonne année ! bonne santé ! Ces mots, d'une grande mais évidente banalité prennent en 2022 un relief singulier. Ce n'est plus un vœu. C'est un slogan ! Une bannière ! Tâchons de lui être fidèle, ce qui est le contraire de la passivité, de l'indifférence aux malheurs de la majorité
Battons-nous pour une année meilleure que celle que nous avons traversée. Mettons-y l'énergie nécessaire ! Ajoutons-y le maximum possible de joie et de dignité humaine.
De notre petit territoire colonisé défendons le droit à la vie, quoiqu'il en coûte