Les discours tenus et les silences entretenus ont obscurci davantage encore l’appréhension des faits et des circonstances à l’origine des dysfonctionnements continus et de l’impasse actuelle.
Il fallait un bouc émissaire. On a ainsi jeté en pâture le secrétaire général de la CSTM. C’est sans doute fort de cette douteuse et contestable légitimité que le principal entrepreneur mis en cause a sabordé toutes les médiations. Certains responsables et sympathisants de parti PPM , enveloppés dans l’alibi du carnaval, ont porté, avec d’autres, allègrement l’insulte et les insanités à l’encontre de la personne d’un syndicaliste qui défend ses mandants et réclame des bus sécurisés pour ceux-ci et pour leurs passagers.
L’ironie du sort est, qu’à ce jour, la seule parole qui a livré une des clefs pour démêler l’imbroglio de la part de responsabilité des uns et des autres, est celle de celui à qui on a cherché à attribuer la responsabilité de toutes les difficultés (journal télévisé de Martinique la première ): « Comment voulez-vous qu’un patron négocie si on continue à lui verser régulièrement une dotation alors que les dessertes ne sont pas assurées et que les salariés ne sont pas payés depuis 4 mois » a déclaré ce représentant syndical sur le plateau de « Martinique la Première soir » très récemment.
POUR L’HEURE, L’URGENCE SORTIR DE LA CRISE.
COMMENT ?
LA MEDIATION POUR SORTIR AU PLUS VITE DU CONFLIT
Je parie sur l’intelligence des uns et des autres patrons de Sotravom, représentants syndicaux afin de débuter une médiation. Que celle-ci soit initiée par le représentant de l’état français en Martinique soit et pourquoi pas par Martinique Transport qui a toute légitimité pour aider à la médiation surtout lorsque les conséquences d’un conflit sont aussi catastrophiques.
Cependant il n’y aura pas de solution durable sans remise à plat du modèle actuel de transport.
C’est donc le modèle, le même au fond depuis la TUMA en passant par le GET et la SETUFF, qui pose problème et déresponsabilise. C’est aussi le présupposé insensé de la primauté de la voiture individuelle et du transport par voie terrestre dans un éclat d’île. Présupposé infusé et entretenu par les lobbys automobiles locaux.
Il faut remettre à plat la question du transport public de passagers et de marchandises en Martinique.
Mme ML DELOR Citoyenne élue du groupe « Fok sa chanjé fodwans »
L’ironie du sort est, qu’à ce jour, la seule parole qui a livré une des clefs pour démêler l’imbroglio de la part de responsabilité des uns et des autres, est celle de celui à qui on a cherché à attribuer la responsabilité de toutes les difficultés (journal télévisé de Martinique la première ): « Comment voulez-vous qu’un patron négocie si on continue à lui verser régulièrement une dotation alors que les dessertes ne sont pas assurées et que les salariés ne sont pas payés depuis 4 mois » a déclaré ce représentant syndical sur le plateau de « Martinique la Première soir » très récemment.
POUR L’HEURE, L’URGENCE SORTIR DE LA CRISE.
COMMENT ?
LA MEDIATION POUR SORTIR AU PLUS VITE DU CONFLIT
Je parie sur l’intelligence des uns et des autres patrons de Sotravom, représentants syndicaux afin de débuter une médiation. Que celle-ci soit initiée par le représentant de l’état français en Martinique soit et pourquoi pas par Martinique Transport qui a toute légitimité pour aider à la médiation surtout lorsque les conséquences d’un conflit sont aussi catastrophiques.
Cependant il n’y aura pas de solution durable sans remise à plat du modèle actuel de transport.
C’est donc le modèle, le même au fond depuis la TUMA en passant par le GET et la SETUFF, qui pose problème et déresponsabilise. C’est aussi le présupposé insensé de la primauté de la voiture individuelle et du transport par voie terrestre dans un éclat d’île. Présupposé infusé et entretenu par les lobbys automobiles locaux.
Il faut remettre à plat la question du transport public de passagers et de marchandises en Martinique.
Mme ML DELOR Citoyenne élue du groupe « Fok sa chanjé fodwans »