UAG : Ni transformation, ni création mais tout simplement la continuité sans le G de la Guyane.
L'ordonnance approuvée le 16 juillet 2014 au conseil des ministres n'est pas totalement conforme aux exigences des quatre exécutifs des Antilles (cf. courrier du 7 juillet 2014 des 4 exécutifs adressé à Mme Fioraso). Nous n'avons ni transformation, ni création mais une continuité avec des aménagements légers en matière d'autonomie des pôles.
Fioraso, ne souhaite-t-elle pas la sérénité ? Dès lors, favorise-t-elle le choix du chaos de ce qui reste de l'ex-UAG (Université des Antilles et de la Guyane) ?
L'union européenne encourage la subsidiarité au sein des régions c'est-à-dire la prise de décision au plus près du seul peuple souverain. Paris méprise totalement cette subsidiarité antillaise; qui plus est, ce gouvernent refuse de prendre en compte les préconisations des quatre exécutifs. A savoir la création de l'université des Antilles comme l'indique le Sénateur Gillot ce matin (cf. communiqué de presse du Sénateur Gillot du 17 juillet 2014).
Cette exigence des quatre exécutifs des Antilles est souhaitable car elle est la condition sine qua non pour une rentrée universitaire sereine.
Le pouvoir central parisien refuse de prendre ses responsabilités. Madame Geneviève Fioraso, secrétaire d’Etat à l’enseignement supérieur et à la recherche, renforce le sentiment de vouloir cautionner cette dérive de l’actuelle présidence de l'UAG jusqu'à vouloir par le choix de cette ordonnance piloter cette université vers un naufrage inévitable.
Les élus des deux régions et départements des Antilles ont pourtant déclenché le signal d'alarme pour que ce gouvernement "ami" prenne de bonnes décisions. Il est encore temps que ce gouvernement agisse en conséquence et de manière plus cartésienne, compte tenu du climat explosif qui règne sur cette université.
Le président du conseil régional de la Guadeloupe, Lurel, ancien Ministre de cette mandature socialiste connaît mieux que quiconque les dérives que peuvent engendrer une telle décision sur l’arrêt ou pas de la crise de l’ex-UAG.
Est-ce que nous sommes en train de refaire les mêmes erreurs que pour la Guyane ? Faut-il perdre une année universitaire aux Antilles pour faire accoucher dans la douleur la création d'une université des Antilles ? Faut-il que les guadeloupéens puissent en arriver comme les guyanais à exiger une Université de la Guadeloupe de plein droit ?
Un lecteur
L'ordonnance approuvée le 16 juillet 2014 au conseil des ministres n'est pas totalement conforme aux exigences des quatre exécutifs des Antilles (cf. courrier du 7 juillet 2014 des 4 exécutifs adressé à Mme Fioraso). Nous n'avons ni transformation, ni création mais une continuité avec des aménagements légers en matière d'autonomie des pôles.
Fioraso, ne souhaite-t-elle pas la sérénité ? Dès lors, favorise-t-elle le choix du chaos de ce qui reste de l'ex-UAG (Université des Antilles et de la Guyane) ?
L'union européenne encourage la subsidiarité au sein des régions c'est-à-dire la prise de décision au plus près du seul peuple souverain. Paris méprise totalement cette subsidiarité antillaise; qui plus est, ce gouvernent refuse de prendre en compte les préconisations des quatre exécutifs. A savoir la création de l'université des Antilles comme l'indique le Sénateur Gillot ce matin (cf. communiqué de presse du Sénateur Gillot du 17 juillet 2014).
Cette exigence des quatre exécutifs des Antilles est souhaitable car elle est la condition sine qua non pour une rentrée universitaire sereine.
Le pouvoir central parisien refuse de prendre ses responsabilités. Madame Geneviève Fioraso, secrétaire d’Etat à l’enseignement supérieur et à la recherche, renforce le sentiment de vouloir cautionner cette dérive de l’actuelle présidence de l'UAG jusqu'à vouloir par le choix de cette ordonnance piloter cette université vers un naufrage inévitable.
Les élus des deux régions et départements des Antilles ont pourtant déclenché le signal d'alarme pour que ce gouvernement "ami" prenne de bonnes décisions. Il est encore temps que ce gouvernement agisse en conséquence et de manière plus cartésienne, compte tenu du climat explosif qui règne sur cette université.
Le président du conseil régional de la Guadeloupe, Lurel, ancien Ministre de cette mandature socialiste connaît mieux que quiconque les dérives que peuvent engendrer une telle décision sur l’arrêt ou pas de la crise de l’ex-UAG.
Est-ce que nous sommes en train de refaire les mêmes erreurs que pour la Guyane ? Faut-il perdre une année universitaire aux Antilles pour faire accoucher dans la douleur la création d'une université des Antilles ? Faut-il que les guadeloupéens puissent en arriver comme les guyanais à exiger une Université de la Guadeloupe de plein droit ?
Un lecteur