Ce jours là sur le plateau de 100% Politique de KMT Roland Louchez n’a pas compris qu’il avait en face de lui non pas un sage du CSA, mais un simple journaliste qui au bénéfice de la diversité se trouvait dans une fonction de responsabilité .C’est vrai que Rachid Arahbe n’est pas une lumière mais un des premiers bénéficiaires de la discrimination positive que défend bec et ongles Roland Laouchez lors de débats tant sur la chaîne d’Etat qu’ailleurs. Bien sûr c’était l’occasion rêvée pour que certains médias relèvent, n’ont pas le comportement inacceptable d’un journaliste au statut de sage du CSA, mais le fait qu’il avait envoyé au tapis en direct Roland Laouchez par l’insulte élégante doublé du mépris de l’Arabe qui se prend pour un Français de France.
Arhabe Rachid s’est même fendu d’une leçon de déontologie… Tu parles, c’est ce même monsieur qui s’est fin épingler par ses collègues français lui faisant observer que sa désignation par Jean-Louis Debré au CSA est ce que l'on peut appeler un conflit d'intérêt, ou une belle violation de la déontologie ! Désigné pour six ans, il n’a pas démissionné de ses fonctions sur France 2, et n'a été que "détachés" auprès du CSA. S'ils ne peuvent cumuler les deux emplois, cette assurance de retrouver leurs fonctions à France Télévisions après leur mandat au CSA peut choquer. Selon le CSA, il n'y a aucun problème à tout ça, comme nous l'apprend Le Parisien : "Le détachement résulte de la loi ou de la réglementation. Pour exercer un mandat national parlementaire ou européen ou pour être membre du gouvernement, le journaliste est détaché d'office, prévoit en effet l'article 35 de la convention collective des journalistes. Il en est de même pour l'exercice d'une fonction dans un cabinet ministériel. A l'issue de ce détachement, il est réintégré de droit avec le bénéfice de son ancienneté dans sa résidence, en priorité dans son ancienne fonction ou, sinon, dans un poste équivalent".
Etrange système qui permet à ce journaliste d'avoir le beurre... et l'argent du beurre ! Agnès Molinier, présidente de la Société des Journalistes de France 2 répète: "Je ne connais pas de journalistes qui peuvent revenir dans leur entreprise d'origine neuf ans après l'avoir quittée. Cela me paraît un énorme privilège dont bénéficient des personnes censées devoir montrer l'exemple car ce sont, en quelque sorte, nos pairs".
En fait, vive la discrimination positive et cet enfoiré profiteur du système veut donner des leçons… Notre Rachid sous les cocotiers se lance dans le débat presse d’opinion et presse d’information. La presse d’opinion n’existe pas selon Rachid. Face à Roland Laouchez s’est-il senti très à l’aise car en face d’un patron de télévision qu’il tient par les couilles… sans doute. Il faudrait expliquer à cet ignare et grand Sage par discrimination positive que ce débat sur l’importance respective de l’information et de l’opinion dans la presse est aussi ancien que celui sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Laissons parler un spécialiste de la question qui dit :« Le journalisme d’opinion résulte de l’incompréhension croissante que les citoyens ressentent face à la multiplication des sources d’information. Confrontés à un foisonnement de nouvelles, ils ont davantage besoin que l’actualité soit décodée par des analyses. C’est ainsi qu’adviendrait l’âge d’or des éditorialistes qui donnent du sens au déluge numérique d’informations. Un flux ininterrompu d'informations qui demande à être décodé - Même si la pédagogie est une mission majeure de la presse, on peut penser que l’on assiste là à une forme de détournement de la mission première des médias : informer, c’est-à-dire exposer les faits. Il nous faut cependant prendre en compte un paradoxe : à l’origine, la presse était presque exclusivement une presse d’opinion, comme le souligne Nicholas Lemann, doyen de l’Ecole de journalisme de l’université de Columbia (New York), cité dans un récent article du New York Times. Ainsi, en 1875, la presse américaine était-elle constituée d’environ 75% d’opinions et de 25% d’informations. En 1975, la proportion s’était plus qu’inversée : 90% d’informations et 10% d’opinions. Nous vivons aujourd’hui une nouvelle inversion de tendance qui représente en fait un retour aux sources. La surabondance d’informations suscite donc chez nous le même attrait pour la presse d’opinion que l’absence d’informations. Cette relation des citoyens à l’information est d’autant plus intrigante que l’expression d’une pluralité d’opinions est la marque d’une saine démocratie. » Et pan sur le bec de notre Rachid sous les cocotiers.
Qu'est-ce que la presse d'opinion ? La presse d'opinion constitue une famille de presse à part entière. Son but : défendre des valeurs, des idéaux, rendre compte dans sa diversité du débat social et politique qui parcourt la société. Son identité : Titres de toute périodicité, de tous tirages et de courants de pensées divers. On reconnaît l'opinion d'un journal à ses articles mais aussi à ses éditoriaux, ses titres, sa Une, ses sujets…Les éditorialistes donnent le ton sur la sensibilité politique de leur journal. En France, le pays d’accueil de Rachid, les hebdomadaires : Marianne, Le Nouvel Observateur, Le Point, L'Express, Le Figaro Magazine, Valeurs actuelles… Les quotidiens du matin : L'Humanité, créé par Jean-Jaurès en 1904, proche du parti communiste ; Libération, d'inspiration maoïste à ses débuts en 1973, est devenu le porte-drapeau de la gauche en général ; Le Figaro de culture libérale ; Le Parisien, plus populaire ; La Croix d'inspiration chrétienne. Le quotidien de l'après-midi : Le Monde. Les quotidiens satiriques et d'opinion : Le Canard enchaîné ; Charlie Hebdo. La presse d'opinion participe à la diffusion des idées et même à leurs émergences. Elle est toujours le signe de la bonne santé d'une démocratie. Elle traite de la vie politique, nationale ou internationale, des questions de société ; elle donne la parole à des voix divergentes tout en exprimant l'opinion du journal sur le sujet. Les journaux qui perpétuent une tradition politique : Le Monde Libertaire : anarchiste ; Informations ouvrières : trotskiste ; l'Action française : royaliste… Les journaux qui se consacrent à la défense d'une pensée clairement affirmée : La presse religieuse. Famille chrétienne, Témoignage chrétien… Le pèlerin et La vie s'adressent à des lecteurs catholiques. Tribune juive, Actualité juive pour les juifs. Réforme pour les protestants. Même un enfoiré devenu Sage le sait.
C’est vrai que face à Roland Laouchez, le Rachid prenait son pied, piétinait… l’adversaire qui lui quémandait encore de venir dans la deuxième partie de l’ITW …C’est ce même Rachid qui dans l’émission médias magazine sort de son rôle Sage du CSA pour donner son avis… il dit répondre à titre personnel n’engageant pas le CSA… « Être Arabe et pas trafiquant de drogue ».Sacré Rachid qui trafique sans doute la bêtise de Paris en Martinique.
Ceci dit, j'ai bien aimé le comportement de ce Sage du CSA, qui ne pourra plus donner de leçon sur le" parler en TV "et encore moins de déontologie, car il veut régler des comptes avec Roland Laouchez cette ITW est révélatrice.
Arhabe Rachid s’est même fendu d’une leçon de déontologie… Tu parles, c’est ce même monsieur qui s’est fin épingler par ses collègues français lui faisant observer que sa désignation par Jean-Louis Debré au CSA est ce que l'on peut appeler un conflit d'intérêt, ou une belle violation de la déontologie ! Désigné pour six ans, il n’a pas démissionné de ses fonctions sur France 2, et n'a été que "détachés" auprès du CSA. S'ils ne peuvent cumuler les deux emplois, cette assurance de retrouver leurs fonctions à France Télévisions après leur mandat au CSA peut choquer. Selon le CSA, il n'y a aucun problème à tout ça, comme nous l'apprend Le Parisien : "Le détachement résulte de la loi ou de la réglementation. Pour exercer un mandat national parlementaire ou européen ou pour être membre du gouvernement, le journaliste est détaché d'office, prévoit en effet l'article 35 de la convention collective des journalistes. Il en est de même pour l'exercice d'une fonction dans un cabinet ministériel. A l'issue de ce détachement, il est réintégré de droit avec le bénéfice de son ancienneté dans sa résidence, en priorité dans son ancienne fonction ou, sinon, dans un poste équivalent".
Etrange système qui permet à ce journaliste d'avoir le beurre... et l'argent du beurre ! Agnès Molinier, présidente de la Société des Journalistes de France 2 répète: "Je ne connais pas de journalistes qui peuvent revenir dans leur entreprise d'origine neuf ans après l'avoir quittée. Cela me paraît un énorme privilège dont bénéficient des personnes censées devoir montrer l'exemple car ce sont, en quelque sorte, nos pairs".
En fait, vive la discrimination positive et cet enfoiré profiteur du système veut donner des leçons… Notre Rachid sous les cocotiers se lance dans le débat presse d’opinion et presse d’information. La presse d’opinion n’existe pas selon Rachid. Face à Roland Laouchez s’est-il senti très à l’aise car en face d’un patron de télévision qu’il tient par les couilles… sans doute. Il faudrait expliquer à cet ignare et grand Sage par discrimination positive que ce débat sur l’importance respective de l’information et de l’opinion dans la presse est aussi ancien que celui sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Laissons parler un spécialiste de la question qui dit :« Le journalisme d’opinion résulte de l’incompréhension croissante que les citoyens ressentent face à la multiplication des sources d’information. Confrontés à un foisonnement de nouvelles, ils ont davantage besoin que l’actualité soit décodée par des analyses. C’est ainsi qu’adviendrait l’âge d’or des éditorialistes qui donnent du sens au déluge numérique d’informations. Un flux ininterrompu d'informations qui demande à être décodé - Même si la pédagogie est une mission majeure de la presse, on peut penser que l’on assiste là à une forme de détournement de la mission première des médias : informer, c’est-à-dire exposer les faits. Il nous faut cependant prendre en compte un paradoxe : à l’origine, la presse était presque exclusivement une presse d’opinion, comme le souligne Nicholas Lemann, doyen de l’Ecole de journalisme de l’université de Columbia (New York), cité dans un récent article du New York Times. Ainsi, en 1875, la presse américaine était-elle constituée d’environ 75% d’opinions et de 25% d’informations. En 1975, la proportion s’était plus qu’inversée : 90% d’informations et 10% d’opinions. Nous vivons aujourd’hui une nouvelle inversion de tendance qui représente en fait un retour aux sources. La surabondance d’informations suscite donc chez nous le même attrait pour la presse d’opinion que l’absence d’informations. Cette relation des citoyens à l’information est d’autant plus intrigante que l’expression d’une pluralité d’opinions est la marque d’une saine démocratie. » Et pan sur le bec de notre Rachid sous les cocotiers.
Qu'est-ce que la presse d'opinion ? La presse d'opinion constitue une famille de presse à part entière. Son but : défendre des valeurs, des idéaux, rendre compte dans sa diversité du débat social et politique qui parcourt la société. Son identité : Titres de toute périodicité, de tous tirages et de courants de pensées divers. On reconnaît l'opinion d'un journal à ses articles mais aussi à ses éditoriaux, ses titres, sa Une, ses sujets…Les éditorialistes donnent le ton sur la sensibilité politique de leur journal. En France, le pays d’accueil de Rachid, les hebdomadaires : Marianne, Le Nouvel Observateur, Le Point, L'Express, Le Figaro Magazine, Valeurs actuelles… Les quotidiens du matin : L'Humanité, créé par Jean-Jaurès en 1904, proche du parti communiste ; Libération, d'inspiration maoïste à ses débuts en 1973, est devenu le porte-drapeau de la gauche en général ; Le Figaro de culture libérale ; Le Parisien, plus populaire ; La Croix d'inspiration chrétienne. Le quotidien de l'après-midi : Le Monde. Les quotidiens satiriques et d'opinion : Le Canard enchaîné ; Charlie Hebdo. La presse d'opinion participe à la diffusion des idées et même à leurs émergences. Elle est toujours le signe de la bonne santé d'une démocratie. Elle traite de la vie politique, nationale ou internationale, des questions de société ; elle donne la parole à des voix divergentes tout en exprimant l'opinion du journal sur le sujet. Les journaux qui perpétuent une tradition politique : Le Monde Libertaire : anarchiste ; Informations ouvrières : trotskiste ; l'Action française : royaliste… Les journaux qui se consacrent à la défense d'une pensée clairement affirmée : La presse religieuse. Famille chrétienne, Témoignage chrétien… Le pèlerin et La vie s'adressent à des lecteurs catholiques. Tribune juive, Actualité juive pour les juifs. Réforme pour les protestants. Même un enfoiré devenu Sage le sait.
C’est vrai que face à Roland Laouchez, le Rachid prenait son pied, piétinait… l’adversaire qui lui quémandait encore de venir dans la deuxième partie de l’ITW …C’est ce même Rachid qui dans l’émission médias magazine sort de son rôle Sage du CSA pour donner son avis… il dit répondre à titre personnel n’engageant pas le CSA… « Être Arabe et pas trafiquant de drogue ».Sacré Rachid qui trafique sans doute la bêtise de Paris en Martinique.
Ceci dit, j'ai bien aimé le comportement de ce Sage du CSA, qui ne pourra plus donner de leçon sur le" parler en TV "et encore moins de déontologie, car il veut régler des comptes avec Roland Laouchez cette ITW est révélatrice.