Alors qu'au meme moment il est reconnu , par ses pairs, qui ne cessent de lui porter honneur , récompenses et distinctions. Mais la vie est ainsi faite. Qu'il comprenne au delà des mots qu'en MARTINIQUE il est aussi chez lui. Sa contribution au patrimoine musical de la MARTINIQUE est respectable. Ici il est chez lui , il est simplement dans une autre rue que celle où il est né. Ainsi va la vie pour les internationaux !
Voici le texte de Serge Bilé, alors que l'on sait que ces derniers temps il aura été préoccupé. Qu'il se rassure c'est la même cadence partout,la même basse, donc la même musique partout, sauf que pour certains on en fait plus d'écho.
Je cite : "Quand on est antillais ou africain et qu'on vit loin de chez soi depuis trop longtemps, il y a toujours un moment, en vieillissant, où se pose inévitablement la question du retour. Hier, une amie ivoirienne, établie à Munich, m'a raconté son dilemme, résumé en 2 questions: rentrer au pays et repartir à zéro ou rester à l'étranger où elle ne se sent plus aussi bien qu'avant, même si elle gagne sa vie. C'est la troisième fois en 10 jours que des amis quinquagénaires m'exposent le même problème. Il n'y a pas de hasard mais je ne pense pas qu'il y ait une réponse toute faite à ces questions essentielles que d'autres ici se posent sans doute aussi.
Je rappelle juste à chaque fois à mes interlocuteurs 2 choses. D'abord, une citation qui m'accompagne depuis l'adolescence: "un oiseau ne chante bien que sur son arbre généalogique". Et ensuite cette évidence. Quels que soient les problèmes qu'on rencontre en rentrant chez soi, c'est le seul endroit sur terre où personne ne vous dira jamais: "Rentre chez toi !!"
Et ça, croyez-moi, ça n'a pas de prix 😊
" Fin de citation . N'ayant pas la possibilité de lui répondre en commentaire sur son mur , je le fais dans mon blog, c'est encore là une simple question de rue. Par contre si j'avais une chose à lui demander ce serait d'organiser en MARTINIQUE des ateliers populaires ,d'écriture. Il rédige si bien !
Je cite : "Quand on est antillais ou africain et qu'on vit loin de chez soi depuis trop longtemps, il y a toujours un moment, en vieillissant, où se pose inévitablement la question du retour. Hier, une amie ivoirienne, établie à Munich, m'a raconté son dilemme, résumé en 2 questions: rentrer au pays et repartir à zéro ou rester à l'étranger où elle ne se sent plus aussi bien qu'avant, même si elle gagne sa vie. C'est la troisième fois en 10 jours que des amis quinquagénaires m'exposent le même problème. Il n'y a pas de hasard mais je ne pense pas qu'il y ait une réponse toute faite à ces questions essentielles que d'autres ici se posent sans doute aussi.
Je rappelle juste à chaque fois à mes interlocuteurs 2 choses. D'abord, une citation qui m'accompagne depuis l'adolescence: "un oiseau ne chante bien que sur son arbre généalogique". Et ensuite cette évidence. Quels que soient les problèmes qu'on rencontre en rentrant chez soi, c'est le seul endroit sur terre où personne ne vous dira jamais: "Rentre chez toi !!"
Et ça, croyez-moi, ça n'a pas de prix 😊
" Fin de citation . N'ayant pas la possibilité de lui répondre en commentaire sur son mur , je le fais dans mon blog, c'est encore là une simple question de rue. Par contre si j'avais une chose à lui demander ce serait d'organiser en MARTINIQUE des ateliers populaires ,d'écriture. Il rédige si bien !