Unanimement, l'ensemble des médias nationaux reprennent en chœur la responsabilité de l'état. Certains rajoutent la responsabilité des organisations de la banane. On peut être surpris que des médias en France s’intéressent tant aux Antilles.
En fait c'est que ce scandale interpelle tout monde, y compris les journalistes français, dont on devine l'outrance, quand aux Antilles les médias traitent le sujet avec prudence, pour ne pas être traités de stigmatisation.
Prenons le cas de France Info, par exemple, la station d'information du groupe France télévision. Ce média n'hésite pas à parler d'empoisonnement ! Oui d’empoisonnement durable. Le Monde, dans sa version Internet lui ,préfère utiliser le mot imprégnation, quand le quotidien lorrain choisit l'expression de contamination. Sans doute que par imprégnation, d'une substance extrêmement dangereuse on a contaminé une population qui a le sentiment d'avoir été empoisonnée.
Alors que disent les revues scientifiques et universitaires? La même chose forcément pour les responsabilités, mais avec une nuance. The conversation, qui réunit plus de 3500 chercheurs, titre : Chlordécone et cancer : à qui profite le doute ?
Sa conclusion : Plutôt que de générer une confusion qui n’a aujourd’hui plus lieu d’être d’un point de vue scientifique sur la cancérogénicité du chlordécone, ces trois objectifs, indemnisation et zéro chlordécone, ainsi que celui de la dépollution des sols, semblent les plus importants !
Prenons le cas de France Info, par exemple, la station d'information du groupe France télévision. Ce média n'hésite pas à parler d'empoisonnement ! Oui d’empoisonnement durable. Le Monde, dans sa version Internet lui ,préfère utiliser le mot imprégnation, quand le quotidien lorrain choisit l'expression de contamination. Sans doute que par imprégnation, d'une substance extrêmement dangereuse on a contaminé une population qui a le sentiment d'avoir été empoisonnée.
Alors que disent les revues scientifiques et universitaires? La même chose forcément pour les responsabilités, mais avec une nuance. The conversation, qui réunit plus de 3500 chercheurs, titre : Chlordécone et cancer : à qui profite le doute ?
Sa conclusion : Plutôt que de générer une confusion qui n’a aujourd’hui plus lieu d’être d’un point de vue scientifique sur la cancérogénicité du chlordécone, ces trois objectifs, indemnisation et zéro chlordécone, ainsi que celui de la dépollution des sols, semblent les plus importants !