Alors que se passe-t-il encore entre l'Etat et la CTM ?
Voilà une semaine, Monsieur le Préfet ,Maître officiel du Pays, par délégation et délibération du conseil des ministres, annonçait qu'il ferait sortir 100 000 m3 de matériaux de toutes sortes du lit de la rivière du Prêcheur ! Dans le texte ce n'est pas dit mais tout le monde comprend qu'il va s’arrêter en amont du pont neuf ! Disons près du stade.
Mais depuis toujours, en tout cas depuis 2015, il y a un cancan qui nacre ! Trop long à raconter.. Disons que l'équipe actuelle de la CTM, plus précisément ce qu'il en reste, reproche à l'ex président qui n'est plus Président depuis 2015 d'avoir pris à la charge de l'ex région, donc de la CTM aujourd'hui un chantier "dans les mains de l'Etat".
Une peccadille : 70 000 € à l'année, sans compter ce qui est déduit par la vente des matériaux à l'entreprise attributaire ! Bref
Mais depuis toujours, en tout cas depuis 2015, il y a un cancan qui nacre ! Trop long à raconter.. Disons que l'équipe actuelle de la CTM, plus précisément ce qu'il en reste, reproche à l'ex président qui n'est plus Président depuis 2015 d'avoir pris à la charge de l'ex région, donc de la CTM aujourd'hui un chantier "dans les mains de l'Etat".
Une peccadille : 70 000 € à l'année, sans compter ce qui est déduit par la vente des matériaux à l'entreprise attributaire ! Bref
Donc le préfet qui est en charge du nettoyage des rivières, qu'il ne nettoie pas toujours, faute dit-il de budget, a probablement dans un solibo magnifique trouvé une queue de budget pour faire un gros semblant de: " je nettoie mes rivières."
Daniel Marie-Sainte, conseiller exécutif en charge des infrastructures, dont le pont neuf du Prêcheur et sous sa responsabilité, semble avoir un mal de ventre ...rien que de savoir le Préfet dans sa propre rivière, en amont de lui- même, par lui de nous -mêmes !
En observateur , qui refusons d'acheter pour d'autres des cancans politiques qui nous dépassent, nous observons que contrairement à la CTM, qui vendait à une petite entreprise martiniquaise, les matériaux sortis de la montagne, le Préfet lui ,va dégueuler ses tonnes de bons matériaux, dont des roches de remblais, dans la cour des békés qui les revendront à des nègres pays, une fois transformés ! Certainement qu'il y a un deal mais personne ne nous enlèvera de l'idée que GBH reverrouille définitivement le marché des matériaux de construction.
En effet alors qu'une petite entreprise martiniquaise "kale son koko" dans l'embouchure, voilà que l'état va payer des millions pour obtenir sa tranquillité en payant transporteurs, carriers et entreprises de terrassement. Les plus gros, comme d'habitude, même si des nègres sont pris comme faire-valoir !
Cela DMS le sait , mais pas un mot de sa part sur cette réalité. Il se contente de pleurer pour un petit morceau de route, qui dit-il va être défoncé, alors que l'enjeu économique est de plusieurs millions ! Vous avez donc tout compris, le canard du béké est dans la mare du béké et si votre cabri en période de carême meurt de soif ,ce même canard peut interdire de boire une goutte d'eau à votre animal qui meurt sans que le coq ne chante cocorico !
Lisez ce texte de DMS en cliquant sur page suivante, vous verrez qu'il n'y a pas un mot sur les enjeux économiques alors que tout le monde sait que la CTM est en charge aussi de l'économie !
Ainsi va le pays, la région, collectivité territoire Martinique, membre de l'OECS, Région ultra périphérique de l'Europe, refusant le 74 !
En observateur , qui refusons d'acheter pour d'autres des cancans politiques qui nous dépassent, nous observons que contrairement à la CTM, qui vendait à une petite entreprise martiniquaise, les matériaux sortis de la montagne, le Préfet lui ,va dégueuler ses tonnes de bons matériaux, dont des roches de remblais, dans la cour des békés qui les revendront à des nègres pays, une fois transformés ! Certainement qu'il y a un deal mais personne ne nous enlèvera de l'idée que GBH reverrouille définitivement le marché des matériaux de construction.
En effet alors qu'une petite entreprise martiniquaise "kale son koko" dans l'embouchure, voilà que l'état va payer des millions pour obtenir sa tranquillité en payant transporteurs, carriers et entreprises de terrassement. Les plus gros, comme d'habitude, même si des nègres sont pris comme faire-valoir !
Cela DMS le sait , mais pas un mot de sa part sur cette réalité. Il se contente de pleurer pour un petit morceau de route, qui dit-il va être défoncé, alors que l'enjeu économique est de plusieurs millions ! Vous avez donc tout compris, le canard du béké est dans la mare du béké et si votre cabri en période de carême meurt de soif ,ce même canard peut interdire de boire une goutte d'eau à votre animal qui meurt sans que le coq ne chante cocorico !
Lisez ce texte de DMS en cliquant sur page suivante, vous verrez qu'il n'y a pas un mot sur les enjeux économiques alors que tout le monde sait que la CTM est en charge aussi de l'économie !
Ainsi va le pays, la région, collectivité territoire Martinique, membre de l'OECS, Région ultra périphérique de l'Europe, refusant le 74 !
La lettre de Daniel Marie-Sainte :RIVIERE DU PRÊCHEUR :
Faut-il comprendre que l’état assume enfin ses responsabilités ?….
Même si c’est encore partiel !
La rivière du Prêcheur, comme toutes les autres rivières et ravines de Martinique, sont encore la propriété de l’état français ?
Elles font partie de ce que la loi intitule le « domaine public fluvial » sur lequel l’état exerce son pouvoir de « police de l’eau ».
Rappelez-vous, en début de 2015, l’ex-président néo-ppm de l’ancien Conseil Régional, avait accepté, avec une légèreté coupable, le transfert pendant 6 ans, de la charge de l’entretien et du curage du lit de la rivière du Prêcheur (de l’embouchure jusqu’à la source au pied dit Piton Marcel !).
Le transfert de cette lourde charge était accompagné d’un transfert de ressources d’un montant ridiculement bas de 14.073 € TTC par an ( Article 6 de la convention signée par Serge Letchimy, le 26 Janvier 2015 et le Préfet de l’époque, le 12 Février 2015).
Contraint d’assumer ce lourd héritage, le Président Alfred MARIE-JEANNE dès son arrivée à la tête de la CTM, en plus de la construction du Pont du Prêcheur, a dû dépenser, chaque année, la somme de 70.000 € pour le curage afin d’assurer la sécurité des habitants du Prêcheur !
Suite à nos protestations répétées, le représentant de l’état vient, enfin, d’annoncer qu’il lancera, à partir de la semaine prochaine, une opération de curage visant à enlever en 5 mois 100.000 m3 de sable du lit de la rivière du Prêcheur !
Prenant en compte l’importance du trafic de camions poids lourds qui va en résulter sur la RD10, nous lui avons déjà demandé de prévoir un dédommagement de la CTM, en cas de dégâts éventuels causés à la chaussée de la route que la CTM vient de rénover !
Malheureusement, nous notons que ce curage financé par l’état, ne concernera que la partie du lit de la rivière située en amont du stade du Prêcheur.
Il laisse encore à la charge de la CTM, la partie aval jusqu’à l’embouchure !
C’est à dire la partie la plus peuplée !
Nous resterons très vigilants dans cette affaire !
Le 7 Septembre 2019
Daniel MARIE-SAINTE
Conseiller Exécutif de Martinique
En charge des infrastructures
Même si c’est encore partiel !
La rivière du Prêcheur, comme toutes les autres rivières et ravines de Martinique, sont encore la propriété de l’état français ?
Elles font partie de ce que la loi intitule le « domaine public fluvial » sur lequel l’état exerce son pouvoir de « police de l’eau ».
Rappelez-vous, en début de 2015, l’ex-président néo-ppm de l’ancien Conseil Régional, avait accepté, avec une légèreté coupable, le transfert pendant 6 ans, de la charge de l’entretien et du curage du lit de la rivière du Prêcheur (de l’embouchure jusqu’à la source au pied dit Piton Marcel !).
Le transfert de cette lourde charge était accompagné d’un transfert de ressources d’un montant ridiculement bas de 14.073 € TTC par an ( Article 6 de la convention signée par Serge Letchimy, le 26 Janvier 2015 et le Préfet de l’époque, le 12 Février 2015).
Contraint d’assumer ce lourd héritage, le Président Alfred MARIE-JEANNE dès son arrivée à la tête de la CTM, en plus de la construction du Pont du Prêcheur, a dû dépenser, chaque année, la somme de 70.000 € pour le curage afin d’assurer la sécurité des habitants du Prêcheur !
Suite à nos protestations répétées, le représentant de l’état vient, enfin, d’annoncer qu’il lancera, à partir de la semaine prochaine, une opération de curage visant à enlever en 5 mois 100.000 m3 de sable du lit de la rivière du Prêcheur !
Prenant en compte l’importance du trafic de camions poids lourds qui va en résulter sur la RD10, nous lui avons déjà demandé de prévoir un dédommagement de la CTM, en cas de dégâts éventuels causés à la chaussée de la route que la CTM vient de rénover !
Malheureusement, nous notons que ce curage financé par l’état, ne concernera que la partie du lit de la rivière située en amont du stade du Prêcheur.
Il laisse encore à la charge de la CTM, la partie aval jusqu’à l’embouchure !
C’est à dire la partie la plus peuplée !
Nous resterons très vigilants dans cette affaire !
Le 7 Septembre 2019
Daniel MARIE-SAINTE
Conseiller Exécutif de Martinique
En charge des infrastructures