Nous vous l’avons dit et expliqué dans notre dernier éditorial, et nous réaffirmons que c’est un bad buzz sans intérêt de nature à casser une dynamique qui promettait. Ce n’est pas le premier réalisé par la station d’état. Pour preuve une information qui pose problème car infondée, à savoir le décès de Camille Alexandre par un second AVC durant son transport, ce après un accident de la route.
Le médecin légiste, l’a indiqué rien ne permettait d’affirmer ce qu’avait déclaré la rédaction web de RFO. Au contraire il n’infirmait pas le contraire.
Pour cette seule raison, la dernière volonté de Camille de se faire incinérer n’a pas été réalisée, le corps devant éventuellement resté disponible pour les besoins de l’enquête.
Dans le cas présent du bad buzz de RFO sur le dossier du Patrimoine on est dans une information du même type, c’est-à-dire tronquée et totalement extérieure au contexte de recherche de solution, pour développer l’opportunité de dynamique économique autour du patrimoine.
Mais nous devons aller plus loin. Alors que le mal est fait, que l’homme d’affaires je suppose, aura le réflexe de s’occuper simplement de faire fructifier égoïstement son business, on peut se demander pourquoi en Martinique, Bernard Hayot devrait être le seul Martiniquais à ne pas pouvoir dire que le pays est mal géré. Car c’est de cela dont il s’agit, quand on est un Martiniquais béké a-t-on le droit de prendre position et de dire ce que l’on à dire?
Il ne s’agit pas de dire que les Martiniquais békés ne peuvent pas dire des bêtises, mieux des conneries. Nous avons en exemple le cas de Roger de Jaham qui ne cessait de son vivant de dire des idioties autour de la notion de tous créoles, mais ce dernier assumait et enfonçait le clou en revendiquant son droit de penser autrement. Il acceptait du même coup son droit à être critiqué vertement et pas toujours gentiment, y compris par nous.
Autre affaire quand Emmanuel de Rénal en parlant du BTP dit que d’autres solutions sont possibles et que le non moins Daniel Marie-Sainte considère qu’il n’est qu’un représentant de la finance et des lobby, ce même Daniel Marie-Sainte oublie, que si le BTP est dans cet état c’est beaucoup aussi de son fait de syndicaliste. En effet le BTP est le seul secteur ou avant de commencer à ne rien foutre sur un chantier, un ouvrier touche entre 400 et 500 euros de primes de panier, de déplacement et autres petites taxations qui asphyxient aujourd’ hui les plus petites entreprises du BTP . Or ces accords sont de l’époque où DMS était syndicaliste.
Par conséquent quand tout le monde dit dans le pays que la MARTINIQUE est mal gérée, et que nous en voyons la preuve tous les jours, comment ne pas comprendre que les békés puissent ne pas pouvoir le dire aussi. Et que plus particulièrement quand BH l’affirme, fort de ses indicateurs de groupe que cela fasse l’effet d’un cyclone Maria dans les chaumières.
Or il est vrai et constant que la Martinique est mal gérée et depuis longtemps. Tous les parties le disent, tous les responsables d’associations l’affirment sauf une petite poignée de dirigeants majoritaires qui chaque fois qu’ils sont alternativement élus, considèrent que pour peu qu’il soient élus le pays va définitivement mieux.
Cette collerette dans laquelle est tombé le patron du groupe BH est une l’illustration de l’incapacité que nous avons à travailler entre Martiniquais.
Et tous ceux qui n’ont d’autre préoccupation, que le besoin viscéral de se faire buzzer y vont de leur commentaire désobligeant vis-à-vis de l’homme d’affaires tombant comme des idiots dans le piège tendu par un journaliste qui n’a jamais rien fait d’autre dans le pays que de pointer à la petite semaine.
Or le pays est vraiment mal géré voici quelques exemples dont un qui est sans équivoque, 50 000 chômeurs en Martinique.
Je ne reviendrai pas sur la décroissance continue de la population, mais quand le budget du social est deux fois supérieur dans la collectivité unique que les moyens mis en investissement dans l’économie, on ne peut qu’admettre que ce pays est mal géré et se demander pourquoi BH serait le seul à ne pas pouvoir le dire.
Quand on sait que 17 000 des chômeurs sont des seniors et que les primo travailleurs sont les plus nombreux à caser, on peut se dire que du début à la fin , travailler en Martinique est une vraie galère.
Alors comment ne pas comprendre que ce dirigeant, parce qu’il est un béké , le plus riche de tous n’ait pas le droit de dire ce qu’il pense , du seul fait qu’il est un béké.
Il est curieux de constater comment les gens de ce pays, qui ont peur de tout, du 74 , de l’indépendance, de l’autonomie, sont les premiers à charger les békés quand ce n’est pas la France , l’Europe, que ce n’est pas les négatives listes de la Caraïbe de tout ce qui leur arrive. C’est ce qui s’appelle la victimisation.
Comme quoi décharger ses peines et ses incapacités sur autrui, est une belle forme de gouvernance de nos pays.
Pour cette seule raison, la dernière volonté de Camille de se faire incinérer n’a pas été réalisée, le corps devant éventuellement resté disponible pour les besoins de l’enquête.
Dans le cas présent du bad buzz de RFO sur le dossier du Patrimoine on est dans une information du même type, c’est-à-dire tronquée et totalement extérieure au contexte de recherche de solution, pour développer l’opportunité de dynamique économique autour du patrimoine.
Mais nous devons aller plus loin. Alors que le mal est fait, que l’homme d’affaires je suppose, aura le réflexe de s’occuper simplement de faire fructifier égoïstement son business, on peut se demander pourquoi en Martinique, Bernard Hayot devrait être le seul Martiniquais à ne pas pouvoir dire que le pays est mal géré. Car c’est de cela dont il s’agit, quand on est un Martiniquais béké a-t-on le droit de prendre position et de dire ce que l’on à dire?
Il ne s’agit pas de dire que les Martiniquais békés ne peuvent pas dire des bêtises, mieux des conneries. Nous avons en exemple le cas de Roger de Jaham qui ne cessait de son vivant de dire des idioties autour de la notion de tous créoles, mais ce dernier assumait et enfonçait le clou en revendiquant son droit de penser autrement. Il acceptait du même coup son droit à être critiqué vertement et pas toujours gentiment, y compris par nous.
Autre affaire quand Emmanuel de Rénal en parlant du BTP dit que d’autres solutions sont possibles et que le non moins Daniel Marie-Sainte considère qu’il n’est qu’un représentant de la finance et des lobby, ce même Daniel Marie-Sainte oublie, que si le BTP est dans cet état c’est beaucoup aussi de son fait de syndicaliste. En effet le BTP est le seul secteur ou avant de commencer à ne rien foutre sur un chantier, un ouvrier touche entre 400 et 500 euros de primes de panier, de déplacement et autres petites taxations qui asphyxient aujourd’ hui les plus petites entreprises du BTP . Or ces accords sont de l’époque où DMS était syndicaliste.
Par conséquent quand tout le monde dit dans le pays que la MARTINIQUE est mal gérée, et que nous en voyons la preuve tous les jours, comment ne pas comprendre que les békés puissent ne pas pouvoir le dire aussi. Et que plus particulièrement quand BH l’affirme, fort de ses indicateurs de groupe que cela fasse l’effet d’un cyclone Maria dans les chaumières.
Or il est vrai et constant que la Martinique est mal gérée et depuis longtemps. Tous les parties le disent, tous les responsables d’associations l’affirment sauf une petite poignée de dirigeants majoritaires qui chaque fois qu’ils sont alternativement élus, considèrent que pour peu qu’il soient élus le pays va définitivement mieux.
Cette collerette dans laquelle est tombé le patron du groupe BH est une l’illustration de l’incapacité que nous avons à travailler entre Martiniquais.
Et tous ceux qui n’ont d’autre préoccupation, que le besoin viscéral de se faire buzzer y vont de leur commentaire désobligeant vis-à-vis de l’homme d’affaires tombant comme des idiots dans le piège tendu par un journaliste qui n’a jamais rien fait d’autre dans le pays que de pointer à la petite semaine.
Or le pays est vraiment mal géré voici quelques exemples dont un qui est sans équivoque, 50 000 chômeurs en Martinique.
Je ne reviendrai pas sur la décroissance continue de la population, mais quand le budget du social est deux fois supérieur dans la collectivité unique que les moyens mis en investissement dans l’économie, on ne peut qu’admettre que ce pays est mal géré et se demander pourquoi BH serait le seul à ne pas pouvoir le dire.
Quand on sait que 17 000 des chômeurs sont des seniors et que les primo travailleurs sont les plus nombreux à caser, on peut se dire que du début à la fin , travailler en Martinique est une vraie galère.
Alors comment ne pas comprendre que ce dirigeant, parce qu’il est un béké , le plus riche de tous n’ait pas le droit de dire ce qu’il pense , du seul fait qu’il est un béké.
Il est curieux de constater comment les gens de ce pays, qui ont peur de tout, du 74 , de l’indépendance, de l’autonomie, sont les premiers à charger les békés quand ce n’est pas la France , l’Europe, que ce n’est pas les négatives listes de la Caraïbe de tout ce qui leur arrive. C’est ce qui s’appelle la victimisation.
Comme quoi décharger ses peines et ses incapacités sur autrui, est une belle forme de gouvernance de nos pays.