La CSTM a-t-elle donné un coup de frein à Bertrand CAMBUSY
Sa menace de bloquer le pays n’a pas été mise à exécution prétextant, le souhait de ne pas mettre le pays en souffrance. CAMBUSY serait-il donc devenu subitement raisonnable, alors qu’il était menaçant et déterminé, sur les ondes.
Pour bien comprendre l’arrêt de ce mouvement de grève illimitée lancée par la CSTM et d'autres syndicats qui devait débuter ce lundi 12 mai, contrairement à ce que disent des médias qui se contentent de lire des communiqués, il faut avoir observé les médias, les faits et gestes des différents protagonistes dans cette affaire durant ce weekend.
Tout d’abord le KANKAN entre le patron du MEDEF Martinique ET Bertrand CAMBUSY sur les ondes de RLDM.
D’autre part l’intervention de Daniel MARIE SAINTE dans le dossier et qui s’est fendu d’un communiqué sur sa page FB dans lequel il semblait évident que ce dernier avait fait une étude approfondie de ce qui se disait sur les réseaux sociaux.
Ce dernier sait que « les grèves sont menées comme des guerres et que à l’expérience un accord de fin de conflit ne peut être conclu qu'entre des parties en conflit. » Il considère que cela est vrai tant dans le cas d'une grève qu'en cas de guerre ou l'on signe l'armistice avec l'ennemi d'hier ».
Sur ce point c’est aussi l’avis de Monsieur BONNIFACE qui ne souhaite que force ouvrière accepte la signature de la CSTM.
C'est sans doute selon lui la même logique de guerre qu’il convient de respecter. Considérant par conséquent que le rapport de force de n’était à l’avantage de la CSTM, il ne serait pas étonnant que ce soit l’analyse de ce dernier qui ai prévalu.
Concernant l’information du Président De l’Espace Sud relative à l’annulation du marché annoncé en radio, mais pas de manière écrite, il est à parier que cette menace ne sera pas mise à exécution. C’est un leurre d’Eugène LARCHER partenaire politique du MIM qui n’a que comme seul objectif de faire douter le patron des transports BONNIFACE.
Sauf que renseignement pris ce chef d’entreprise semble lui aussi souhaiter d’avantage cette rupture de contrat, histoire de se concentrer sur ces autres marchés.
Enfin l’activisme du Préfet est aussi à prendre en compte dans ce recul de la CSTM, d’autant qu’il semble que les services de l’état ont été actifs durant tout ce weekend. Il se dit même qu’une réunion se serait tenue en sous-préfecture du marin et serait à l’origine de celle tenue ce matin à 10 heures. Ce dernier dit-on semble déterminé à faire respecter l’ordre publique, en particulier durant cette période d’examen.
Pour finir MAKAC LA reste en observation l’oreille tendue, les yeux ouverts, prêt à gueuler chaque fois que l’on voudra lui faire prendre une mangue Julie pour un Bassignac.
Il est certain que si ce jour une sortie n’est pas conclue, que les choses risquent de se dégrader.
La seule vraie question est de savoir s’il y aura un arrêt des poursuites liées au conflit.
Pour bien comprendre l’arrêt de ce mouvement de grève illimitée lancée par la CSTM et d'autres syndicats qui devait débuter ce lundi 12 mai, contrairement à ce que disent des médias qui se contentent de lire des communiqués, il faut avoir observé les médias, les faits et gestes des différents protagonistes dans cette affaire durant ce weekend.
Tout d’abord le KANKAN entre le patron du MEDEF Martinique ET Bertrand CAMBUSY sur les ondes de RLDM.
D’autre part l’intervention de Daniel MARIE SAINTE dans le dossier et qui s’est fendu d’un communiqué sur sa page FB dans lequel il semblait évident que ce dernier avait fait une étude approfondie de ce qui se disait sur les réseaux sociaux.
Ce dernier sait que « les grèves sont menées comme des guerres et que à l’expérience un accord de fin de conflit ne peut être conclu qu'entre des parties en conflit. » Il considère que cela est vrai tant dans le cas d'une grève qu'en cas de guerre ou l'on signe l'armistice avec l'ennemi d'hier ».
Sur ce point c’est aussi l’avis de Monsieur BONNIFACE qui ne souhaite que force ouvrière accepte la signature de la CSTM.
C'est sans doute selon lui la même logique de guerre qu’il convient de respecter. Considérant par conséquent que le rapport de force de n’était à l’avantage de la CSTM, il ne serait pas étonnant que ce soit l’analyse de ce dernier qui ai prévalu.
Concernant l’information du Président De l’Espace Sud relative à l’annulation du marché annoncé en radio, mais pas de manière écrite, il est à parier que cette menace ne sera pas mise à exécution. C’est un leurre d’Eugène LARCHER partenaire politique du MIM qui n’a que comme seul objectif de faire douter le patron des transports BONNIFACE.
Sauf que renseignement pris ce chef d’entreprise semble lui aussi souhaiter d’avantage cette rupture de contrat, histoire de se concentrer sur ces autres marchés.
Enfin l’activisme du Préfet est aussi à prendre en compte dans ce recul de la CSTM, d’autant qu’il semble que les services de l’état ont été actifs durant tout ce weekend. Il se dit même qu’une réunion se serait tenue en sous-préfecture du marin et serait à l’origine de celle tenue ce matin à 10 heures. Ce dernier dit-on semble déterminé à faire respecter l’ordre publique, en particulier durant cette période d’examen.
Pour finir MAKAC LA reste en observation l’oreille tendue, les yeux ouverts, prêt à gueuler chaque fois que l’on voudra lui faire prendre une mangue Julie pour un Bassignac.
Il est certain que si ce jour une sortie n’est pas conclue, que les choses risquent de se dégrader.
La seule vraie question est de savoir s’il y aura un arrêt des poursuites liées au conflit.