"Il s'agit de primes déjà existantes", a-t-il ajouté, "antérieurement attribuées de façon uniforme et désormais réparties en fonction de la manière de servir et des résultats obtenus", comme le prévoit, selon lui, un décret du 6 novembre 2008.
"Cette politique de primes de fonctions et de résultats (PFR) est actuellement généralisée à tous les cadres dirigeants de la fonction publique, conformément aux instructions du président de la République et du Premier ministre", a-t-il ajouté.
"Pour ce qui est du corps préfectoral, les critères retenus pour la répartition de ces primes en 2009 sont les résultats obtenus dans trois priorités gouvernementales : sécurité publique, sécurité routière et le nombre de contrats aidés conclus pour l'accès ou le retour à l'emploi".
"D'autres facteurs, comme le nombre de reconduites à la frontière d'étrangers en situation irrégulière, ne figurent pas parmi ces critères", a précisé le ministère de l'Intérieur.
Des primes aux résultats "en fonction de critères édictés par le gouvernement en matière de sécurité publique, routière ou d'aide à l'emploi" sont versées "très discrètement" aux préfets et sous-préfets depuis fin 2009, révèle lundi Aujourd'hui en France/Le Parisien.
Le quotidien estime que "ces bonus peuvent s'échelonner de 14.000 à 66.000 euros par an".
Pour l'Intérieur, "les chiffres cités dans l'article sont des montants maximaux" et "sont bien supérieurs aux primes moyennes effectivement versées". "Les sommes concernées sont, par ailleurs, intégralement soumises à l'impôt sur le revenu", a encore dit le ministère.
Selon l'arrêté publié avec ce décret, ces primes peuvent s'échelonner annuellement de 8.250 euros, pour un sous-préfet à 28.164 euros pour un préfet.
Notre rédaction propose pour Angy 30 000 euros et, il mérite ce bonus pour n'avoir pas jusqu'à ce jour installé le désordre social en donnant de la troupe comme le lui demande certains créoles.
"Cette politique de primes de fonctions et de résultats (PFR) est actuellement généralisée à tous les cadres dirigeants de la fonction publique, conformément aux instructions du président de la République et du Premier ministre", a-t-il ajouté.
"Pour ce qui est du corps préfectoral, les critères retenus pour la répartition de ces primes en 2009 sont les résultats obtenus dans trois priorités gouvernementales : sécurité publique, sécurité routière et le nombre de contrats aidés conclus pour l'accès ou le retour à l'emploi".
"D'autres facteurs, comme le nombre de reconduites à la frontière d'étrangers en situation irrégulière, ne figurent pas parmi ces critères", a précisé le ministère de l'Intérieur.
Des primes aux résultats "en fonction de critères édictés par le gouvernement en matière de sécurité publique, routière ou d'aide à l'emploi" sont versées "très discrètement" aux préfets et sous-préfets depuis fin 2009, révèle lundi Aujourd'hui en France/Le Parisien.
Le quotidien estime que "ces bonus peuvent s'échelonner de 14.000 à 66.000 euros par an".
Pour l'Intérieur, "les chiffres cités dans l'article sont des montants maximaux" et "sont bien supérieurs aux primes moyennes effectivement versées". "Les sommes concernées sont, par ailleurs, intégralement soumises à l'impôt sur le revenu", a encore dit le ministère.
Selon l'arrêté publié avec ce décret, ces primes peuvent s'échelonner annuellement de 8.250 euros, pour un sous-préfet à 28.164 euros pour un préfet.
Notre rédaction propose pour Angy 30 000 euros et, il mérite ce bonus pour n'avoir pas jusqu'à ce jour installé le désordre social en donnant de la troupe comme le lui demande certains créoles.