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En 1931,l'ancêtre de la bonne mère Penchard étant le gouverneur des colonies faisant office de secrétaire général Léon Geismar, et le maréchal Lyautey. Cette expo mettait en avant la puissance coloniale de la France. Quatre vingt ans plus tard ça recommence avec non pas Paul Reynaud et Gaston Doumergue ,mais Sarko le Hongrois et Mitterrand le Gaulois.
Le plan comprend un ensemble de mesures, regroupées en huit "objectifs opérationnels".
Le premier d'entre eux entend promouvoir "la singularité des expressions artistiques et culturelles de l'Outre-Mer". par la création d'établissements culturels emblématiques, à l'image du centre Jean-Marie-Tjibaou en Nouvelle-Calédonie, la Maison des cultures et des mémoires de la Guyane, à Cayenne, la numérisation des archives de RFO piloté par l'Institut national de l'audiovisuel ou la création d'un site internet dédié à l'histoire et à la mémoire de l'esclavage selon les français. L'arnaque suprême étant l'extension de la diffusion de France O sur le territoire hexagonal et l'accélération du déploiement de la télévision numérique terrestre outre-mer.Toute ces opérations restent contrôlées par un regard loin de l'anticolonialisme.
Le second axe concerne la promotion des cultures et des artistes ultramarins - en outre-mer comme en métropole -, par la création d'une Agence nationale de promotion des cultures dites ultramarines et l'organisation de l'Année des outre-mer français.Véritable bis répétita de 1931.
Le troisième objectif est la un développement culturel durable. Il repose notamment sur le renforcement de l'éducation artistique et culturelle,mais qui pour l'instant ne veut pas comprendre que les différences doivent s'accommoder du principe de l'égalité.
Le quatrième concerne la politique du livre et de la lecture. Le dispositif d'évaluation et d'inspection mit en place par le ministère sur l'ensemble de son domaine colonial, a rendu ses conclusions en juillet. Elles serviront de cadre aux mesures adaptées, qui seront mises en oeuvre pour un plan de développement de la lecture, des bibliothèques-médiathèques. Tout cela en coopérations avec des bibliothèques hexagonales et la Bibliothèque nationale de France.
Le cinquième-sixième axe vise au renforcement du lien entre tourisme,culture,architecture et d'urbanisme, avec en particulier un travail de fond sur l'architecture vernaculaire amérindienne et bushinengé,conduit par la direction régionale des affaires culturelles.
La septième mesure s'oriente sur une mise en place de coopérations régionales et internationales par un lien croisé des monde culturels et un soutien à la diffusion dans les pays de l'amsud et des Caraïbes et des espaces francophones d'Amérique du Nord.
Enfin, l'impossible faire coexister hors de l'esprit colonial les méthodes et des normes du ministère de la Culture à la spécificité des territoires du domaine colonial.
Et le financement ? Frédéric Mitterrand a annoncé une enveloppe supplémentaire de sept millions d'euros, ce qui devrait porter l'effort budgétaire de l'Etat en faveur de la culture outre-mer à 180 millions d'euros.L'entretien du domaine colonial ne coûte pas cher...
Le plan comprend un ensemble de mesures, regroupées en huit "objectifs opérationnels".
Le premier d'entre eux entend promouvoir "la singularité des expressions artistiques et culturelles de l'Outre-Mer". par la création d'établissements culturels emblématiques, à l'image du centre Jean-Marie-Tjibaou en Nouvelle-Calédonie, la Maison des cultures et des mémoires de la Guyane, à Cayenne, la numérisation des archives de RFO piloté par l'Institut national de l'audiovisuel ou la création d'un site internet dédié à l'histoire et à la mémoire de l'esclavage selon les français. L'arnaque suprême étant l'extension de la diffusion de France O sur le territoire hexagonal et l'accélération du déploiement de la télévision numérique terrestre outre-mer.Toute ces opérations restent contrôlées par un regard loin de l'anticolonialisme.
Le second axe concerne la promotion des cultures et des artistes ultramarins - en outre-mer comme en métropole -, par la création d'une Agence nationale de promotion des cultures dites ultramarines et l'organisation de l'Année des outre-mer français.Véritable bis répétita de 1931.
Le troisième objectif est la un développement culturel durable. Il repose notamment sur le renforcement de l'éducation artistique et culturelle,mais qui pour l'instant ne veut pas comprendre que les différences doivent s'accommoder du principe de l'égalité.
Le quatrième concerne la politique du livre et de la lecture. Le dispositif d'évaluation et d'inspection mit en place par le ministère sur l'ensemble de son domaine colonial, a rendu ses conclusions en juillet. Elles serviront de cadre aux mesures adaptées, qui seront mises en oeuvre pour un plan de développement de la lecture, des bibliothèques-médiathèques. Tout cela en coopérations avec des bibliothèques hexagonales et la Bibliothèque nationale de France.
Le cinquième-sixième axe vise au renforcement du lien entre tourisme,culture,architecture et d'urbanisme, avec en particulier un travail de fond sur l'architecture vernaculaire amérindienne et bushinengé,conduit par la direction régionale des affaires culturelles.
La septième mesure s'oriente sur une mise en place de coopérations régionales et internationales par un lien croisé des monde culturels et un soutien à la diffusion dans les pays de l'amsud et des Caraïbes et des espaces francophones d'Amérique du Nord.
Enfin, l'impossible faire coexister hors de l'esprit colonial les méthodes et des normes du ministère de la Culture à la spécificité des territoires du domaine colonial.
Et le financement ? Frédéric Mitterrand a annoncé une enveloppe supplémentaire de sept millions d'euros, ce qui devrait porter l'effort budgétaire de l'Etat en faveur de la culture outre-mer à 180 millions d'euros.L'entretien du domaine colonial ne coûte pas cher...
