1 ER DU DOSSIER.Une fois de plus les postures prennent le pas sur l’explication,
Sur ce dossier ou une fois de plus les postures prennent le pas sur l’explication, il conviendra de faire comprendre, qu’une transition énergétique ce n’est pas la révolution énergétique.
Pour reprendre une expression qui n’est pas de MAKACLA il n’ya pas d’énergie sans caca, même si il s’agit d’énergie verte. Autrement dit même quand une énergie n’est pas polluante il se peut que l’outil qui la transforme en électricité soit polluant. Les déchets ultimes existent dans la destruction des batteries, il faut bien éliminer les résidus de panneaux solaires, la pollution visuelle et sonores d’une éolienne c’est aussi de la pollution.
Voici déjà plusieurs années, qu’un combat à plusieurs millions d’Euros se joue entre l’ASSAUPAMAR et les promoteurs de l’usine de production d’électricité à la BIOMASSE.
Dans la boucle, une entreprise de France ALBIOMAS, l’Etat, le Préfet, Le Galion, les patrons de la CTM, les transporteurs EDF….
L’enjeu est de vendre de l’électricité, à des martiniquais.
L’espérance rentrer dans une démarche de maitrise de l’énergie au travers d’un processus de diversification des sources.
Le projet politique faire rentrer la Martinique dans la modernité, et répondre aux enjeux énergétiques insulaires.
Ce projet avait dans un premier temps été présenté comme l’innovation qui allait révolutionner la production d’électricité en Martinique.
A l’origine il était « Bagasse Charbon ». C’est sous la mandature d’AMJ que le projet a été enclenché. Depuis il est devenu Biomasse avec importation de la matière première depuis le Brésil où le Canada.
Cette transformation c’est opérée sous la mandature LETCHIMY avec la méthode du boss ! le principe des poupées Russe. Cette méthode qui consiste à avoir plusieurs projets dans un même projet est une marque de fabrique du PPM.
Dans ce projet réalisé seulement avec des fonds privés, voilà que maintenant le matériel est arrivé en Martinique. La police fait respecter l’état de droit en disant que le promoteur a toutes les autorisations pour faire son usine.
L’ASSAUPAMR en sa qualité d’association de défense de l’environnement affirme que cette usine est la reproduction à l’identique de l’empoisonnement des terres avec le cloredécone.
Qui croire dans cette affaire ou on peut affirmer, cette fois qu’il n’y a pas de vapeur sans chaleur.
Il n’est donc pas trop tard pour s’informer, et comprendre ce qui se cache derrière une actualité qui détourne toute l’attention des médias sur cette cause dont les martiniquais ne considère pas comme une priorité.
L’électricité en Martinique est courante et abondante, nous la payons en dessous de son prix de revient et cela ne gène personne de savoir que la France paye par an 200 millions d’euros l’équivalent du coup de cette usine.
Même si on imagine par défaitisme traditionnel que le pouvoir de l’argent sera le plus fort que celui de petits militants écologiques, on sait qu’il existe aussi des recours. La justice en est un. Le rapport de force en est un autre.
Pour reprendre une expression qui n’est pas de MAKACLA il n’ya pas d’énergie sans caca, même si il s’agit d’énergie verte. Autrement dit même quand une énergie n’est pas polluante il se peut que l’outil qui la transforme en électricité soit polluant. Les déchets ultimes existent dans la destruction des batteries, il faut bien éliminer les résidus de panneaux solaires, la pollution visuelle et sonores d’une éolienne c’est aussi de la pollution.
Voici déjà plusieurs années, qu’un combat à plusieurs millions d’Euros se joue entre l’ASSAUPAMAR et les promoteurs de l’usine de production d’électricité à la BIOMASSE.
Dans la boucle, une entreprise de France ALBIOMAS, l’Etat, le Préfet, Le Galion, les patrons de la CTM, les transporteurs EDF….
L’enjeu est de vendre de l’électricité, à des martiniquais.
L’espérance rentrer dans une démarche de maitrise de l’énergie au travers d’un processus de diversification des sources.
Le projet politique faire rentrer la Martinique dans la modernité, et répondre aux enjeux énergétiques insulaires.
Ce projet avait dans un premier temps été présenté comme l’innovation qui allait révolutionner la production d’électricité en Martinique.
A l’origine il était « Bagasse Charbon ». C’est sous la mandature d’AMJ que le projet a été enclenché. Depuis il est devenu Biomasse avec importation de la matière première depuis le Brésil où le Canada.
Cette transformation c’est opérée sous la mandature LETCHIMY avec la méthode du boss ! le principe des poupées Russe. Cette méthode qui consiste à avoir plusieurs projets dans un même projet est une marque de fabrique du PPM.
Dans ce projet réalisé seulement avec des fonds privés, voilà que maintenant le matériel est arrivé en Martinique. La police fait respecter l’état de droit en disant que le promoteur a toutes les autorisations pour faire son usine.
L’ASSAUPAMR en sa qualité d’association de défense de l’environnement affirme que cette usine est la reproduction à l’identique de l’empoisonnement des terres avec le cloredécone.
Qui croire dans cette affaire ou on peut affirmer, cette fois qu’il n’y a pas de vapeur sans chaleur.
Il n’est donc pas trop tard pour s’informer, et comprendre ce qui se cache derrière une actualité qui détourne toute l’attention des médias sur cette cause dont les martiniquais ne considère pas comme une priorité.
L’électricité en Martinique est courante et abondante, nous la payons en dessous de son prix de revient et cela ne gène personne de savoir que la France paye par an 200 millions d’euros l’équivalent du coup de cette usine.
Même si on imagine par défaitisme traditionnel que le pouvoir de l’argent sera le plus fort que celui de petits militants écologiques, on sait qu’il existe aussi des recours. La justice en est un. Le rapport de force en est un autre.