Extrait de son nouvel album Okou Gnakouri, le clip de « Tchoin » a été visionné plus de trois millions de fois en l’espace de trois jours.
En ligne depuis le 11 janvier, le clip de « Tchoin » affole les compteurs de YouTube et atteint plus de trois millions de vues. Sur un beat aux accents Afro Trap signé Double X, le rappeur Kaaris déclare sa flamme aux « tchoins », les femmes frivoles dans le langage populaire ivoirien.
Réalisée par Cédrick Cayla, la vidéo nous entraîne dans une soirée débridée en boîte de nuit. Entouré de plusieurs rangées de postérieurs, en train de twerker frénétiquement, le rappeur répète son mantra : « La go (la fille, ndlr) là, c’est peut-être une fille bien, mais on préfère les tchoins, tchoins, tchoins ».
Néanmoins, le clip n’a pas manqué de faire réagir certains internautes, qui s’insurgent contre sa misogynie affichée. « Plus aucun respect des femmes en 2017 », s’exclame l’une d’entre elles en commentaire de la vidéo. Des accusations auxquelles Kaaris a répondu dans une interview sur le site I AM DIVAS : « En ce qui concerne le rap, il ne faut pas oublier que c’est un phénomène de rue et on se dit généralement que ce n’est pas la place d’une femme. Pourquoi ? Je ne sais pas mais j’espère que ça va évoluer (…) J’ai quatre sœurs et j’ai été éduqué par ma mère. Dans l’ethnie maternelle (ziki, de Côte d’Ivoire), c’est la femme qui tient les rênes. »
Le morceau est issu de Okou Gnakouri, le troisième opus de Kaaris, en vente depuis le 11 novembre et déjà certifié disque d’or (plus de 50 000 exemplaires vendus). Une réussite qui permet au rappeur de Sevran de revenir sur le devant de la scène du rap français, après l’incroyable succès en 2016 du groupe PNL.
Par jeuneafrique.com
Le site officiel
En ligne depuis le 11 janvier, le clip de « Tchoin » affole les compteurs de YouTube et atteint plus de trois millions de vues. Sur un beat aux accents Afro Trap signé Double X, le rappeur Kaaris déclare sa flamme aux « tchoins », les femmes frivoles dans le langage populaire ivoirien.
Réalisée par Cédrick Cayla, la vidéo nous entraîne dans une soirée débridée en boîte de nuit. Entouré de plusieurs rangées de postérieurs, en train de twerker frénétiquement, le rappeur répète son mantra : « La go (la fille, ndlr) là, c’est peut-être une fille bien, mais on préfère les tchoins, tchoins, tchoins ».
Néanmoins, le clip n’a pas manqué de faire réagir certains internautes, qui s’insurgent contre sa misogynie affichée. « Plus aucun respect des femmes en 2017 », s’exclame l’une d’entre elles en commentaire de la vidéo. Des accusations auxquelles Kaaris a répondu dans une interview sur le site I AM DIVAS : « En ce qui concerne le rap, il ne faut pas oublier que c’est un phénomène de rue et on se dit généralement que ce n’est pas la place d’une femme. Pourquoi ? Je ne sais pas mais j’espère que ça va évoluer (…) J’ai quatre sœurs et j’ai été éduqué par ma mère. Dans l’ethnie maternelle (ziki, de Côte d’Ivoire), c’est la femme qui tient les rênes. »
Le morceau est issu de Okou Gnakouri, le troisième opus de Kaaris, en vente depuis le 11 novembre et déjà certifié disque d’or (plus de 50 000 exemplaires vendus). Une réussite qui permet au rappeur de Sevran de revenir sur le devant de la scène du rap français, après l’incroyable succès en 2016 du groupe PNL.
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