Le 10 Mai c’est, la Journée nationale de commémoration consacrée à la mémoire de l'esclavage, de la traite négrière et des abolitions, elle a été instaurée il y a quatre ans par Jacques Chirac.
En 2008, lors de cette journée, Nicolas Sarkozy avait annoncé que l'histoire de l'esclavage "commune à tous les Français" serait enseignée à l'école primaire dès la rentrée suivante.
La traite des Noirs "est une blessure profonde qui pèse encore sur nos consciences et les mémoires portent le poids de cette histoire", avait ajouter le chef de l'Etat, qui s'était dit conscient "qu'il existe encore aujourd'hui des inégalités qui trouvent leur origine dans cet héritage si douloureux".
Mais au fond Nicolas Sarkozy n’a rien à cirer de ce Crime contre l’Humanité.
Le crime contre l’Homme c’est ce Crime contre les Juifs …
La SHOAH oui, mais le reste… sans doute un détail comme dirait l’autre.
Quand le Conseil représentatif des associations noires (CRAN) déplore, l’absence de Nicolas Sarkozy aux cérémonies organisées à l'occasion de la commémoration de l'abolition de l'esclavage,on se demande pourquoi ?
Dans un communiqué, le CRAN "regrette amèrement la faute politique que représente l'absence du chef de l'Etat"et "s'interroge sur la signification du refus de Nicolas Sarkozy de participer aux cérémonies du 10 mai 2009". L'association assure que "la République a besoin que tous les Français, donc symboliquement le chef de l'Etat (et pas seulement les Noirs de France) se souviennent ensemble de la mémoire des millions de victimes de ces crimes".
Le collectif s'interroge également "sur le refus systématiquement opposé par l'Etat à sa demande d'une grande action culturelle populaire en mémoire de l'esclavage en France". Et regrette que "le musée national de l'esclavage, tant attendu est toujours en souffrance".
Il est regrettable qu'il n'y ait rien de tel en France, hormis quelques salles du musée de Nantes ou de Bordeaux, et un éco-musée de 15 m2 réalisé en Martinique par un citoyen isolé, sans subvention aucune", a encore déploré le collectif, avant de demander instamment au gouvernement français "de lan cer sans délai la construction d'un vrai musée national de l'esclavage en France".
Mais au fond les descendants des victimes attendent-ils que les descendants des bourreaux fassent à leur place leur devoir de Mémoire ?
En 2008, lors de cette journée, Nicolas Sarkozy avait annoncé que l'histoire de l'esclavage "commune à tous les Français" serait enseignée à l'école primaire dès la rentrée suivante.
La traite des Noirs "est une blessure profonde qui pèse encore sur nos consciences et les mémoires portent le poids de cette histoire", avait ajouter le chef de l'Etat, qui s'était dit conscient "qu'il existe encore aujourd'hui des inégalités qui trouvent leur origine dans cet héritage si douloureux".
Mais au fond Nicolas Sarkozy n’a rien à cirer de ce Crime contre l’Humanité.
Le crime contre l’Homme c’est ce Crime contre les Juifs …
La SHOAH oui, mais le reste… sans doute un détail comme dirait l’autre.
Quand le Conseil représentatif des associations noires (CRAN) déplore, l’absence de Nicolas Sarkozy aux cérémonies organisées à l'occasion de la commémoration de l'abolition de l'esclavage,on se demande pourquoi ?
Dans un communiqué, le CRAN "regrette amèrement la faute politique que représente l'absence du chef de l'Etat"et "s'interroge sur la signification du refus de Nicolas Sarkozy de participer aux cérémonies du 10 mai 2009". L'association assure que "la République a besoin que tous les Français, donc symboliquement le chef de l'Etat (et pas seulement les Noirs de France) se souviennent ensemble de la mémoire des millions de victimes de ces crimes".
Le collectif s'interroge également "sur le refus systématiquement opposé par l'Etat à sa demande d'une grande action culturelle populaire en mémoire de l'esclavage en France". Et regrette que "le musée national de l'esclavage, tant attendu est toujours en souffrance".
Il est regrettable qu'il n'y ait rien de tel en France, hormis quelques salles du musée de Nantes ou de Bordeaux, et un éco-musée de 15 m2 réalisé en Martinique par un citoyen isolé, sans subvention aucune", a encore déploré le collectif, avant de demander instamment au gouvernement français "de lan cer sans délai la construction d'un vrai musée national de l'esclavage en France".
Mais au fond les descendants des victimes attendent-ils que les descendants des bourreaux fassent à leur place leur devoir de Mémoire ?