Média FranceTV Publicité Outre-Mer pour les Antilles et la Guyane Croit elle toujours dans l’offre Martinique, Guadeloupe, Guyane PREMIERE ?


Rédigé le Mercredi 21 Décembre 2016 à 14:32 |
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Personne ne pourra répondre à cette question, car les bons régisseurs sont ceux qui prennent les positions au bon moment pour que quand le fruit est mûr la cash machine leur rapporte mille fois la mise.
Mais parfois on prend des positions pour freiner l'évolution.


Rappelez-vous, le cas de Régie Caraïbes N 1. La régie publicitaire de RCI était une filiale du groupe Havas. Toute la stratégie était décidée chez Havas et la radio faisait ce qu’elle savait faire son métier la radio. Et Havas a gagné beaucoup d’argent à RCI jusqu’à ce que la radio ne rachète toutes les actions d’havas. Rappelons tout de même qu’à cette même époque Havas était régie publicitaire de RFO radio et télévision, des pages jaunes et on ne sait quoi encore.

Donc quand Olivier LAOUCHER le patron de TRACE confie sa régie publicitaire à France TV Outre-mer cela veut dire qu’il s’est passé, ou qu’il se passe une révolution dans le monde des médias en MARTINIQUE.

Trace, c’est

• TRACE FM Guadeloupe, Guyane et Martinique
• TRACE Urban, première chaîne payante aux Antilles Guyane (1)
• TRACE Tropical, la chaîne référence des musiques tropicales
• des sites et applications correspondants

Ces marques médias représentent une offre très puissante de l’univers 13-24 ans, cœur de cible du groupe TRACE avec notamment TRACE FM qui est la radio la plus écoutée en Martinique avec 31% d’audience cumulée, et la 2ème en Guadeloupe et Guyane (2).

Voici, l’argumentation de MAKACLA pour affirmer qu’ici aussi le monde est en marche.

Premièrement, la preuve est faite que ceux qui pilotaient RCI n’avaient aucune vision sur le déploiement du numérique. Que la première radio ne soit pas partenaire opérationnelle d’aucune télévision régionale est un comble. Qu’elle possède un site internet rappelant les années Mano est encore plus incroyable. C’est également aussi la preuve plus que jamais qu’il ne fallait pas sacrifier TCI pour ATV.

Démonstration est faite que c’était possible. Olivier a fait une télévision mondiale en repartant de rien là, où d’autres comme JCADB s’époumonait à faire une télévision généraliste locale. Avec de la musique urbaine à dominante afro descendante, TRACE a conquis le monde, là où d’autres lançaient la nouvelle radio des jeunes français , qui dans sa programmation snobait 90% la production musicale identitaire antillaise. S’il revient en force, c’est qu’il a trouvé l’énergie ailleurs et qu’il a fait exploser le plafond de verre.

Enfin si maintenant FranceTV Publicité Outre-Mer s’intéresse à une télévision et une radio comme trace ce n’est pas que notre culture les intéresse. c’est tout simplement que tous ces modèles économiques de comptoir, qui ne favorisent pas la production locale, qui ne sont pas capables de se numériser pour devenir des médias multicanaux, sont terminés.

FRANCE ANTILLES continue de croire qu’ils vont pouvoir continuer à vendre des pages de publicité dans leur quotidien au prix où ils les vendent encore. Mais c’est fini

Ils ont fait la preuve même avec des positions dominantes qui ne laissaient aucune initiative aux autres, ils étaient incapables dans un monde moderne de muter

La numérisation a tout changé. FACEBOOK en est une illustration. Ce n’est qu’un début, mais gare à celui qui ne saura pas proposer le même coût contact que FACEBOOK. Aujourd’hui en MARTINIQUE la concurrence est mondiale et celui qui croit qu’il va faire découler ses tarifs de son coût de revient est mort.

Plus personne ne va payer ce qui est résolument trop onéreux non qualifié, nom renseigné et aléatoire
TRACE confie sa régie publicitaire plurimédia un partenaire. Plurimédia ici cela ne veut pas seulement dire pluriel. La nouvelle révolution est sociale, car à quoi bon payer des millions pour aller toucher sur le média numéro 1 toutes les cibles, quand on a besoin qu’un segment qualifié de ce panel pour vendre ses produits.

Vous voyez, la révolution numérique a du bon. C’est le moment de libérer votre talent. Nous à MAKACLA avec 30 € par mois, un peu d’huile de coude, de la patience, et toutes nos fautes d’orthographe, nous sommes, numérique, multimédia. Nous pouvons vous proposer son image, texte, et vous remercier à tout moment d’être nos lecteurs directement dans votre boîte aux lettres.

Il convient, il est vrai de comparer ce qui est comparable mais une page perso qui cette année va faire plus de 2 000 000 de visites ce n’est pas rien.
À tous les créateurs comme MAKACLA, nous vous disons à vos ouvrages et merci à nos lecteurs de la confiance lorsqu’ils s’inscrivent dans notre forum de lecteurs. Chez nous la publicité représentera toujours zéro euro de chiffre d’affaires. Ce que nous allons vendre est de la personnalisation, de l’infogérance, de la mutation numérique, de la syndication et de la coproduction.

Cela c’est principalement de la compétence de l’expérience, de la connaissance locale, des relations humaines et du service qui nous laisse libres de dire à qui veut l’entendre nos quatre vérités et de toujours être insoumis.

La liberté à un prix mais quel bonheur !


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