Ce récit, qui est celui de l’enfance de l’auteur, décrit la vie d’une famille antillaise des années 60 à 70. Issus tous les deux de milieux défavorisés, des jeunes parents qui ont accédé au statut de fonctionnaire, appliquent à leurs enfants un modèle d’éducation bien spécifique, dans le but, louable, de leur faire atteindre un statut social supérieur au leur.
C’est un modèle d’éducation dont les infrastructures se retrouvent à peu près dans toutes les familles antillaises de l’époque quel que soit le statut social des parents ; car l’objectif demeure le même, la réussite de la progéniture. Ce modèle s’étiole avec le temps, bousculé par la modernité.
Pourtant, il est intéressant de s’y référer, quand on sait que de nombreux cadres martiniquais sont issus de ce même moule. Et qui sait, peut-être ce modèle d’éducation peut-il expliquer certaines spécificités de la société antillaise actuelle.
Max-Auguste Dufrénot est né en Martinique en 1942. Après de études médicales effectuées à Paris, il devient pharmacien, puis biologiste. Titulaire d’un doctorat, il embrassera une carrière universitaire, enseignant en facultés de médecine et de pharmacie en Afrique et en Haïti pendant vingt ans dans le cadre de la Coopération française. Rentré où pays natal et installé comme biologiste privé, il est actif dans le milieu politique, télévisuel, en animant pendant dix ans sur KMT l’émission hebdomadaire « Visages d’Afrique » ; et il s’adonne à l’écriture.
Il est l’auteur de romans :
« Le trésor des morts du Morne « paru aux éditions Orphi, en 2000
L’arnaqueur des Antilles paru à Edilivre, en 2014
D’essais culturels :
des Antilles à l’Afrique
Critique de la créolité Desormeaux 2002
Visages d’Afrique dans la Caraïbe en deux tomes chez Edilivre 2014
Le deuil noir, résistance, épopée cde nos peuples coécrit avec Lucienne Charles chez Mon petit éditeur 2014
Essais politiques
La Grande manipulation politique coécrit avec Lucienne Charles, Joseph Levy et Jean Louis Gouai 2002 Kamaya.
Nous les naufragés de l’indépendance 2015 chez Nestor
C’est un modèle d’éducation dont les infrastructures se retrouvent à peu près dans toutes les familles antillaises de l’époque quel que soit le statut social des parents ; car l’objectif demeure le même, la réussite de la progéniture. Ce modèle s’étiole avec le temps, bousculé par la modernité.
Pourtant, il est intéressant de s’y référer, quand on sait que de nombreux cadres martiniquais sont issus de ce même moule. Et qui sait, peut-être ce modèle d’éducation peut-il expliquer certaines spécificités de la société antillaise actuelle.
Max-Auguste Dufrénot est né en Martinique en 1942. Après de études médicales effectuées à Paris, il devient pharmacien, puis biologiste. Titulaire d’un doctorat, il embrassera une carrière universitaire, enseignant en facultés de médecine et de pharmacie en Afrique et en Haïti pendant vingt ans dans le cadre de la Coopération française. Rentré où pays natal et installé comme biologiste privé, il est actif dans le milieu politique, télévisuel, en animant pendant dix ans sur KMT l’émission hebdomadaire « Visages d’Afrique » ; et il s’adonne à l’écriture.
Il est l’auteur de romans :
« Le trésor des morts du Morne « paru aux éditions Orphi, en 2000
L’arnaqueur des Antilles paru à Edilivre, en 2014
D’essais culturels :
des Antilles à l’Afrique
Critique de la créolité Desormeaux 2002
Visages d’Afrique dans la Caraïbe en deux tomes chez Edilivre 2014
Le deuil noir, résistance, épopée cde nos peuples coécrit avec Lucienne Charles chez Mon petit éditeur 2014
Essais politiques
La Grande manipulation politique coécrit avec Lucienne Charles, Joseph Levy et Jean Louis Gouai 2002 Kamaya.
Nous les naufragés de l’indépendance 2015 chez Nestor