Les responsables de services "coupables" de grève se voient privés de salarié-e-s leur permettant de remplir leurs missions. Pire les délais légaux de prévenance pour la fin des contrats ne sont pas respectés. Les nouveaux cas de harcèlement ont conduit une salariée cadre en accident du travail tandis qu'une autre gravement malade à été destinataire d'un courrier particulièrement vexatoire.
Le préavis évoque 3 motifs:
1. le non respect de l'accord signé le 27 décembre 2017. Deux mois après sa signature, la mission à
confier aux médiateurs et à l'ARACT n'est pas mise en oeuvre.
2. Les sanctions pour faits de grève, interdites expressément par l'accord et contraires aux engagements
tonitruants de Mr Boutrin sont bel et bien là.
3. De nouveaux cas de harcèlement moral confirment la souffrance au travail à l'origine de la dernière
grève.
Suite à ce préavis, Mr VILLERONCE, nouveau DGS du PNRM a reçu une délégation syndicale. Sous des dehors avenants et bienveillants , le nouveau DGS ne montre aucune volonté de s'écarter notablement des turpitudes Boutrinesques. Il ignore l'interdiction des sanctions pour faits de grève : les trois salariés mentionnés dans l'accord comme étant garantis contre toute sanction voient leurs contrats privés de renouvellement. Plus largement la grande majorité des contrats de salarié-e-s grévistes ne sont pas renouvelés tandis que les contrats des " bien pensants" sont déjà renouvelés.
Les responsables de services "coupables" de grève se voient privés de salarié-e-s leur permettant de remplir leurs missions. Pire les délais légaux de prévenance pour la fin des contrats ne sont pas respectés. Les nouveaux cas de harcèlement ont conduit une salariée cadre en accident du travail tandis qu'une autre gravement malade à été destinataire d'un courrier particulièrement vexatoire.
Depuis cet entretien plutôt révoltant les agents du PNRM ont reçu l'information de retenues drastiques sur leurs fiches de paye alors que les déclarations répétées et enregistrées du sieur Boutrin contiennent sur un ton enflammé l'engagement que sous son règne et celui de monsieur MARIE-JEANNE jamais des grévistes ne subiraient de perte de salaires ou de représailles suite à leur action revendicative.
Dans l'héritage qu'assume aujourd'hui Mr VILLERONCE, il y a donc bien le mensonge, la tromperie, le non respect des engagements. L'évocation de problèmes de trésorerie pour "justifier " les licenciements de fait ne fait qu'ajouter de l'ignominie à la brutalité : qui peut croire qu'en signant un accord le 27 décembre 2017 le PNRM ignoraient la situation financière de l'institution alors que les malheurs de Mr BRITHMER, le DGS licencié ont commencé lorsqu'il a eu l'outrecuidance d'attirer l'attention sur les dérives financières du Parc sous l'autorité de son président BOUTRIN.
En conséquence le préavis de grève des syndicats garde plus que jamais son actualité.
Pour la CDMT. Pour le SCGAFP-CGTM
Philippe PIERRE-CHARLES Willy DELOR
1. le non respect de l'accord signé le 27 décembre 2017. Deux mois après sa signature, la mission à
confier aux médiateurs et à l'ARACT n'est pas mise en oeuvre.
2. Les sanctions pour faits de grève, interdites expressément par l'accord et contraires aux engagements
tonitruants de Mr Boutrin sont bel et bien là.
3. De nouveaux cas de harcèlement moral confirment la souffrance au travail à l'origine de la dernière
grève.
Suite à ce préavis, Mr VILLERONCE, nouveau DGS du PNRM a reçu une délégation syndicale. Sous des dehors avenants et bienveillants , le nouveau DGS ne montre aucune volonté de s'écarter notablement des turpitudes Boutrinesques. Il ignore l'interdiction des sanctions pour faits de grève : les trois salariés mentionnés dans l'accord comme étant garantis contre toute sanction voient leurs contrats privés de renouvellement. Plus largement la grande majorité des contrats de salarié-e-s grévistes ne sont pas renouvelés tandis que les contrats des " bien pensants" sont déjà renouvelés.
Les responsables de services "coupables" de grève se voient privés de salarié-e-s leur permettant de remplir leurs missions. Pire les délais légaux de prévenance pour la fin des contrats ne sont pas respectés. Les nouveaux cas de harcèlement ont conduit une salariée cadre en accident du travail tandis qu'une autre gravement malade à été destinataire d'un courrier particulièrement vexatoire.
Depuis cet entretien plutôt révoltant les agents du PNRM ont reçu l'information de retenues drastiques sur leurs fiches de paye alors que les déclarations répétées et enregistrées du sieur Boutrin contiennent sur un ton enflammé l'engagement que sous son règne et celui de monsieur MARIE-JEANNE jamais des grévistes ne subiraient de perte de salaires ou de représailles suite à leur action revendicative.
Dans l'héritage qu'assume aujourd'hui Mr VILLERONCE, il y a donc bien le mensonge, la tromperie, le non respect des engagements. L'évocation de problèmes de trésorerie pour "justifier " les licenciements de fait ne fait qu'ajouter de l'ignominie à la brutalité : qui peut croire qu'en signant un accord le 27 décembre 2017 le PNRM ignoraient la situation financière de l'institution alors que les malheurs de Mr BRITHMER, le DGS licencié ont commencé lorsqu'il a eu l'outrecuidance d'attirer l'attention sur les dérives financières du Parc sous l'autorité de son président BOUTRIN.
En conséquence le préavis de grève des syndicats garde plus que jamais son actualité.
Pour la CDMT. Pour le SCGAFP-CGTM
Philippe PIERRE-CHARLES Willy DELOR