La première, c'est que ceux que nous interrogeons savent que nous sommes régulièrement à répondre depuis des années, aux invitations de la Fondation. D'autre part c'est aussi qu'ils savent que ce qu'ils font à la Fondation, nous intéresse vraiment. La mise en valeur d'artistes caribéens, et martiniquais ne peut laisser aucun acteur indifférent.
Nous sommes aussi depuis longtemps dans cette démarche de présentation de ces artistes. Nous pouvons donner des exemples de ce que nous faisons. De plus la reconstruction avec l'Afrique, dans une telle sublimation,dans une habitation est historique.
Nous sommes très sensibles à la question AFRICAINE , vous le savez.
Mais cette bienveillance ne nous, empêche pas un regard critique par ailleurs. Considérant qu'on ne peut pas dire aimer la MARTINIQUE, à la Fondation et faire le contraire dans le pays dans le domaine économique. Et si à des moments certains ont craint pour nous et nos supports que nous soyons dans une démarche sans retour vis-à-vis du groupe GBH , nous faisons la démonstration que quand un organe de presse est indépendant, il peut dire ce qu'il a à dire aux acteurs, pour peu qu'il ne s’agisse pas d'attaques personnelles, sans aucune crainte.
Nous avons toujours dit au groupe GBH, ce que nous avions à lui dire, mais nous avons toujours fait la différence entre GBH et la Fondation. Pour preuve, vous pouvez lire ces articles, pour comprendre, que dans nos colonnes, nous n'avons pas peur de notre ombre. Nous savons garder la rectitude de nos idées, et dénoncer tout ce qui nous semble aller à l'encontre de ces principes et même à Bernard Hayot.
Mais nous savons aussi mesurer nos propos, pour ne pas tomber dans la diffamation, l'attaque gratuite, et les mots de trop qui font que certaines relations sont irrécupérables.
Enfin, il y a aussi à prendre en compte que les temps changent.
Ce support est un organe dont la sensibilité est de gauche et entend le rester. Mais nous avons tant d'amis à droite ou en marche. Et au moment où Serge Letchimy est venu voir le courbaril que son maître à penser avait planté alors qu’il était président des Martiniquais. Au moment où un des adeptes du maître, ex-cerveau de l'OJAM appelle à reproduire comme le maître la plantation de 3000 Courbarils, à l'image de celui que Césaire avait planté chez le Beké, il serait sans intérêt de garder le masque.
Cela d'autant que nos Fanonistes sont dans l'air du temps.
Alfred Marie Jeanne, lui n'a pas fait moins. Indépendantiste, il aura baissé son étendard, pour trouver une alliance de circonstance avec la droite, pour gérer le pays autrement. Avec cette même droite dont les héritiers à l'époque des Michel Renard et Camille Darsière devaient se cacher à la Fontane, faisant semblant de déjeuner ensemble pour parler des affaires du pays.
Plus encore c'est toujours Alfred Marie Jeanne de la CTM qui est présent à l’inauguration africaine de la Fondation Clément , en personne, chez Bernard Hayot, propriétaire des lieux. Enfin pour finir c'est le communiste Michel Branchi qui donne son visa pour le paiement des dossiers européens des entreprises békés et les subventions de la CTM. Et c'est l'ex communiste pur et dur Édouard de Lépine qui trouve comme seul financier encore cette fondation pour sortir 461 textes de toute la vie de Césaire. C'est la plus grande œuvre de l’historien. Toute sa vie.
Par conséquent, un observateur de la vie politique martiniquaise ne peut pas ne pas vous dire, ce que je vous dis s'il est honnête avec lui-même. Mais encore faut-il que ces derniers soient sur le terrain, constatent et que leur format de média les autorise à diffuser plus d'une minute trente de reportage. Ce choix, nous l’avons fait.
Sur ce portail, nous avons autant de choses que nous voulons vous montrer. Pour rester libre nous avons décidé que nous ne ferons pas de publicité, sauf pour les 17 objectifs du développement durable. Le 17 EME de ses objectifs est le partenariat, le kolé têt kolé zépole, c'est celui que nous prenons avec vous amis lecteurs de toujours vous apporter une offre d'information différente. Mais ce sont aussi ces jonctions historiques dont nous devons vous parler.
Ici je vous invite à être au cœur du réacteur de la Fondation Clément avec Monsieur Florent Plasse en charge des questions de patrimoine de la . Chaque mot a son importance. Chaque question aussi.
Nous sommes très sensibles à la question AFRICAINE , vous le savez.
Mais cette bienveillance ne nous, empêche pas un regard critique par ailleurs. Considérant qu'on ne peut pas dire aimer la MARTINIQUE, à la Fondation et faire le contraire dans le pays dans le domaine économique. Et si à des moments certains ont craint pour nous et nos supports que nous soyons dans une démarche sans retour vis-à-vis du groupe GBH , nous faisons la démonstration que quand un organe de presse est indépendant, il peut dire ce qu'il a à dire aux acteurs, pour peu qu'il ne s’agisse pas d'attaques personnelles, sans aucune crainte.
Nous avons toujours dit au groupe GBH, ce que nous avions à lui dire, mais nous avons toujours fait la différence entre GBH et la Fondation. Pour preuve, vous pouvez lire ces articles, pour comprendre, que dans nos colonnes, nous n'avons pas peur de notre ombre. Nous savons garder la rectitude de nos idées, et dénoncer tout ce qui nous semble aller à l'encontre de ces principes et même à Bernard Hayot.
Mais nous savons aussi mesurer nos propos, pour ne pas tomber dans la diffamation, l'attaque gratuite, et les mots de trop qui font que certaines relations sont irrécupérables.
Enfin, il y a aussi à prendre en compte que les temps changent.
Ce support est un organe dont la sensibilité est de gauche et entend le rester. Mais nous avons tant d'amis à droite ou en marche. Et au moment où Serge Letchimy est venu voir le courbaril que son maître à penser avait planté alors qu’il était président des Martiniquais. Au moment où un des adeptes du maître, ex-cerveau de l'OJAM appelle à reproduire comme le maître la plantation de 3000 Courbarils, à l'image de celui que Césaire avait planté chez le Beké, il serait sans intérêt de garder le masque.
Cela d'autant que nos Fanonistes sont dans l'air du temps.
Alfred Marie Jeanne, lui n'a pas fait moins. Indépendantiste, il aura baissé son étendard, pour trouver une alliance de circonstance avec la droite, pour gérer le pays autrement. Avec cette même droite dont les héritiers à l'époque des Michel Renard et Camille Darsière devaient se cacher à la Fontane, faisant semblant de déjeuner ensemble pour parler des affaires du pays.
Plus encore c'est toujours Alfred Marie Jeanne de la CTM qui est présent à l’inauguration africaine de la Fondation Clément , en personne, chez Bernard Hayot, propriétaire des lieux. Enfin pour finir c'est le communiste Michel Branchi qui donne son visa pour le paiement des dossiers européens des entreprises békés et les subventions de la CTM. Et c'est l'ex communiste pur et dur Édouard de Lépine qui trouve comme seul financier encore cette fondation pour sortir 461 textes de toute la vie de Césaire. C'est la plus grande œuvre de l’historien. Toute sa vie.
Par conséquent, un observateur de la vie politique martiniquaise ne peut pas ne pas vous dire, ce que je vous dis s'il est honnête avec lui-même. Mais encore faut-il que ces derniers soient sur le terrain, constatent et que leur format de média les autorise à diffuser plus d'une minute trente de reportage. Ce choix, nous l’avons fait.
Sur ce portail, nous avons autant de choses que nous voulons vous montrer. Pour rester libre nous avons décidé que nous ne ferons pas de publicité, sauf pour les 17 objectifs du développement durable. Le 17 EME de ses objectifs est le partenariat, le kolé têt kolé zépole, c'est celui que nous prenons avec vous amis lecteurs de toujours vous apporter une offre d'information différente. Mais ce sont aussi ces jonctions historiques dont nous devons vous parler.
Ici je vous invite à être au cœur du réacteur de la Fondation Clément avec Monsieur Florent Plasse en charge des questions de patrimoine de la . Chaque mot a son importance. Chaque question aussi.
Patrimoine Entretien Florent plasse.MP3 (18.47 Mo)