C'est le fruit du moment en Martinique de plus en plus apprécié, facile à cultiver, il se développe autour des demeures
Photo Christian Marie-calixte
Sur les étals, c'est le nom pitaya qui est très majoritairement employé. C'est le fruit de différentes espèces de cactus hémiépiphytes, et plus particulièrement de celles de l’espèce Hylocereus undatus (anciennement H. triangularis).
Le genre Wilmattea Britton & Rose a été « fusionné » avec le genre Hylocereus. Certains botanistes pensent actuellement que le genre Hylocereus devrait à son tour être fusionné avec le genre Selenicereus. Le fruit a été appelé fruit du dragon depuis l'époque de la colonie indochinoise : les colons français ont introduit la plante à la fin du XIXe siècle. Les Vietnamiens ont baptisé son fruit thanh long qui signifie « fruit du dragon » car sa plante grimpe en s'enroulant sur les troncs d'arbre, évoquant la forme d'un dragon, un monstre mythologique omniprésent dans la culture asiatique.
Le genre Wilmattea Britton & Rose a été « fusionné » avec le genre Hylocereus. Certains botanistes pensent actuellement que le genre Hylocereus devrait à son tour être fusionné avec le genre Selenicereus. Le fruit a été appelé fruit du dragon depuis l'époque de la colonie indochinoise : les colons français ont introduit la plante à la fin du XIXe siècle. Les Vietnamiens ont baptisé son fruit thanh long qui signifie « fruit du dragon » car sa plante grimpe en s'enroulant sur les troncs d'arbre, évoquant la forme d'un dragon, un monstre mythologique omniprésent dans la culture asiatique.
Depuis quelques années, la production de fruit du dragon se développe de plus en plus dans des pays tels que le Viêt Nam, Israël (sous serres car cette cactacée ne supporte pas le plein soleil), le Guatemala, l’Australie ou, pour ce qui est de la République française, sur l’île de La Réunion, en Guadeloupe, en Guyane Française, en Polynésie et en Nouvelle-Calédonie et en Martinique.
La seule difficulté de la production de ce fruit réside dans la fécondation des fleurs qui, originellement, est faite par les papillons ou les chauves-souris des forêts tropicales. On le multiplie généralement donc plutôt par bouture.
Pour en savoir plus cliquez ici
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La seule difficulté de la production de ce fruit réside dans la fécondation des fleurs qui, originellement, est faite par les papillons ou les chauves-souris des forêts tropicales. On le multiplie généralement donc plutôt par bouture.
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