Notons que ce n'est pas l'administrateur qui convoque, cette lettre sur entête du MIM est signée par Daniel Marie Sainte.
Voilà plusieurs années que le MIM est traversé par une histoire sans fin. Un wouélélé woué sans nom. Celle d''un conflit d'influence sur la direction à donner au parti. Si cette adversité est née, et éclate au grand jour, deux motifs sérieux peuvent expliquer que les relations dégénèrent.
Premièrement il s'agit de la vitalité politique exceptionnelle du leader à l'origine du mouvement indépendantiste. Alfred Marie-Jeanne défait par son équation personnelle tous les pronostics. Il est aussi capable d'arrangements inattendus quand il s'agit de ne pas perdre le pouvoir. L'exemple de l'alliance avec la droite sera le plus équivoque de son parcours d’indépendantiste. La confiance que lui fait le peuple n'a cessé d'augmenter également.
La seconde raison est selon notre observation, l'usure des croyances et des idéologies. Alfred Marie-Jeanne s'il n'a jamais fait son moratoire sur la question de l'indépendance, à très bien compris que l'idée ne fait plus recette. Par contre il a bien assimilé que brandir un étendard était une forme de résistance, et que les Martiniquais dans leur ensemble ont toujours besoin de savoir que sur l'habitation il y a un nègre mawon. Ce dernier sait parler fort.
Il se trouve que que ce nègre mawon c'est un chabin. Voici une autre ambiguité bien travaillée.
Et le Chabin à déjà compris que les yeux du béké brûlent les yeux des nègres, et que les nègres sont attachés au mamelles de la mère patrie. Il a déjà intégré qu'il ne changera rien au mode de vie de l'habitation , mais il a aussi assimilé qu'il vaut mieux être le chef de village pour rencontrer en privé le Préfet. Il n'est pas plus con que Césaire !
Premièrement il s'agit de la vitalité politique exceptionnelle du leader à l'origine du mouvement indépendantiste. Alfred Marie-Jeanne défait par son équation personnelle tous les pronostics. Il est aussi capable d'arrangements inattendus quand il s'agit de ne pas perdre le pouvoir. L'exemple de l'alliance avec la droite sera le plus équivoque de son parcours d’indépendantiste. La confiance que lui fait le peuple n'a cessé d'augmenter également.
La seconde raison est selon notre observation, l'usure des croyances et des idéologies. Alfred Marie-Jeanne s'il n'a jamais fait son moratoire sur la question de l'indépendance, à très bien compris que l'idée ne fait plus recette. Par contre il a bien assimilé que brandir un étendard était une forme de résistance, et que les Martiniquais dans leur ensemble ont toujours besoin de savoir que sur l'habitation il y a un nègre mawon. Ce dernier sait parler fort.
Il se trouve que que ce nègre mawon c'est un chabin. Voici une autre ambiguité bien travaillée.
Et le Chabin à déjà compris que les yeux du béké brûlent les yeux des nègres, et que les nègres sont attachés au mamelles de la mère patrie. Il a déjà intégré qu'il ne changera rien au mode de vie de l'habitation , mais il a aussi assimilé qu'il vaut mieux être le chef de village pour rencontrer en privé le Préfet. Il n'est pas plus con que Césaire !
Nilors le faux prétexte qui cache une véritable crise de leadership dans le pays !
Ce que nous voulons vous dire c'est qu'à notre avis le prétexte de Nilor, traître et vendu à la cause du G20 n'est qu'un prétexte au manque de vision pour des solutions durables pour la Martinique. Rien d'autre !
Ce qui est grave, dans cette crise du MiM et pour le pays, c'est que la même problématique du futur impossible de nos territoires est une difficulté partagée, y compris pour le gouvernement. C'est cette même crise de leadership qui a traversé le PPM, le parti socialiste Martiniquais hier , le parti communiste avant hier. Sauf que tous ces hommes enivrés par le pouvoir oublient d'oublier que même au plus haut de l'affiche, ils ne sont pas éternels.
La descente de charge pour tout homme est une expérience grandissante, sans doute celle qui le révèle.
Ce qui est grave, dans cette crise du MiM et pour le pays, c'est que la même problématique du futur impossible de nos territoires est une difficulté partagée, y compris pour le gouvernement. C'est cette même crise de leadership qui a traversé le PPM, le parti socialiste Martiniquais hier , le parti communiste avant hier. Sauf que tous ces hommes enivrés par le pouvoir oublient d'oublier que même au plus haut de l'affiche, ils ne sont pas éternels.
La descente de charge pour tout homme est une expérience grandissante, sans doute celle qui le révèle.